lundi 27 décembre 2010

Le journal d'une vampirette

Je suis un vampire. Et comme le raconte les histoires de Stephanie Meyer, je doit être super belle et parfaite, je me dis que je dois plaire aux garçons.
Je m'installe dans ma salle de classe. Il y'a un autre vampire dans la classe : Une blonde qui a un second rôle dans la série The Vampire Diary, on lui donne le surnom de Blondie ou Barbie. Mais je sens aussi l'odeur d'un loup garou et je sens mes crocs qui veulent sortir. Le loup garou est aussi un second rôle de The Vampire Diary. Je me dis que je ne dois pas m'approcher de lui si je ne veux pas avoir d'altercation.

Je suis dans la maison de mon arrière-grand-mère dans le Nord à Douai. Désormais, c'est K., mon copain, et ses colocs qui y habitent. Je suis chez lui. Mais il n'est déjà plus là, il est parti. J'essaie de le joindre, pas moyen. Je vais en ville pour me changer les idées, pas moyen, je ne pense qu'à lui. Je reviens à la maison, il n'est toujours pas là et ne me donne pas de nouvelles. Le soir, je mange avec ses colocs et demande : aber wo ist K.? Ils me répondent : Keine Ahnung ! Eux-même en on aucune idée. C'est frustrant. Puis je monte à l'étage dans sa chambre et m'endors dans son lit.
Le lendemain matin, il est là, près de moi. Je suis soulagée et très en colère à la fois. Je lui demande ou il était. Il me dit qu'il était chez son grand-père. Je me mets vraiment en colère et entre dans une hystérie pas possible. Lui reste calme. Je lui crie : Pourquoi tu ne m'a pas prévenue avant ? J'étais morte 'inquiétude ! Pourquoi tu ne m'a pas donné de nouvelles? Il ne réponds pas et reste stoïque comme s'il ne m'entendais pas.
Je m'enfuis dans la rue en courant.

C'est l'anniversaire de mon père. Nous voulons le fêter dans la cour de mon ancienne école primaire.

Je suis danseuse aquatique. Pour échapper au Mal avec mes copine, nous devons sauter dans la piscine sur le côté.


dimanche 26 décembre 2010

Hermaphrodite

Je suis dans un vieil entrepôt sale et humide avec d'autres gens. On est des fugitifs.
J'échange de sexe avec un homme, il devient moi et je deviens lui, un homme d'une quarantaine d'année à la figure tannée et aux mains rugueuses.
Là, au milieu de l’entrepôt, il y a une pièce avec une centaine de bidets alignés. J'ai très envie de faire pipi mais j'ai un peu honte. Puis je vois d'autres le faire, alors je me dit pourquoi pas. Et là je me dit : Hey super ! Maintenant que je suis un homme je peux faire pipi debout !
Ce que je fais. C'est très bizarre d'avoir un pénis, mais pas désagréable du tout.^^

samedi 25 décembre 2010

Lemon Tree

Je suis devant une classe de sixième en Allemagne. C'est le début de la journée. Le truc c'est que je n'ai rien préparé du tout avant et je ne sais pas quoi leur dire. Ma collègue Madame G, professeur de français m'accompagne aussi, mais elle ne m'est pas beaucoup d'utilité, elle fait acte de figuration. Les enfants commencent à chahuter, ils sont plus de 40 dans la classe. j'ai besoin d'air. Soudain illumination, je trouve un CD de musique à exploiter. Je met le cd dans le lecteur. Nous écoutons trois chansons l'une après l'autre. Pas de chance, j'enseigne le français et les chansons sont en anglais. Je ne reconnais pas la 1ère et la 3ème chanson, par contre la deuxième est connue : Lemon Tree de Fools Garden


Je suis contente d'en connaître au moins une dans le lot. Je pose une question quelquonque sur la chanson à une blondinette nommée Svea. Elle répond juste. Je suis de nouveau à court de mots, heureusement, ça sonne et c'est la pause. Ouf ! Svea arrive vers moi, elle est au téléphone et elle pleure, des larmes perlent sur ses joues et elle me demande si elle peut partir plus tôt de l'école.

C'est la pause, j'en profite pour aller à la salle de sport et je m'assois sur le sol à l'entrée pour regarder le volley. Et là, je m'aperçois que je n'ai pas de pantalon, j'ai mon T-shirt Bart Simpson et une culotte rouge. J'espère que personne ne le remarquera, en plus, je ne suis pas rasée des jambes. Il y a un garçon qui s'assoit à côté de moi, un grand blond pas mal du tout. Il me regarde avec insistance , je cache mes jambes, j'ai trop honte. Et là il s'approche vers moi pour m'embrasser vers la joue et son baiser dérape sur le coin de ma bouche. Le moment est électrique, j'ai très envie de continuer, mais je jette un coup d'oeil derrière lui, nous avons deux spectateurs, deux jeunes garçons. Et là je me rend compte de ma bêtise, et s'ils connaissaient K. ? S'ils racontaient à K. que j'embrassais un autre garçon? Les remords reviennent me hanter. Mais au moins, ce n'était pas un vrai baiser, il ne s'est vraiment rien passé. Je repars vite fait, sans un regard à l'autre garçon, dans les vestiaires du gymnase. je cherche en vain mon pantalon sous la pile de jeans des autres filles. Et je ne le trouve pas. Il est nulle-part. Mais la pause est courte et je dois bientôt retourner en classe, mais je ne peux pas faire cours en culotte! Alors je m'dis tant-pis, je prends le pantalon d'une autre, j'ai un peu mauvaise conscience, mais je me dis : personne ne le saura que c'est moi, tous les jeans se ressemblent. Celui que j'ai choisi est un peu large et il est troué à quelques endroits.
Je vais tout de même voir dans un autre vestiaire où je ne trouve rien. Je me rends dans un autre gymnase et la je vois du Football américain. La salle et les joueurs sont bien mieux équipés que dans le première salle . Et je me dit : Ca c'est bien américain !
Je retourne dans les premiers vestiaires qui ont changés de formes entre temps, c'est devenu un vrai labyrinthe.
Ca sonne, la pause est finie.

