mardi 28 septembre 2010

Examen japonais


Scène 1
Je vais bientôt passer ma soutenance en allemand.... au Japon. Je vois les grands immeubles argentés qui se perdent dans le bleu du ciel. Des passages de mon mémoire me reviennent à l'esprit d'une manière lancinante. Ces images là tournent en boucle, encore et toujours. Ces immeubles japonais et les pages dactylographiées de mon mémoires se mélangent et tourbillonnent dans mon esprit, et ça me donne le mal de mer.
(Je passe ma soutenance demain ;)
Source de l'image : Sophie no sekai (le monde de Sophie), un blog sur le Japon et l'Inde

Scène 2
Je suis de nouveau Au Pair dans mon ancienne famille d'accueil, cette fois ci en Vendée, dans la maison de mes grands-parents. Cette fois-ci, je ne reste que pour l'été, et j'éspère que tout va bien se passer, car la dernière fois, ça c'était plutôt finit en clash. Mais là, les enfants Lisa et Juri sont heureux de me voir et on s'amuse comme des petits fous dans toute la amison et dans le parc.

dimanche 26 septembre 2010

Dragon rouge

Scène 1
Je chat avec la cam sur le net avec un tatoueur. Ce que je veux? Un dragon rouge avec une épée sur l'avant bras. Ce tatouage en jette vraiment!
Une fois fait, le tatouage rend rend vraiment trop bien.
Mais il disparaît, où alors je ne sais plus très bien si en fait je l'ai fait. J'essaie de trouver un motif moins voyant, peut-être un tribal ou une inscription en chinois, peut-être un prénom où une date de naissance (les trucs bateau quoi)

Scène 2
Je suis sur les bords du lac de Constance à Hörnley avec des amis. Dans le groupe, je reconnais Bianca, une amie namibienne et B., mon ancien coloc. Il fait très beau et chaud. Nous prenons le soleil, lorsque tout d'un coup l'eau vient me chatouiller les pieds. Nous n'avons pas vu la marée montante (et oui dans les lacs, il y a aussi des marées), et nous devons nous décaler de quelque mètres en arrière. B. se fait prendre par la marée avec deux superbes jeunes filles qu'il enlace et embrasse.
Nous sommes de nouveau à l'appartement (mon ancien appart), et c'est Bianca désormais qui occupe la chambre de Soph. Bianca et B. forment un couple libéré, mais elle digère encore mal le fait que B est embrassé devant elle d'autres filles. Et puis je trouve ça malsain de former un couple dans une coloc.
On va sur le balcon au soleil. Bianca me dit qu'elle apprend le français en faisant du théâtre. Elle me montre d'ailleurs la pièce de théâtre qu'ils jouent en ce moment. Ca parle d'un gars qui s'appelle Monsieur ça va et le dialogue commence ainsi:
-Ca va dit: Ca va?
- Ca va répond: Ca va.
J'apprend à Bianca comment prononcer le "Ca va" parce qu'elle le prononce mal: Cha vichi?
Ensuite vient une phrase super complexe mais qu'elle prononce super bien et sans accent.

Scène 3
Je suis dans un bus à Konstanz. Je tiens dans mes bras ma petite fille âgée d'un an, elle me procure une sensation de bien-être. C'est ma petite fille, ma petite merveille. A côté, sur d'autres sièges, je remarque Ram un ami israëlien, qui lui aussi est avec son fils. Je fais tout pour qu'il ne me remarque pas, mais ma fille gigote, se libère de mes bras et se dirige vers lui.

samedi 25 septembre 2010

Les chaussons roses

Scène 1
Coucher de soleil sur la plage. Je mange au restaurant sur la terrasse d'un hôtel en face de la plage. J'y retrouve de vielles connaissances, que je n'ai pas forcément appréciées auparavant. On discute.
Quelque chose clignote dans mon sac à moins. C'est mon portable qui m'indique qu'il est l'heure de partir, si je veux pouvoir choper le bus pour rentrer chez moi. Il fait déjà nuit dehors. Une course effrénée commence alors sur la plage. La plage est bondée de jeunes gens venus faire la fête sûrement, dans la pénombre, je ne vois que leur silhouettes. Ce décor donne un peu à la plage une dimension fantastique et énigmatique. Je continue de courir, un peu embêtée tout de même, car je m'aperçois que j'ai aux pieds des gros chaussons roses en forme de lapin, ce qui m'empêche d'aller vite, surtout qu'ils me font trébucher une fois sur deux.
Je suis de nouveaux en ville, à Konstanz cette fois-ci. Je coure toujours et maintenant j'ai des tongs aux pieds, ce qui me permet de courir plus vite. Et puis c'est le black out total. Le trou noir. Je ne sais plus où je suis ni où j'habite ni quel bus prendre pour rentrer. Alors je continue de courir et d'errer dans les rues sans vraiment savoir où aller.

