samedi 31 juillet 2010

Trompe l'oeil

Je suis dans un camps de vacances avec K. et un de ses meilleurs amis T. K. est placé dans une chambre avec d'autres étudiants, tandis que je dois partager la mienne avec T.
C'est le soir, nous nous couchons. T. et moi avons une irrépressible envie de faire l'amour, c'est instinctif. Le jeu à commencé...
Eclair de lucidité.
"Aber du bist nicht K.! Ich kann's nicht! Nein "
J'arrête tout. Je suis scandalisée d'avoir fait ça, je culpabilise à mort d'avoir eu l'envie de tromper K. avec son meilleur ami.
Je m'endors
Lendemain matin
Je vois K. à sa sortie du lit. Je le trouve toujours aussi attirant. Il est grand. Il a la classe. Je l'aime. Les yeux baissés, je lui implore le pardon: "Es tut mir sooo Leid, ich verspreche dir, ich habe nicht mit ihm geschlafen!" :'(
Il me prend dans ses bras et me dit: "Ich weiss es schon, es ist nicht schlimm."
Je me sens rassurée et en sécurité dans ses bras contre son torse.

Hystérie

Je me rend chez mon copain K.
Tout est normal.
Il fait beau.
Nous sommes à Ploug., dans mon village.
J'ouvre la porte de son appart et tombe nez à nez avec une fille. Elle n'est pas vraiment belle, mais pas vraiment moche non plus, elle est fade, sans aucun intéret, un peu passe-partout. Mon copain surgit derrière elle et prend cette fille par la taille. Il me dit: "Ich mache jetz Schluss mit dir, ich habe keine lust mehr auf dich. Ausserdem habe ich 'ne neue Freundin"
A partir de là je perds pied, je perds le contrôle de tout, mes jambes se dérobent sous moi. Je devient rouge comme une tomate, je pleure comme une madeleine, hurle crie comme une hystérique. Il ne peux pas me faire ça à moi. Je le poursuis, je le supplie de revenir sur sa décision. Mais il ne m'entend pas, il reste calme tout sourire. J'ai beau hurler, me démener, c'est comme si il ne me voyait plus. Par contre sa nouvelle copine, elle, me voit et m'entend, elle a peur de moi et mes cris, elle pense que je suis atteinte mentalement. Je la hais. Elle n'est même pas jolie.
Mais hurlements s'accentuent, je vais au milieu de la rue en rage et je déchirent mes vêtements jusqu'à que je sois nue, là, en plein milieu du village, pour qu'il daigne enfin me remarquer et arrêter de m' ignorer.

Rencontre avec Franck Dubosc

Je suis observatrice.
Ma mère.
Ce soir elle a rendez-vous avec Franck Dubosc, mais elle ne le sait pas encore. Elle le rencontre dans une boite en carton, dehors dans la nuit noire sous une pluie grise. Il la supplie. Il a l'air d'un pauvre garçon un peu pommé, un peu comme comme dans ses rôles à la télévision. Elle se souvient qu'elle a un mari qu'elle aime, et elle repousse les avances de Franck.
Lendemain matin.
Je suis de nouveau actrice de la scène.
Ma mère m'a dit qu'elle a rencontré Franck Dubosc en personne. Je ne la croit pas. Alors elle m'emmène à Intersport ou il fait en ce moment sa p
romo. J'ai le coeur qui bat. Il est entouré de gens et de photographes, il donne des autographes. Lorsque nos regards se croisent, c'est le coup de foudre. Avec un regard enjôleur, il me dit: "En fait... c'est toi que j'attendais." Et il me prend dans ses bras.

samedi 24 juillet 2010

Mademoiselle Professeur

Je suis dans mon ancien collège. Je n'y suis plus élève mais assistante de français pour une classe de 10 ème allemande (ce qui correspond à la seconde en France). J'ai de la chance, car j'obtiens la classe de ma collègue Sissi, une classe où les élèves sont impossibles. En sortant dans les vieux couloirs de mon enfance, je décide d'aller manger avec ma collègue Sissi. "Lust mal was mit mir zu essen?"

vendredi 23 juillet 2010

Mort par étouffement

Je dors sur le ventre dans mon lits aux couleurs criardes, c'est un après midi aux couleurs jaunes-orangées. Arthur, mon petit chien King Charles aux couleurs flamboyantes se balade sur moi et se pose sur mon dos pour s'endormir. Mais il devient de plus en plus lourd. J'ouvre les yeux et je vois deux bras masculins musclés qui m'encerclent et me plaquent contre le matelas. Je sens le souffle rauque de l'homme contre mon visage, mais je ne vois que ses bras et je sens sa force. Je ne peux plus bouger ni crier. Peu à peu, je m'enfonce dans le matelas. Je ne peux plus respirer. J'étouffe.