Et voilà, je me retrouve de nouveau dans une classe, la 9A, avec le pantalon d'une autre. Et je ne sais toujours pas quoi enseigner. trou noir total. Madame G. me fourre alors un livre sur les légendes de la Bretagne entre les mains et me demande d'en faire la lecture.

mercredi 22 décembre 2010

Vampire addict

Je suis dans la chambre de K. avec un garçon qui n'est pas K. La chambre est sombre, la télé est en marche. Le garçon est plus jeune que moi, 17 ans peut-être, il est plus petit que moi, d'origine indienne peut-être. Il veut aller au lit avec moi et je me laisse faire, je cède facilement à ses avance bien qu'il ne me branche pas du tout...
Mais ça ne va pas très loin, le remord reprend tout de suite le dessus et je pense à K.
et je me dis quelle idiote je suis. Ce garçon ne compte pas du tout pour moi, alors que K. est toute ma vie. Avec mauvaise conscience, je me rhabille en espérant que K. ne l'apprendra pas. Et dans sa chambre en plus! Mais je me dis qu'il s'est passé trois fois rien, rien de bien grave, pas de quoi fouetter un chat. On ne s'est même pas embrassé. Je m'endors aux côtés du garçon et je me dis : en tout bien tout honneur comme ça K. ne pourra rien suspecter.

Le garçon s'en va. K. revient. Ouf c'était moins une.
Je prends K. dans mes bras toujours plein de re
mords.

K; est parti. Il a disparu et je suis à sa recherche. Je vais dans la chambre de N. sa collocataire. Sa chambre a été transformée en grande salle de
muscu et de fitness avec des tapis roulants, des vélos d'appartement, des grosses balles de gym. Il y a quelques filles habillées en toutouyoutou avec des justaucorps et des collants aux couleurs criardes. Je ne m'y attarde pas.

Je sors de la maison et me retrouve dans mon village à
P. toujours à la recherche de K. Je rentre dans une grande salle de gym sombre où il y a une séance d'aérobic. Je fais quelques mouvement avec
les fille et discute avec l'une d'entre elle.

Finalement je rentre dans un bar le soir. J'ai l'impression que K. a appris ma trahison, c'est pourquoi il est parti. Et là je le vois au bras d'une blonde dans le bar. Mais il s'est transformé en Stephan le vampire dans The vampire Diary. Il me regarde de ses yeux froids. Moi aussi je suis transformé en sa compagne Catherine, une jolie bune. Adossé à un mur dans l'escalier insalubre du bar, je le regarde avec tristesse, mon mascara coule le long de mes joues.

Finalement je me dit que dans les séries sur les vampire, The vampire Diary est pas la meilleure version, les personnages sont trop beaux, trop lisses et trop parfaits, j'aurais plutôt dû choisir Bill le vampire et Sookie la serveuse dans True Blood. Erreur de Casting.

vendredi 26 novembre 2010

(Més)Alliance avec la famille Sarkosy


Je suis chez K dans sa chambre. Nous sommes 5 dans le lit de K. De droite à gauche: Sarkosy,Carla, ma mère, mon père et moi au bout. Je suis plus petite que les autres. Nous sommes serrés en rangs d'oignons dans le lit sous la couette aux couleurs chaudes et nous regardont la télé. Mes parents semblent très proches de la famille Sarkosy et échangent des blagues que je ne comprends pas.

lundi 22 novembre 2010

Les voyages en train

Je suis à la gare de Morlaix. Je veux prendre le train pour aller en Allemagne. Je m'aperçois que j'ai toutes mes affaires sauf ma grosse valise de la marque ''Tour du Monde''. Je cherche partout où elle peut-être, une valise de cette taille, c'est tout de même voyant, on ne la perd pas comme ça. Je panique un peu. Le train arrive, je demande au contrôleur de m'attendre, que je cherche encore ma valise. Il accepte mais me laisse peu de temps. Je trouve une valise Tour du Monde qui ressemble à la mienne, mais ce n'ai pas la mienne pasque les couleurs et le cadrillage sont légèrement différents. Le train part sans moi et je suis complètement abbatue.

Je suis dans le train et je je pars pour les paysages froids de Russie. Dans la train, je photographie le paysage magnifique et irréel. Le ciel et la neige sont roses et bleus et les photos donnent des paysages surréalistes à la Dali. Je m'extasie devant tant de beauté.

mardi 9 novembre 2010

Je suis psychopathe et inculte

Je suis chez mes parents, aujourd'hui il y a un repas familial avec les voisins. K. est là aussi, mais il prend une douche. Il y a mes parents dehors et les parents du petit Gingi (un petit que j'ai gardé il y a deux ans en Allemagne), sa mère est brune et costaude, son père est café au lait avec une barbichette au menton. Ils sont assis à la table de jardin sous le soleil. Moi, je suis dans le salon, assis à table avec Gingi. Il doit avoir 8 ans environs, il a des grands yeux noirs, la peau mate et les cheveux noirs qui tombent grosses boucles. Nous conversons tous les deux, je ne sais plus de quoi. Tout ce que je sais, c'est qu'il s'avère super intelligent et moi super débile. Il a toujours le dernier mot, il a les bon arguments et moi je me ramasse, idiote et inculte que je suis. Ca me met en rage, une telle rage que je me mets à l'insulter. Il retourne voir ses parents, mais avant il me dit : J'vais l'dire à ma maman !
Honteuse et en colère, je refuse d'aller dehors avec les autres, ma mère essaye de me persuader, mais c'est pas la peine. Je préfère fuir la maison et prendre le bus.