Scène 2
C'est l'après-midi. Il fait très beau. Je pars en vélo pour la plage habillée d'une robe en coton légère et courte. La plage est bondée, beaucoup de gens se baignent. Je m'installe dans un coin de la plage en me disant que je vais bosser mon mémoire. Mais la mer est trop tentante, j'ai trop trop envie de me baigner. Je veux enlever ma robe, mais je m'aperçois que j'ai oublié mon bikini. Je ne porte pas non-plus de culotte. Gênée je remets ma robe en place. Je n'ai même pas amené de serviette pour pouvoir m'étendre sur la plage. Alors je me pose sur un rocher pour pouvoir étudier. Celui-ci est mouillé.

Scène 3
Je suis toujours à la plage, mais dans cette version là, j'ai mes affaires avec moi. Je vais pour me déshabiller dans un vestiaire. Mais je m'aperçois vite que je suis dans les vestiaires hommes, et qu'à chaque fois qu'un homme ouvre la porte et me vois, il s'enfuit en courant.


vendredi 24 septembre 2010

Enceinte et heureuse

Je suis enceinte. Mon ventre fait des petits bourrelets et je me sens bien. Le père, c'est K.
Je me balade avec mes deux copines Camille et Kat. Je n'ai pas encore annoncé à Camille qu'elle sera bientôt marraine et tata, je veux garder encore un peu le secret. Kat, elle, est déjà mise dans la confidence, d'ailleurs elle, elle est déjà enceinte de 5 mois.
Je vais à la piscine avec Kat, nous allons dans le jacuzzi pour discuter bébé. Son ventre est déjà bien rond. Le miens a juste des bourrelets.
Je me sens vraiment heureuse d'être bientôt maman d'un petit bout-d'chou.

jeudi 23 septembre 2010

C'est (encore) la rentrée!

Je me réveille aux côtés de K. Il est 14h. Quoi déjà 14h? Merde merde merde je suis super en retard pour la rentrée dans mon nouveau Gymnasium (collège-lycée en Allemagne). Je regarde plusieurs fois le réveil pour me dire qu'il n'est pas 14h. Un moment je souffle soulagée car je vois 11h sur le réveil. Mais ma vision était floutée, il est bien 14h. De quoi je vais avoir l'air? C'est pas vraiment professionnel tout ça...
Je m'habille en vitesse.
Je suis à l'école.
Personne ne m'accueille, je ne connais personne. La secrétaire m'ignore totalement quand je lui demande des renseignements pour savoir qui sont les profs de français et quelles sont mes futures classes. Je lui demande alors où sont les toilettes: Wo sind die Toiletten?
Elle m'indique du doigt une tour derrière moi qui donne sur la cour de l'école. J'ouvre la porte et monte les escaliers en colimaçon. J'arrive au sommet de la tour qui surplombe toute la cour et les élèves qui sont en récréation. Là, il y a bien des toilettes à la turque, du moins ça y ressemble. Je m'accroupis le pantalon baissé, mais je n'arrive pas à faire pipi du fait que je suis en plein air, en plein milieu de la cour et que tout le monde peu me voir du haut de ma tour. J'ai vraiment honte. Alors j'observe la récréation et je me dis qu'ils ont dû me mettre la exprès pour faire la surveillante de récréations.
quand je redescends de la tour, je m'étale de tout mon long par terre et un professeur me marche dessus.
(en fait à mon réveil, je m'aperçois que c'est mon chien qui me marche sur le ventre)

mercredi 22 septembre 2010

A la poursuite de K.

K. parle avec sa coloc N. dans la chambre d'amis. J'aimerais participer à leur discution, mais je n'ai pas le droit de rentrer. K. veut parler seul à seul avec N, que c'est très important. Il me dit de partir.
Blessée, je lui hurle des injures horribles en allemand, en descendant les escaliers, mais il semble m'ignorer.
Alors je rencontre A., l'autre coloc de K. sur le chemin pour le self et l'accompagne. Nous mangeons ensemble.
Après le repas, obsédée de savoir ce que fait K., je revais à la chambre d'amis. elle est entrouverte et laisse passer un petit filet de lumière. Je glisse mon oeil dans la fente de la porte. K. n'est plus là. Mais N. y est toujours avec un garçon chauve qui a des petites lunettes rondelette avec un air à la L. Ils se regardent face à face sur le lit, les yeux dans le yeux. je me dis que ce doit être le nouveau copain de N.
Je les laisse tranquille et continue de rechercher un K. introuvable

dimanche 19 septembre 2010

Flash rêve

Ma directrice de thèse passe à toute allure devant moi, elle parait malade et son sein lourd dépasse de sa chemise.