Dans le bus je me retrouve à Kiel. Je suis assise à côté de la porte automatique du bus. Un grand et beau black, le crâne rasé, s'assoit à côté de moi. J'ai une cigarette au filtre blanc (ouai c'est plus classe^^) entre les doigts. Il me demande : T' aurais pas une cigarette? Je lui répond : Oh, c'est ma dernière, en lui montrant ma cigarette, mais on peut partager si tu veux ?
Il hoche la tête.
On descend tous les deux devant la gare. On entre dans un immeuble et on monte au deuxième étage. C'est sale et lugubre dans les escaliers et le couloir. Une vieille dame sort de son appartement en chemise de nuit et déambulateur. Elle m'agresse violemment, mon ami ne sait pas quoi faire pour l'empêcher de me faire du mal. Il faut que je réagisse, mais elle semble plus forte que moi et surtout elle me fait très peur. Par terre, je trouve alors un gros cable électrique qui bouge et fait des étincelles. Je prends le câble, je me précipite sur la vieille dames et je lui enfonce le câble sous sa robe de chambre dans les parties génitales. Elle hurle, tombe et se débat puis ne dit plus rien. je l'ai anéantie et je me sens super puissante. Mais aussitôt, le voisin, un jeune homme, sort de son appartement et commence à m'agresser lui-aussi. On se croirait en plein jeux vidéos. je me sers aussi du câble pour me défendre, mais chez lui, ça fait moins d'effets, on dirait qu'il ne ressent pas la douleur. je m'enfuis alors avec mon pote.
Soudain le tonnerre éclate, les éclairs menaçants zèbrent le ciel de toute part. je me retrouve en plein air sur un chemin apeurée et je me jette par terre pour essayer de ne pas provoquer la foudre. Ma copine me dit : Viens, ne restons pas là, allons nous réfugier sous les arbres! Et je lui réponds : J'ai peur de l'orage ! Non pas sous les arbres, ça attire la foudre ! Je rampe par terre, sale, trempée et apeurée.

lundi 8 novembre 2010

Flash rêves



Inception
Je suis dans le film Inception avec Leonardo Di Caprio. je suis dans un rêve de niveau 2, c'est à dire que je rêve dans mon rêve.

K. est plusieurs
K. n'est pas un mais plusieurs. Il est partout en Allemagne à la fois. Il est à Hambourg et travaille dans une entreprise. Il est à Kiel et est médecin. Il est dans le sud et est un touriste. A chacun de mes voyages je le rencontre à nouveau, différent et pareil.

Les petits bonhommes dans les céréales
Je veux manger mon petit déjeuner : des céréales Cherrios. Mais quand je prend une cuillère de céréales avec du lait, je m'aperçois qu'il y a des mini personnes dans ma cuillère au milieu des céréales et du lait (du genre ''Chérie j'ai rétréci les gosses'').
Ces personnes ne bougent pas, elle sont droites et figées comme des jouets. J'essaie de les retirer de la cuillère, mais d'autre mini personnes tombent de nouveau dans ma cuillère.

Mon double infernal
Je suis sur un lac glacé, seule. Le paysage est blanc et froid. Je suis deux et j'observe mon autre moi; elle porte un long manteau noir fermé avec des gros boutons, des bottes fourrées noires, un pantalon noir, des gants noirs et un bonnet noir sur la crâne enfoncé jusqu'aux yeux. Elle me regarde. Elle est moi. Mais elle ne bouge pas, elle est complètement figée. L'image aussi est complètement figée. Plus l'image et mon double se rapprochent de ma vision, plus je me sens angoissée et malade. A un moment mon double apparaît très près et très grand, toujours figé. J'ai des hauts le coeur et j'ai mal au ventre. Et puis peu à peu elle s'éloigne pour ne devenir plus qu'un point à l'horizon. Plus elle s'éloigne, mieux je me sens. Quand elle disparait, je retrouve toute ma forme et ma santé.

jeudi 7 octobre 2010

La blonde avec le fusil de chasse

Je pars en voyage en voiture avec K.. Dans la voiture, il y a aussi une blonde avec les cheveux courts et bouclés, elle ressemble un peu à l'actrice Anne Heche. Je ne sais pas ce qu'elle fait la, mais tout ce que je sais, c'est que je ne peux pas la sentir.


Nous arrivons à la pointe de Primel en Bretagne. Nous sommes au milieu de nulle-part entourés par la mer menaçante. Il fait beau, le ciel est bleu. Je me mets à courir avec K. Je sent le danger arriver. En effet, la blonde à un fusil et veut tuer K. C'est alors une course éffrénée qui commence entre nous et la blonde. Le décor est splendide. La situation est angoissante. Nous nous faisons traqué comme des bêtes. Et puis il arrive le moment, où les proies se font prendre par surprise. La blonde met son fusil en joue et tire une balle sur K. Il est mort. je m'effondre.

Je suis chez les parents de K., toujours effondrée et en larmes. Je le cherche vainement dans toutes les pièces de la maison, même si je sais qu'il est mort et que je ne pourrais plus jamais le revoir. Je rentre dans la chambre en bois de ses parents qui lisent tranquillement dans leur lit, le lit de K., leur fils, se trouve dans la même pièce. Et.... Le miracle s'accompli, K. n'est pas mort, il lit un livre simplement dans son lit. Je suis trop soulagée. Mais lorsque je commence à lui parler, il m'ignore complètement comme si je n'étais pas là. Sa mère vient l'embrasser pour lui souhaiter bonne nuit, elle m'embrasse aussi par la même occasion, un baiser étouffant.
Etouffant de rage parce qu'il ne me remarque pas, je vais dehors et je me mets à courir aussi loin et aussi vite que je peux pour me vider la tête. Je vole comme l'oiseau. Je monte à toute allure une route en pente jusqu'à un payage et une autoroute, je ne peux pas aller plus loin et fais demi-tour; je me retrouve sur la plage, c'est le soir, et le ciel se couvre d'un manteau bleu sombre, la mer scintille et le sable est d'un joli orangé. Il y a beaucoup de gens sur la plage, des silhouettes sombres qui se promènent et flânent, le paysage est une véritable oeuvre d'art. Je cours le long de la plage et je me sens tellement bien.
J'arrive à un pub où l'ambiance à l'air bonne. Je rentre dans le pub et m'asseye parmi un groupe de jeunes que je ne connais pas. je fais leur connaissance, on rigole bien ensemble, je flirte même avec un garçon qui me prend la main et la caresse. Je jubile en me disant que peut-être K. me cherche, qu'il se fait du souci pour moi. Mes nouveaux potes décident d'aller en boîte, mais moi je préfère rentrer retrouver K.
Lorsque je rentre par une trappe en bois dans la cuisine de la maison, je me retrouve près de la table en bois. Et le père de K. est là aussi, il me regarde d'un mauvais l'oeil mauvais.

dimanche 3 octobre 2010

Requiem for a Dream

Les images du film ''Requiem for a Dream'' repassent en boucle dans ma tête. Je me dis : Bon film, bonne musique.

mardi 28 septembre 2010

Examen japonais


Scène 1
Je vais bientôt passer ma soutenance en allemand.... au Japon. Je vois les grands immeubles argentés qui se perdent dans le bleu du ciel. Des passages de mon mémoire me reviennent à l'esprit d'une manière lancinante. Ces images là tournent en boucle, encore et toujours. Ces immeubles japonais et les pages dactylographiées de mon mémoires se mélangent et tourbillonnent dans mon esprit, et ça me donne le mal de mer.
(Je passe ma soutenance demain ;)
Source de l'image : Sophie no sekai (le monde de Sophie), un blog sur le Japon et l'Inde

Scène 2
Je suis de nouveau Au Pair dans mon ancienne famille d'accueil, cette fois ci en Vendée, dans la maison de mes grands-parents. Cette fois-ci, je ne reste que pour l'été, et j'éspère que tout va bien se passer, car la dernière fois, ça c'était plutôt finit en clash. Mais là, les enfants Lisa et Juri sont heureux de me voir et on s'amuse comme des petits fous dans toute la amison et dans le parc.

dimanche 26 septembre 2010

Dragon rouge

Scène 1
Je chat avec la cam sur le net avec un tatoueur. Ce que je veux? Un dragon rouge avec une épée sur l'avant bras. Ce tatouage en jette vraiment!
Une fois fait, le tatouage rend rend vraiment trop bien.
Mais il disparaît, où alors je ne sais plus très bien si en fait je l'ai fait. J'essaie de trouver un motif moins voyant, peut-être un tribal ou une inscription en chinois, peut-être un prénom où une date de naissance (les trucs bateau quoi)

Scène 2
Je suis sur les bords du lac de Constance à Hörnley avec des amis. Dans le groupe, je reconnais Bianca, une amie namibienne et B., mon ancien coloc. Il fait très beau et chaud. Nous prenons le soleil, lorsque tout d'un coup l'eau vient me chatouiller les pieds. Nous n'avons pas vu la marée montante (et oui dans les lacs, il y a aussi des marées), et nous devons nous décaler de quelque mètres en arrière. B. se fait prendre par la marée avec deux superbes jeunes filles qu'il enlace et embrasse.
Nous sommes de nouveau à l'appartement (mon ancien appart), et c'est Bianca désormais qui occupe la chambre de Soph. Bianca et B. forment un couple libéré, mais elle digère encore mal le fait que B est embrassé devant elle d'autres filles. Et puis je trouve ça malsain de former un couple dans une coloc.
On va sur le balcon au soleil. Bianca me dit qu'elle apprend le français en faisant du théâtre. Elle me montre d'ailleurs la pièce de théâtre qu'ils jouent en ce moment. Ca parle d'un gars qui s'appelle Monsieur ça va et le dialogue commence ainsi:
-Ca va dit: Ca va?
- Ca va répond: Ca va.
J'apprend à Bianca comment prononcer le "Ca va" parce qu'elle le prononce mal: Cha vichi?
Ensuite vient une phrase super complexe mais qu'elle prononce super bien et sans accent.

Scène 3
Je suis dans un bus à Konstanz. Je tiens dans mes bras ma petite fille âgée d'un an, elle me procure une sensation de bien-être. C'est ma petite fille, ma petite merveille. A côté, sur d'autres sièges, je remarque Ram un ami israëlien, qui lui aussi est avec son fils. Je fais tout pour qu'il ne me remarque pas, mais ma fille gigote, se libère de mes bras et se dirige vers lui.

samedi 25 septembre 2010

Les chaussons roses

Scène 1
Coucher de soleil sur la plage. Je mange au restaurant sur la terrasse d'un hôtel en face de la plage. J'y retrouve de vielles connaissances, que je n'ai pas forcément appréciées auparavant. On discute.
Quelque chose clignote dans mon sac à moins. C'est mon portable qui m'indique qu'il est l'heure de partir, si je veux pouvoir choper le bus pour rentrer chez moi. Il fait déjà nuit dehors. Une course effrénée commence alors sur la plage. La plage est bondée de jeunes gens venus faire la fête sûrement, dans la pénombre, je ne vois que leur silhouettes. Ce décor donne un peu à la plage une dimension fantastique et énigmatique. Je continue de courir, un peu embêtée tout de même, car je m'aperçois que j'ai aux pieds des gros chaussons roses en forme de lapin, ce qui m'empêche d'aller vite, surtout qu'ils me font trébucher une fois sur deux.
Je suis de nouveaux en ville, à Konstanz cette fois-ci. Je coure toujours et maintenant j'ai des tongs aux pieds, ce qui me permet de courir plus vite. Et puis c'est le black out total. Le trou noir. Je ne sais plus où je suis ni où j'habite ni quel bus prendre pour rentrer. Alors je continue de courir et d'errer dans les rues sans vraiment savoir où aller.