jeudi 16 septembre 2010

La maladie des plis-plis

Scène1
Aujourd'hui c'est la rentrée à la fac. Quand j'arrive dans la coure, je m'aperçois je je ne connais plus personne.
Mon premier cours est un cours de maths en amphithéâtre. Je suis un peu nulle en maths. Mais là, nous avons deux professeurs: un père et son fils qui nous font étudier les mathématiques avec beaucoup d'humour à travers une véritable pièce de théâtre. L'heure passe très vite, on ne s'ennuie vraiment pas.
Fin de l'heure
Je vais m'étaler dans un fauteuil à la Bibliothèque universitaire. A côté de moi, dans un autre fauteuil, il y a une blonde bâtie comme un bûcheron qui gueule comme un putois: Hé toi, on s'connais, non?
Ce n'est pas à moi qu'elle parle mais à un gars. De mon côté, j'essaie de comprendre mon emploi du temps. J'aimerais aller à un cours de littérature allemande sur Goethe, mais je n'arrive pas à trouver l'heure, le jour et la salle. Ce qui est marqué est un peu flou.
Tout d'un coup deux infirmière me font sursauter. Elles me prennent à part et me disent que j'ai la maladie des plis-plis sur mon bras droit et ma main et que c'est très contagieux. Je regarde mon avant-bras et ne vois rien de particulier. Mais par précaution, je les laisse faire. Elles me recouvrent la main et l'avant-bras de terre, puis renversent un bocal de vers de terres (beeeeuh) dessus. Les vers s'enfoncent dans la terres et commencent à me sucer le sang comme des sangsues. Ca ne me fait pas mal, mais ça me dégoûte. Puis les femmes mettent un bandage autour de ma mains recouverte de terre et de vers. "C'est la seule solution pour soigner les plis-plis" me rétorque une des infirmières d'un ton bourru.

Scène 2
Vue aérienne
New York est noyé sous les inondations.

mercredi 15 septembre 2010

La lumière au bout du couloir

Scène 1
Nous sommes entassés à plusieurs étudiants dans une même chambre. Tout le monde dort un peu n'importe comment à cause du manque de place. Nous avons chacun un ange gardien représenté sous forme de jeunes femmes parfaites en tout point. Elles nous protègent et nous permettent de réaliser nos rêves. La mienne s'appelle Fleur, une autre s'appelle Floraux et encore une autre: Coca Cola.
Malheureusement, elles sont éphémères et finissent par disparaître et nous laissent livrés à nous même et à notre libre-arbitre.

Scène 2
Je me balade avec T. et des amis dans les rues de Brest. Soudain T. commence à se moquer de moi méchamment jusqu'à me faire pleurer. Je m'en vais en pleurant en courant.
T me lance: AHAHA Schau mal wie sie rennt! HAHAHA (regarde comment elle court!)
Effectivement je cours d'une drôle de façon, mais je ne peux pas faire autrement: je cours à demi-accroupi dans les rues....
T. me poursuis en riant, j'ai trop la honte. Je trouve une porte et rentre dans un long couloir vide et sombre. Je referme vite la porte avec son verrou derrière moi pour empêcher T. de rentrer. Je continue à courir le long du couloir sale et insalubre. Au bout: une porte en verre avec la lumière du soleil qui m'ébloui. Je sors par derrière, enjambe une clôture et un buisson, puis je me retrouve en plein milieu des champs. D'un côté, il y a des vaches, de l'autre un champs de blé doré. Dans le champs de blé, des jeunes gens, une fille et un garçon, fument des joints et rigolent très fort. La fille est et petite et menue, elle est brune et coiffée de deux grosses tresses. le garçon est pâle et frêle, il a les cheveux mi-longs couleur noir corbeau. Je passe devant eux en courant, au bout du champs, il y a une rue passante, je me retrouve dans les rue de Brest. J'aperçois un Bar-Tabac et je m'y arrête essoufflée. J'ai besoin d'une clope pour me détendre. J'achète un paquet de roulées, je m'assois à la terrasse et tire mes premières bouffée exténuée. Je me sens comme sur un petit nuage.