Scène 2
C'est l'après-midi. Il fait très beau. Je pars en vélo pour la plage habillée d'une robe en coton légère et courte. La plage est bondée, beaucoup de gens se baignent. Je m'installe dans un coin de la plage en me disant que je vais bosser mon mémoire. Mais la mer est trop tentante, j'ai trop trop envie de me baigner. Je veux enlever ma robe, mais je m'aperçois que j'ai oublié mon bikini. Je ne porte pas non-plus de culotte. Gênée je remets ma robe en place. Je n'ai même pas amené de serviette pour pouvoir m'étendre sur la plage. Alors je me pose sur un rocher pour pouvoir étudier. Celui-ci est mouillé.

Scène 3
Je suis toujours à la plage, mais dans cette version là, j'ai mes affaires avec moi. Je vais pour me déshabiller dans un vestiaire. Mais je m'aperçois vite que je suis dans les vestiaires hommes, et qu'à chaque fois qu'un homme ouvre la porte et me vois, il s'enfuit en courant.


vendredi 24 septembre 2010

Enceinte et heureuse

Je suis enceinte. Mon ventre fait des petits bourrelets et je me sens bien. Le père, c'est K.
Je me balade avec mes deux copines Camille et Kat. Je n'ai pas encore annoncé à Camille qu'elle sera bientôt marraine et tata, je veux garder encore un peu le secret. Kat, elle, est déjà mise dans la confidence, d'ailleurs elle, elle est déjà enceinte de 5 mois.
Je vais à la piscine avec Kat, nous allons dans le jacuzzi pour discuter bébé. Son ventre est déjà bien rond. Le miens a juste des bourrelets.
Je me sens vraiment heureuse d'être bientôt maman d'un petit bout-d'chou.

jeudi 23 septembre 2010

C'est (encore) la rentrée!

Je me réveille aux côtés de K. Il est 14h. Quoi déjà 14h? Merde merde merde je suis super en retard pour la rentrée dans mon nouveau Gymnasium (collège-lycée en Allemagne). Je regarde plusieurs fois le réveil pour me dire qu'il n'est pas 14h. Un moment je souffle soulagée car je vois 11h sur le réveil. Mais ma vision était floutée, il est bien 14h. De quoi je vais avoir l'air? C'est pas vraiment professionnel tout ça...
Je m'habille en vitesse.
Je suis à l'école.
Personne ne m'accueille, je ne connais personne. La secrétaire m'ignore totalement quand je lui demande des renseignements pour savoir qui sont les profs de français et quelles sont mes futures classes. Je lui demande alors où sont les toilettes: Wo sind die Toiletten?
Elle m'indique du doigt une tour derrière moi qui donne sur la cour de l'école. J'ouvre la porte et monte les escaliers en colimaçon. J'arrive au sommet de la tour qui surplombe toute la cour et les élèves qui sont en récréation. Là, il y a bien des toilettes à la turque, du moins ça y ressemble. Je m'accroupis le pantalon baissé, mais je n'arrive pas à faire pipi du fait que je suis en plein air, en plein milieu de la cour et que tout le monde peu me voir du haut de ma tour. J'ai vraiment honte. Alors j'observe la récréation et je me dis qu'ils ont dû me mettre la exprès pour faire la surveillante de récréations.
quand je redescends de la tour, je m'étale de tout mon long par terre et un professeur me marche dessus.
(en fait à mon réveil, je m'aperçois que c'est mon chien qui me marche sur le ventre)

mercredi 22 septembre 2010

A la poursuite de K.

K. parle avec sa coloc N. dans la chambre d'amis. J'aimerais participer à leur discution, mais je n'ai pas le droit de rentrer. K. veut parler seul à seul avec N, que c'est très important. Il me dit de partir.
Blessée, je lui hurle des injures horribles en allemand, en descendant les escaliers, mais il semble m'ignorer.
Alors je rencontre A., l'autre coloc de K. sur le chemin pour le self et l'accompagne. Nous mangeons ensemble.
Après le repas, obsédée de savoir ce que fait K., je revais à la chambre d'amis. elle est entrouverte et laisse passer un petit filet de lumière. Je glisse mon oeil dans la fente de la porte. K. n'est plus là. Mais N. y est toujours avec un garçon chauve qui a des petites lunettes rondelette avec un air à la L. Ils se regardent face à face sur le lit, les yeux dans le yeux. je me dis que ce doit être le nouveau copain de N.
Je les laisse tranquille et continue de rechercher un K. introuvable

dimanche 19 septembre 2010

Flash rêve

Ma directrice de thèse passe à toute allure devant moi, elle parait malade et son sein lourd dépasse de sa chemise.

jeudi 16 septembre 2010

La maladie des plis-plis

Scène1
Aujourd'hui c'est la rentrée à la fac. Quand j'arrive dans la coure, je m'aperçois je je ne connais plus personne.
Mon premier cours est un cours de maths en amphithéâtre. Je suis un peu nulle en maths. Mais là, nous avons deux professeurs: un père et son fils qui nous font étudier les mathématiques avec beaucoup d'humour à travers une véritable pièce de théâtre. L'heure passe très vite, on ne s'ennuie vraiment pas.
Fin de l'heure
Je vais m'étaler dans un fauteuil à la Bibliothèque universitaire. A côté de moi, dans un autre fauteuil, il y a une blonde bâtie comme un bûcheron qui gueule comme un putois: Hé toi, on s'connais, non?
Ce n'est pas à moi qu'elle parle mais à un gars. De mon côté, j'essaie de comprendre mon emploi du temps. J'aimerais aller à un cours de littérature allemande sur Goethe, mais je n'arrive pas à trouver l'heure, le jour et la salle. Ce qui est marqué est un peu flou.
Tout d'un coup deux infirmière me font sursauter. Elles me prennent à part et me disent que j'ai la maladie des plis-plis sur mon bras droit et ma main et que c'est très contagieux. Je regarde mon avant-bras et ne vois rien de particulier. Mais par précaution, je les laisse faire. Elles me recouvrent la main et l'avant-bras de terre, puis renversent un bocal de vers de terres (beeeeuh) dessus. Les vers s'enfoncent dans la terres et commencent à me sucer le sang comme des sangsues. Ca ne me fait pas mal, mais ça me dégoûte. Puis les femmes mettent un bandage autour de ma mains recouverte de terre et de vers. "C'est la seule solution pour soigner les plis-plis" me rétorque une des infirmières d'un ton bourru.