lundi 13 septembre 2010

Les lutins-barbies


Trois jeunes garçons partent en vacances en voiture. Ils s'arrêtent au bord d'une route.
Non loin de là Une jeune fille qui ressemble à Barbie se transforme en affreux lutin cornu qui rigole bien d'avoir roulé tous ces hommes en les séduisant, puis en les dévorant.
Des jeune filles tailles mannequins et poitrines généreuses ainsi que le lutin retransformé en Barbie s'approchent de la voiture et des trois jeunes garçons.
Les filles leur offrent leurs services. Ils ne savent pas que se sont des lutins dévoreurs d'hommes et se laissent prendre au piège. Le coffre de la voiture devient alors un vrai baisodrome. Seul, un des garçons se rend compte que ses filles sont malfaisantes. Il glisse alors son mémoire de master sous un siège de la voiture (pour le protéger du carnage à venir) et il s'enfuit. Barbie le poursuit à grande enjambée. Pour l'instant il a de l'avance. Il se retrouve dans un labyrinthe de châteaux Playmobils, légos, Barbie et polypoket. Il se dit que peut-être il arrivera à la semer. Arrivé au bord de la mer, exténué, il s'arrête essoufflé... Barbie l'a de toute façon rattrapé. Il se tourne face à elle.
Barbie: Pourquoi es-tu parti comme ça?
Il la regarde dans les yeux, et tout d'un coup il sait qu'elle ne pourra pas le vaincre car il est l'ELU, ça lui donne de l'espoir.
D'un autre côté il se demande si finalement il a bien fait de se méfier de Barbie car elle paraît inoffensive, et puis y'a pas à dire, elle est canon.

Je marche au bord de la mer avec ma mère. Je lui dis: C'est magnifique ce champs énorme avec tous ces légos, playmobils, barbies et polypoket. C'est une énorme aire de jeux! Les enfants doivent adorer!

samedi 11 septembre 2010

Bonnet noir et saucisson

Je suis invitée à une fête énorme en plein après-midi, das un Hangar, non loin du Lac de Constance.
Dans le hangar, il y a foule. je ne connais personne. La première chose que je fais, c'est de me diriger vers le distributeur de cigarettes (Oui oui, en Allemagne, il y a des distributeurs de cigarettes à tous les coins de rue). Puis je m'assois à une table, seule. Je grille une cigarette après l'autre histoire de combler ma solitude au milieu de tout ce monde. Puis c'est à ce moment qu'arrive un charmant jeune homme, grand, blond, un peu timide. Il s'assoit à ma table et il m'entraîne dans une conversation passionnante. Puis j'aperçois sur la scène Alex, mon ex.
Cassure
Le blond n'a plus vraiment d'importance. Je lui dit que je m'absente un petit moment pour dire bonjour. Il me réplique: Ja aber du kommst gleich wieder oder?
- Ja
- Dann warte ich auf dich!
Alex est surpris et content de me voir. Nous avions une relation destructrice et il m'en a fait voir de toutes les couleurs lorsque nous étions ensemble, et pourtant je ne lui en veux pas. Il est à demi Italien, demi Allemand, il est brun et il a surtout un caractère difficile. Il s'est empâté avec le temps, mais ça n'enlève pas l'admiration que je lui porte. Il me dit que j'ai oublié un bonnet noir et du saucisson chez lui. Alors nous enfourchons nos vélos et partons tous les deux vers la cité U. Y'a pas à dire, je me sens bien en sa présence.
A la Cité U, il me présente son 9m² qu'il partage en coloc avec une fille. ca me parait bien petit pour une coloc à deux. Il me montre les photos de sa coloc, qui en fait ressemble surtout à un mec. Il me rend mon bonnet noir et mon bout de saucisson.
Nous repartons pour la fête en vélo. Arrivés là bas, je perds Alex dans la foule, ce qui m’attriste énormément. Je me rassois à la table. Le blond n'ont plus n'a pas eu le courage de m'attendre. Je me retrouve de nouveau seule.

Scène 2
Je marche devant mon ancien collège avec d'autres camarades de classe. Il y a un bouchon énorme dans la rue. On s'amuse à détourner les voitures. On apprend à la fin que ça a plutôt mal tourné pour une femme enceinte dans une des voitures. Ce n'était pas notre but, on voulait juste s'amuser.

Scène 3
Au réveil, une chanson de Noir Désir me trotte dans la tête: Lost

Pourras-tu le faire I'M LOST
Pourras-tu le dire I'M LOST
Tu dois tout essayer I'M LOST
Tu dois revenir I'M LOST

Tu dois voir plus loin I'M LOST
Tu dois revenir I'M LOST
Egaré en chemin I'M LOST
Tu verras le pire I'M LOST

Pour trouver le sud I'M LOST
Sans perdre le nord I'M LOST
Après les certitudes I'M LOST
Au-delà des bords I'M LOST

I'm lost but I'm not stranded yet {x2}

Dans les yeux des femmes I'M LOST
Dans la marie-jeanne I'M LOST
Dans la techno-cité I'M LOST
Pour manipulés I'M LOST