Scène 2
Vue aérienne
New York est noyé sous les inondations.

mercredi 15 septembre 2010

La lumière au bout du couloir

Scène 1
Nous sommes entassés à plusieurs étudiants dans une même chambre. Tout le monde dort un peu n'importe comment à cause du manque de place. Nous avons chacun un ange gardien représenté sous forme de jeunes femmes parfaites en tout point. Elles nous protègent et nous permettent de réaliser nos rêves. La mienne s'appelle Fleur, une autre s'appelle Floraux et encore une autre: Coca Cola.
Malheureusement, elles sont éphémères et finissent par disparaître et nous laissent livrés à nous même et à notre libre-arbitre.

Scène 2
Je me balade avec T. et des amis dans les rues de Brest. Soudain T. commence à se moquer de moi méchamment jusqu'à me faire pleurer. Je m'en vais en pleurant en courant.
T me lance: AHAHA Schau mal wie sie rennt! HAHAHA (regarde comment elle court!)
Effectivement je cours d'une drôle de façon, mais je ne peux pas faire autrement: je cours à demi-accroupi dans les rues....
T. me poursuis en riant, j'ai trop la honte. Je trouve une porte et rentre dans un long couloir vide et sombre. Je referme vite la porte avec son verrou derrière moi pour empêcher T. de rentrer. Je continue à courir le long du couloir sale et insalubre. Au bout: une porte en verre avec la lumière du soleil qui m'ébloui. Je sors par derrière, enjambe une clôture et un buisson, puis je me retrouve en plein milieu des champs. D'un côté, il y a des vaches, de l'autre un champs de blé doré. Dans le champs de blé, des jeunes gens, une fille et un garçon, fument des joints et rigolent très fort. La fille est et petite et menue, elle est brune et coiffée de deux grosses tresses. le garçon est pâle et frêle, il a les cheveux mi-longs couleur noir corbeau. Je passe devant eux en courant, au bout du champs, il y a une rue passante, je me retrouve dans les rue de Brest. J'aperçois un Bar-Tabac et je m'y arrête essoufflée. J'ai besoin d'une clope pour me détendre. J'achète un paquet de roulées, je m'assois à la terrasse et tire mes premières bouffée exténuée. Je me sens comme sur un petit nuage.

lundi 13 septembre 2010

Les lutins-barbies


Trois jeunes garçons partent en vacances en voiture. Ils s'arrêtent au bord d'une route.
Non loin de là Une jeune fille qui ressemble à Barbie se transforme en affreux lutin cornu qui rigole bien d'avoir roulé tous ces hommes en les séduisant, puis en les dévorant.
Des jeune filles tailles mannequins et poitrines généreuses ainsi que le lutin retransformé en Barbie s'approchent de la voiture et des trois jeunes garçons.
Les filles leur offrent leurs services. Ils ne savent pas que se sont des lutins dévoreurs d'hommes et se laissent prendre au piège. Le coffre de la voiture devient alors un vrai baisodrome. Seul, un des garçons se rend compte que ses filles sont malfaisantes. Il glisse alors son mémoire de master sous un siège de la voiture (pour le protéger du carnage à venir) et il s'enfuit. Barbie le poursuit à grande enjambée. Pour l'instant il a de l'avance. Il se retrouve dans un labyrinthe de châteaux Playmobils, légos, Barbie et polypoket. Il se dit que peut-être il arrivera à la semer. Arrivé au bord de la mer, exténué, il s'arrête essoufflé... Barbie l'a de toute façon rattrapé. Il se tourne face à elle.
Barbie: Pourquoi es-tu parti comme ça?
Il la regarde dans les yeux, et tout d'un coup il sait qu'elle ne pourra pas le vaincre car il est l'ELU, ça lui donne de l'espoir.
D'un autre côté il se demande si finalement il a bien fait de se méfier de Barbie car elle paraît inoffensive, et puis y'a pas à dire, elle est canon.

Je marche au bord de la mer avec ma mère. Je lui dis: C'est magnifique ce champs énorme avec tous ces légos, playmobils, barbies et polypoket. C'est une énorme aire de jeux! Les enfants doivent adorer!

samedi 11 septembre 2010

Bonnet noir et saucisson

Je suis invitée à une fête énorme en plein après-midi, das un Hangar, non loin du Lac de Constance.
Dans le hangar, il y a foule. je ne connais personne. La première chose que je fais, c'est de me diriger vers le distributeur de cigarettes (Oui oui, en Allemagne, il y a des distributeurs de cigarettes à tous les coins de rue). Puis je m'assois à une table, seule. Je grille une cigarette après l'autre histoire de combler ma solitude au milieu de tout ce monde. Puis c'est à ce moment qu'arrive un charmant jeune homme, grand, blond, un peu timide. Il s'assoit à ma table et il m'entraîne dans une conversation passionnante. Puis j'aperçois sur la scène Alex, mon ex.
Cassure
Le blond n'a plus vraiment d'importance. Je lui dit que je m'absente un petit moment pour dire bonjour. Il me réplique: Ja aber du kommst gleich wieder oder?
- Ja
- Dann warte ich auf dich!
Alex est surpris et content de me voir. Nous avions une relation destructrice et il m'en a fait voir de toutes les couleurs lorsque nous étions ensemble, et pourtant je ne lui en veux pas. Il est à demi Italien, demi Allemand, il est brun et il a surtout un caractère difficile. Il s'est empâté avec le temps, mais ça n'enlève pas l'admiration que je lui porte. Il me dit que j'ai oublié un bonnet noir et du saucisson chez lui. Alors nous enfourchons nos vélos et partons tous les deux vers la cité U. Y'a pas à dire, je me sens bien en sa présence.
A la Cité U, il me présente son 9m² qu'il partage en coloc avec une fille. ca me parait bien petit pour une coloc à deux. Il me montre les photos de sa coloc, qui en fait ressemble surtout à un mec. Il me rend mon bonnet noir et mon bout de saucisson.
Nous repartons pour la fête en vélo. Arrivés là bas, je perds Alex dans la foule, ce qui m’attriste énormément. Je me rassois à la table. Le blond n'ont plus n'a pas eu le courage de m'attendre. Je me retrouve de nouveau seule.