Grand combat de chairs I'M LOST
Colline enflammée I'M LOST
Dans l'ombre ou la lumière I'M LOST
Pôle halluciné I'M LOST

Pour courir ventre à terre I'M LOST
Brouillard et fumée I'M LOST
Consommer consumer I'M LOST
Recracher de l'air I'M LOST

Dans le dérisoire I'M LOST
Dans les accessoires I'M LOST
Dans le feu des possibles I'M LOST
Au cœur de la cible I'M LOST

Dans la paranoïa I'M LOST
Dans la schizophrénia I'M LOST
Un maniacopéra I'M LOST
Pharmacopérave I'M LOST

I'm lost but I'm not stranded yet {x2}

Entre les dérapages
Entre les lignes d'orages
Entre temps entre nous
Et entre chien et loup
Au maximum du voltage
A peine est passé le message
Au fil du rasoir

Encore une fois c'est la vie qui s'entête
Acharnée au-delà des images qu'on reflète
Chacal, charogne, chaman, sachem
Magie noire ou blanche inscrite à la Sacem

Des poumons d'or
Belphégor
Ici, maintenant, à la vie, à la mort
N'oublie pas ton sourire pour ce soir si tu sors
Un jury t'attend n'injurie pas le sort

Entre les dérapages
Entre les lignes d'orages
Entre temps entre nous
Et entre chien et loup
Au maximum du voltage
A peine est passé le message
Au fil du rasoir

Dans les corridors I'M LOST
Sur les baies vitrées I'M LOST
Des insectes écrasés I'M LOST
Qui cherchaient de l'or I'M LOST

Dans les ministères I'M LOST
Dans les monastères I'M LOST
Dans les avalanches I'M LOST
Au bout de la planche I'M LOST

Des combats d'autorité I'M LOST
Des conflits d'intérêts I'M LOST
Des types ignifugés I'M LOST
Veulent ma fusée I'M LOST

Des désenchanteurs I'M LOST
Un train à quelle heure I'M LOST
Des pirates des corsaires I'M LOST
Sans aucun repaire I'M LOST

Tu dois voir plus loin I'M LOST
Tu dois revenir I'M LOST
Tu dois tout essayer I'M LOST
Tu dois devenir I'M LOST

I'm lost but I'm not stranded yet {x2}

vendredi 10 septembre 2010

Le "Tube de l'été" (par Brad Pitt)

Scène 1
Je suis assise sur un banc en pleine cambrousse, il fait nuit. Je balance les jambes d'avant en arrière et je pense à mon mémoire de master sur le livre "Die Klavierspielerin" (La Pianiste) de l'écrivain autrichienne Elfriede Jelinek et à ma directrice de thèse injoignable qui ne m'a toujours pas donné de date de soutenance, alors que je dois la passer ce mois ci. (Et ça ce n'est pas qu'en rêve, c'est aussi la réalité).
Je repars à pieds et traverse Plouezo'ch. Là, il y a un magasin illuminé et en deventure, il y a deux posters:
L'un est le "tube de l'été" chanté par Brad Pitt
et l'autre image représente la manière de faire pour rouler un pet.

Un clochard qui sent un mélange de transpiration et d'alcool me bouscule. je m'en vais et j'allonge le pas. j'ai peur qu'il me suive. Il ne me suit pas mais me crie: "SALOOOPE!" Putain la salope, tu verras quand jt'aurai!
Je m'enfonce toujours plus vite dans la nuit noire et impalpable.

Scène 2
Je vais me marier. Le gars est très gentil. D'origine indienne, il ressemble au personnage principal du film Slumdog Millionaire. On est assis par terre, à côté de mon lit, main dans la main. On s'embrasse chastement. Et oui l'abstinence a
vant le mariage, c'est important.

Scène 3
Je suis à Konstanz, à l'école. Ce matin c'est la rentré. J'ai une nouvelle classe de 6ème qui m'a l'air vraiment très sympa. Mais quand j'entre dans la classe pour me présenter, je m'aperçois que je ne porte qu'un débardeur blanc sans soutif. En plus on voit à travers. Je leur dit de m'attendre 5 minutes, le temps que je me trouve un soutif. Entre temps je réfléchi à ce que je vais bien pouvoir leur enseigner...