Scène 2
Je marche devant mon ancien collège avec d'autres camarades de classe. Il y a un bouchon énorme dans la rue. On s'amuse à détourner les voitures. On apprend à la fin que ça a plutôt mal tourné pour une femme enceinte dans une des voitures. Ce n'était pas notre but, on voulait juste s'amuser.

Scène 3
Au réveil, une chanson de Noir Désir me trotte dans la tête: Lost

Pourras-tu le faire I'M LOST
Pourras-tu le dire I'M LOST
Tu dois tout essayer I'M LOST
Tu dois revenir I'M LOST

Tu dois voir plus loin I'M LOST
Tu dois revenir I'M LOST
Egaré en chemin I'M LOST
Tu verras le pire I'M LOST

Pour trouver le sud I'M LOST
Sans perdre le nord I'M LOST
Après les certitudes I'M LOST
Au-delà des bords I'M LOST

I'm lost but I'm not stranded yet {x2}

Dans les yeux des femmes I'M LOST
Dans la marie-jeanne I'M LOST
Dans la techno-cité I'M LOST
Pour manipulés I'M LOST

Grand combat de chairs I'M LOST
Colline enflammée I'M LOST
Dans l'ombre ou la lumière I'M LOST
Pôle halluciné I'M LOST

Pour courir ventre à terre I'M LOST
Brouillard et fumée I'M LOST
Consommer consumer I'M LOST
Recracher de l'air I'M LOST

Dans le dérisoire I'M LOST
Dans les accessoires I'M LOST
Dans le feu des possibles I'M LOST
Au cœur de la cible I'M LOST

Dans la paranoïa I'M LOST
Dans la schizophrénia I'M LOST
Un maniacopéra I'M LOST
Pharmacopérave I'M LOST

I'm lost but I'm not stranded yet {x2}

Entre les dérapages
Entre les lignes d'orages
Entre temps entre nous
Et entre chien et loup
Au maximum du voltage
A peine est passé le message
Au fil du rasoir

Encore une fois c'est la vie qui s'entête
Acharnée au-delà des images qu'on reflète
Chacal, charogne, chaman, sachem
Magie noire ou blanche inscrite à la Sacem

Des poumons d'or
Belphégor
Ici, maintenant, à la vie, à la mort
N'oublie pas ton sourire pour ce soir si tu sors
Un jury t'attend n'injurie pas le sort

Entre les dérapages
Entre les lignes d'orages
Entre temps entre nous
Et entre chien et loup
Au maximum du voltage
A peine est passé le message
Au fil du rasoir

Dans les corridors I'M LOST
Sur les baies vitrées I'M LOST
Des insectes écrasés I'M LOST
Qui cherchaient de l'or I'M LOST

Dans les ministères I'M LOST
Dans les monastères I'M LOST
Dans les avalanches I'M LOST
Au bout de la planche I'M LOST

Des combats d'autorité I'M LOST
Des conflits d'intérêts I'M LOST
Des types ignifugés I'M LOST
Veulent ma fusée I'M LOST

Des désenchanteurs I'M LOST
Un train à quelle heure I'M LOST
Des pirates des corsaires I'M LOST
Sans aucun repaire I'M LOST

Tu dois voir plus loin I'M LOST
Tu dois revenir I'M LOST
Tu dois tout essayer I'M LOST
Tu dois devenir I'M LOST

I'm lost but I'm not stranded yet {x2}

vendredi 10 septembre 2010

Le "Tube de l'été" (par Brad Pitt)

Scène 1
Je suis assise sur un banc en pleine cambrousse, il fait nuit. Je balance les jambes d'avant en arrière et je pense à mon mémoire de master sur le livre "Die Klavierspielerin" (La Pianiste) de l'écrivain autrichienne Elfriede Jelinek et à ma directrice de thèse injoignable qui ne m'a toujours pas donné de date de soutenance, alors que je dois la passer ce mois ci. (Et ça ce n'est pas qu'en rêve, c'est aussi la réalité).
Je repars à pieds et traverse Plouezo'ch. Là, il y a un magasin illuminé et en deventure, il y a deux posters:
L'un est le "tube de l'été" chanté par Brad Pitt
et l'autre image représente la manière de faire pour rouler un pet.

Un clochard qui sent un mélange de transpiration et d'alcool me bouscule. je m'en vais et j'allonge le pas. j'ai peur qu'il me suive. Il ne me suit pas mais me crie: "SALOOOPE!" Putain la salope, tu verras quand jt'aurai!
Je m'enfonce toujours plus vite dans la nuit noire et impalpable.

Scène 2
Je vais me marier. Le gars est très gentil. D'origine indienne, il ressemble au personnage principal du film Slumdog Millionaire. On est assis par terre, à côté de mon lit, main dans la main. On s'embrasse chastement. Et oui l'abstinence a
vant le mariage, c'est important.

Scène 3
Je suis à Konstanz, à l'école. Ce matin c'est la rentré. J'ai une nouvelle classe de 6ème qui m'a l'air vraiment très sympa. Mais quand j'entre dans la classe pour me présenter, je m'aperçois que je ne porte qu'un débardeur blanc sans soutif. En plus on voit à travers. Je leur dit de m'attendre 5 minutes, le temps que je me trouve un soutif. Entre temps je réfléchi à ce que je vais bien pouvoir leur enseigner...