Scène4
Je pars en voyage pour l'Australie!


jeudi 9 septembre 2010

Renaissance manga



Je suis avec mes copines dans les rues de Brest. Soudain je regarde l'heure et j'angoisse: dans une minute, pas une de plus, mon bus arrivera en haut de la côte. C'est le seul de la journée et le seul qui me ramènera chez moi, à 80 km d'ici. Je cours, mais c'est manifestement trop tard, car il me passe sous le nez.
Une amie me propose alors une solution a
lternative: d'aller dormir dans sa chambre étudiante à la cité u de Kergoat. Dépitée, j'accepte.
Nous sommes à 5 dans la petite chambre de 9m².
Les fille me disent au revoir et me laissent seule.
Il faut que je me change pour mettre quelque chose de mieux sur le dos. Je trouve (après un temps considérable) un top orange de soirée très près du corps (cadeau d'un ex) et un boléro blanc qui a une tâche de chocolat sur la manche droite. Mai
s je me dit que personne ne le verra. Et j'espère que je n'aurai pas trop froid avec que ça sur le dos. Lorsque je me change, il y a (évidemment) des voyeurs qui me scrutent par la fenêtre.
Soudain je me rend compte que j'ai une voiture, et que je peux bouger finalement! Je prends donc la voiture pour aller à un endroit encore
inconnu. Je m'aperçois que j'ai du mal à conduire. Parfois ma vision devient floue (notamment quand je rentre dans un rond-point) et je me mélange les pédales, ce qui fait que je fait des sacrés embardées sur la route. Mais je me dis: Tant que je ne cause pas d'accident....
J'arrive finalement à mon but. Je suis devant un grand immeuble gris. Quand je rentre à l'intérieur, il y a une foule incroyable. Beaucoup de gens font la queue. Il y a des escaliers et des escalators immenses remplis de monde. J'essaie de me faufiler entre les gens, je n'ai pas vraiment l'intention de faire la queue moi.
Puis j'arrive dans une grande salle lumineuse avec des casiers de toutes les couleurs. Il n'a presque personne. Je remarque une petite fille qui joue avec un mini-chien en ballon de baudruche.
Elle est asiatique, elle a de bonnes joue et des cheveux noirs en baguettes qui lui tombent sur les yeux,elle ressemble à Chihiro. C'est la que ma vision se met en vision dessin animés. La petite fille devient un manga. Elle s'en va. je la suis pas à pas. Elle me mène jusqu'à une salle d'opération. Sa mère, une très belle jeune femme, est étendue sur un lit d'opération, elle est endormie. La petite fille veut retourner dans le ventre de sa maman. Alors elle se met à la hauteur du visage de sa mère et disparait en elle. On a l'impression qu'elle se fait scanner. Le transfert est assez flou. Mais l'opération ne marche apparemment pas puisque la tête de la petite fille ressort triste de l'autre côté, entre les jambes de la maman.

mercredi 8 septembre 2010

Décousu

Scène 1
Je suis dans une vie postérieure. Je suis naine et je l'assume pleinement. D'ailleurs je trouve que les gens m'apprécient et me respectent beaucoup plus que lorsque j'étais une personne de grande taille. En y regardant bien, je suis une copie quasi-conforme de la comédienne Mimi Mati.
Scène 2
Repas familial le soir, avec mes grands parents paternels, mes parents et des amis à eux. Nous descendons des escaliers à colimaçon, jusque la salle à manger obscure. L'un des amis de mes parents me dit: Ah, je te préférais quand tu étais naine!
La salle à mangé est plongée dans l'obscurité, il y a trois tables noires. Sur l'une des tables se mettent la plupart des gens. Sur la deuxième, il n'y a personne et sur la troisième, il y a un homme seul. Pendant le repas, je change plusieurs fois de tables. A la dernière table, l'homme seul est enroulé dans une couette.

Scène 3
Je suis dans ma chambre. Je m'aperçois que mon placard à vêtements est en fait un sas qui mène directement sur une plage paradisiaque: Soleil, ciel bleu, sable orangé, mer turquoise et cocotiers.

Scène 4
J'enlace K. Il me protège.

mardi 7 septembre 2010

Bus fantôme

Scène 1
Je vais à l'arrêt de bus. Aujourd'hui c'est la rentrée pour les lycées et collèges. Je suis au lycée.
Autour de l'arrêt de bus, il y a pleins de jeunes qui attendent aussi le bus. Certains sont venus en scooter. Je vais m'assoir à l'ombre dans l'arrêt de bus. Là, il y'a une toute jeune fille qui fait son entrée au collège, une petite blonde, menue avec un visage d'enfant. Tout de suite, le courant passe entre nous, nous devenons amies. En attendant le car qui passe vers 7h, elle pose sa tête sur mon épaule et s'endort. Je m'assoupis moi aussi. Quand je me réveille en sursaut, il n'y a plus personne dehors... Merde nous avons sans-doute manqué le bus! Et la je vois un car s'arrêter devant nous. Le car ressemble à celui de d'habitude, sauf le chauffeur qui me parait étranger. C'est un petit homme replet avec une moustache à la bavaroise. Dans le car, il n'y a pas âme qui vive. Je ne me méfie pas et m'installe au milieu du bus avec la jeune fille. Nous ne prenons pas le chemin habituel pour aller au lycée, c'est étrange. Je me dis que vais être très en retard.
Nous sommes chez le chauffeur en question, dans son appartement situé dans un village breton dont le nom qui m'échappe commence en Plou-.
La jeune fille dort tranquillement dans une chambre d'ami. Je demande au chauffeur: Dites-moi, vous passez bien par le lycée à Morlaix?
-Non
-Et vous passez par Morlaix?
-Non
-Mais vous allez ou?
-A Paris.
Et la je ne sais plus vraiment quoi faire, non, je ne peux pas arriver en retard au lycée! Je suis coincée et j'angoisse car je ne trouve pas de solution...
De plus le chauffeur est un pervers qui commence à me faire des avances. Mais moi je pense juste: Je vais être en retard....

Scène 2
Je suis dans une salle de classe dans mon ancien collège et enseigne le français en compagnie d'une autre prof de français à mes élèves de 6ème allemands. Tout se passe à merveille, et je trouve que les enfant se débrouillent vachement bien pour des débutants.

lundi 6 septembre 2010

Soirée arrosée

Scène 1
Je possède deux beaux restaurants, dont un se trouve à Lübeck. Ce sont des restaurants traditionnels. J'ai un peu le mal de mer. Beuuuh

Scène 2
Il y a une soirée chez moi avec mes proche et des amis, dont une ancienne amie de Lycée: L. Elle est petite et menue, les cheveux châtains et raides ramenés en queue de cheval. Avec elle, j'ai fais les 400 coups. La elle se retrouve chez moi. Il y a de l'alcool, l'ambiance est sympa.
La soirée se termine au lit avec L.
Nous sommes nues toutes les deux, l'une contre l'autre dans la position de la cuillère. Elle prend mes seins entre ses deux mains. Et on s'endors comme ça. C'est assez agréable.
Tout d'un coup nous sommes réveillés par ses amis. Je suis très gênée de devoir me montrer nue, j'ai juste le drap qui me cache la moitié du corps.
On parle de la soirée de L. qui doit faire une super fête demain. Ils me demandent de venir, mais je ne sais pas comment je vais y aller car je n'ai pas de voiture et pas vraiment la motivation.
Je me lève pour aller m'habiller, le drap tombe et les garçons me regardent avec insistance. Je suis très gênée. D'autant plus que je en trouve plus LA super robe que je voulais mettre.

Scène 3
Je me rend à une fête sur la plage, en bas de chez moi. Il y a un coucher de soleil magnifique et les gens dansent, la falaise est illuminée.

dimanche 5 septembre 2010

Les romans suédois


Scène 1
Après avoir lu le premier bouquin Millenium, Les Hommes qui n'aimaient pas les Femmes du Suédois Stieg Larsson, Je m'attaque à un nouveau roman suédois: L'Hypnotiseur de Lars Kepler.
En m'endormant, j'ai cette phrase dans la tête qui résonne sour
dement en français, puis en allemand: Il faut que j'arrête de lire les romans suédois, ça me donne des psychoses.
Ich muss aufhören, schwedische Romane zu lesen, es gibt mir Psychose.
Je me dit que ça sonne bien, il faut que je l'écrive dans mon profil Facebook.

Scène 2
Je suis au lycée, dans une salle de classe.
Je présente un projet Powerpoint avec ma petite amie devant la classe. Oui, c'ette fois il semblerait que je sois lesbienne. Mon amie est grande, mince et brune avec un visage fin et déterminé. Je me sens vraiment bien à ses côtés, elle dégage quelque chose de rassurant. Une fois le projet finit, on sort de la classe. On discute
un peu avec un gars tout droit sorti de la série américaine 10 Things I Hate about You , une sorte de bogosse débraillé, le genre bad boy, cancre, jemenfoutiste, mais avec un coeur d'or.
Le soir
Je vais avec mon amie au restaurant. Soirée romantique et lumière tamisée. Malheureusement, il n'y a plus de tables de libres, alors nous devons nous assoir à une table avec d'autres gens. Notre place réservée se trouve là ou il y'a une baguette tordue en forme de banane.

samedi 4 septembre 2010

Le cartable vivant

Scène 1
Je suis en train de faire un jogging sur le sentier côtier breton. Il fait beau. Je cours tête baissée. je me retrouve sur une énorme falaise au bord du précipice. Mais ça ne me fait pas peur, je continue de courir comme le vent. J'ai l'impression d'être libre et de m'envoler. Soudain je crois une fille et un gars qui font aussi leur jogging. La fille est grande et élancée, elle a une queue de cheval et un très joli visage. le garçon est pas mal non plus, il est blond avec des mèches qui lui tombent devant les yeux. Lui ne coure pas vraiment, il s'est arrêté au bord de l'eau. Mais la fille me devance. je ne veux pas qu'elle gagne la course alors je redouble d'efforts pour la doubler, ce qui n'est pas tâche facile. Elle court élégamment comme une gazelle et j'ai soudain l'impression d'être un éléphant aux membres ankylosés et lourds.

Scène 2
Je suis de nouveau au collège. La gazelle et le blond sont de nouveau là. Ils sont dans ma classe. le blond s'est rasé les cheveux, c'est dommage ça ne lui va pas très bien. Il me fait penser a un ancien colocataire à Konstanz. Nous sommes assis dans la classe.
La professeur arrive, nous devons être silencieux. Et c'est là que mon cartable ce met à faire un bruit épouvantable, comme un bruit de moteur. Il commence à bouger sur place, et de la fumée en sort. Je n'arrive pas à le calmer ni à l'ouvrir. Les autres commencent à être exedés et ils veulent que je fasse taire mon cartable, car sinon ils ne peuvent pas travailler.

vendredi 3 septembre 2010

Retour dans le passé

Ca commence en l'an 1900. C'est le jour de mon anniversaire, le 15 mai. Ma mère et ma meilleure amie Camille (elle est maquillée bizarrement) sont là aussi. Nous somme dans l'allée de notre maison.
Quelques année plus tard, je fais un bon dans le futur avec ma mère. C'est de nouveau le jour de mon anniversaire. Et c'est exactement la même situation qui se créé qu'en 1900.
Comme le film Un jour sans fin, à chaque réveil, c'est le jour de mon anniversaire qui se reproduit, mais sur plusieurs années différentes. Ca tourne en boucle.
1933 - Hitler arrive au pouvoir en Allemagne.
C'est la dernière fois que la scène de mon anniversaire se reproduit. Après on reviendra en 2010. Mon père interloqué nous demande à ma mère et moi: Mais comment ça se fait que depuis 1900 vous n'ayez pas vieilli?
Et oui, avec tous ces sauts dans le temps, nous n'avons pas pris une ride.

jeudi 2 septembre 2010

Transparente

Scène 1
Je suis à Kiel et en même temps dans la cour intérieure de mon ancien lycée à Morlaix.
Il y'a un poste de télévision et des bancs pour les spectateurs. Il n'y a plus de places de libre et tout le monde se serre sur les bancs.
Aparemment c'est du foot que l'on regarde.
Je suis assise tout en bas avec trois copines avec qui je rigole.
Trois rangs plus haut, il y a mon copain K. avec son colocataire Christophe. Ils ont aussi l'air de s'amuser. Plus à droite ma mère est là aussi, seule.
Je rigole bien, mais en vérité, j'essaie de me faire remarquer par K. C'est comme si il ne remarquait pas ma présence et ça m'énerve beaucoup. Je me sens transparente et vulnérable. J'essaie de rire et de prendre part à la conversation avec mes copines, mais en vrai je n'arrive pas vraiment à suivre le fil, j'ai l'esprit ailleurs. K. devient une obsession, il faut à tout pris qu'il me remarque. Mais il semble plutôt plongé dans de grandes conversations avec Christophe. Je sers les dents de jalousie. Je grimpe quelques étages pour rejoindre ma mère et me rapprocher par la même occasion de K. Mais c'est peine perdu. Et lorsque je veux me rapprocher de lui, il part avec son coloc. Je le cherche partout des yeux sans le voir. Je suis désespérée.

Scène 2
J'habite avec Sophie (mon ancienne colocataire à Konstanz) dans une petite partie de la maison de mes grands-parents en Vendée. On se partage la chambre.
Ce soir il y a une grande fête dans la piscine. Une grande piscine qui se trouve dans le salon de mes grands-parents. Par contre c'est une soirée costumée, tout le monde a des supers costumes sauf moi. J'essaie ma robe noire gothique, mais est-qu'elle va supporter le chlore de la piscine? Je ne retrouve plus ma super perruque rouge du carnaval, et ne trouve rien d'un peu original. Bref je passe mon temps à me chercher un costume. Et je me dis qu'à ce rythme là, je ne serais jamais prête à temps. Il faut encore se maquiller... mais avec quoi?
J'observe la piscine, c'est la nuit, elle est éclairée par une lumière tamisé, et des tas de gens déguisés s'amuse dedans. C'est joli à voir toute cette farandole de couleurs criardes dans le bleu clair de l'eau.