Scène4
Je pars en voyage pour l'Australie!


jeudi 9 septembre 2010

Renaissance manga



Je suis avec mes copines dans les rues de Brest. Soudain je regarde l'heure et j'angoisse: dans une minute, pas une de plus, mon bus arrivera en haut de la côte. C'est le seul de la journée et le seul qui me ramènera chez moi, à 80 km d'ici. Je cours, mais c'est manifestement trop tard, car il me passe sous le nez.
Une amie me propose alors une solution a
lternative: d'aller dormir dans sa chambre étudiante à la cité u de Kergoat. Dépitée, j'accepte.
Nous sommes à 5 dans la petite chambre de 9m².
Les fille me disent au revoir et me laissent seule.
Il faut que je me change pour mettre quelque chose de mieux sur le dos. Je trouve (après un temps considérable) un top orange de soirée très près du corps (cadeau d'un ex) et un boléro blanc qui a une tâche de chocolat sur la manche droite. Mai
s je me dit que personne ne le verra. Et j'espère que je n'aurai pas trop froid avec que ça sur le dos. Lorsque je me change, il y a (évidemment) des voyeurs qui me scrutent par la fenêtre.
Soudain je me rend compte que j'ai une voiture, et que je peux bouger finalement! Je prends donc la voiture pour aller à un endroit encore
inconnu. Je m'aperçois que j'ai du mal à conduire. Parfois ma vision devient floue (notamment quand je rentre dans un rond-point) et je me mélange les pédales, ce qui fait que je fait des sacrés embardées sur la route. Mais je me dis: Tant que je ne cause pas d'accident....
J'arrive finalement à mon but. Je suis devant un grand immeuble gris. Quand je rentre à l'intérieur, il y a une foule incroyable. Beaucoup de gens font la queue. Il y a des escaliers et des escalators immenses remplis de monde. J'essaie de me faufiler entre les gens, je n'ai pas vraiment l'intention de faire la queue moi.
Puis j'arrive dans une grande salle lumineuse avec des casiers de toutes les couleurs. Il n'a presque personne. Je remarque une petite fille qui joue avec un mini-chien en ballon de baudruche.
Elle est asiatique, elle a de bonnes joue et des cheveux noirs en baguettes qui lui tombent sur les yeux,elle ressemble à Chihiro. C'est la que ma vision se met en vision dessin animés. La petite fille devient un manga. Elle s'en va. je la suis pas à pas. Elle me mène jusqu'à une salle d'opération. Sa mère, une très belle jeune femme, est étendue sur un lit d'opération, elle est endormie. La petite fille veut retourner dans le ventre de sa maman. Alors elle se met à la hauteur du visage de sa mère et disparait en elle. On a l'impression qu'elle se fait scanner. Le transfert est assez flou. Mais l'opération ne marche apparemment pas puisque la tête de la petite fille ressort triste de l'autre côté, entre les jambes de la maman.

mercredi 8 septembre 2010

Décousu

Scène 1
Je suis dans une vie postérieure. Je suis naine et je l'assume pleinement. D'ailleurs je trouve que les gens m'apprécient et me respectent beaucoup plus que lorsque j'étais une personne de grande taille. En y regardant bien, je suis une copie quasi-conforme de la comédienne Mimi Mati.
Scène 2
Repas familial le soir, avec mes grands parents paternels, mes parents et des amis à eux. Nous descendons des escaliers à colimaçon, jusque la salle à manger obscure. L'un des amis de mes parents me dit: Ah, je te préférais quand tu étais naine!
La salle à mangé est plongée dans l'obscurité, il y a trois tables noires. Sur l'une des tables se mettent la plupart des gens. Sur la deuxième, il n'y a personne et sur la troisième, il y a un homme seul. Pendant le repas, je change plusieurs fois de tables. A la dernière table, l'homme seul est enroulé dans une couette.

Scène 3
Je suis dans ma chambre. Je m'aperçois que mon placard à vêtements est en fait un sas qui mène directement sur une plage paradisiaque: Soleil, ciel bleu, sable orangé, mer turquoise et cocotiers.

Scène 4
J'enlace K. Il me protège.

mardi 7 septembre 2010

Bus fantôme

Scène 1
Je vais à l'arrêt de bus. Aujourd'hui c'est la rentrée pour les lycées et collèges. Je suis au lycée.
Autour de l'arrêt de bus, il y a pleins de jeunes qui attendent aussi le bus. Certains sont venus en scooter. Je vais m'assoir à l'ombre dans l'arrêt de bus. Là, il y'a une toute jeune fille qui fait son entrée au collège, une petite blonde, menue avec un visage d'enfant. Tout de suite, le courant passe entre nous, nous devenons amies. En attendant le car qui passe vers 7h, elle pose sa tête sur mon épaule et s'endort. Je m'assoupis moi aussi. Quand je me réveille en sursaut, il n'y a plus personne dehors... Merde nous avons sans-doute manqué le bus! Et la je vois un car s'arrêter devant nous. Le car ressemble à celui de d'habitude, sauf le chauffeur qui me parait étranger. C'est un petit homme replet avec une moustache à la bavaroise. Dans le car, il n'y a pas âme qui vive. Je ne me méfie pas et m'installe au milieu du bus avec la jeune fille. Nous ne prenons pas le chemin habituel pour aller au lycée, c'est étrange. Je me dis que vais être très en retard.
Nous sommes chez le chauffeur en question, dans son appartement situé dans un village breton dont le nom qui m'échappe commence en Plou-.
La jeune fille dort tranquillement dans une chambre d'ami. Je demande au chauffeur: Dites-moi, vous passez bien par le lycée à Morlaix?
-Non
-Et vous passez par Morlaix?
-Non
-Mais vous allez ou?
-A Paris.
Et la je ne sais plus vraiment quoi faire, non, je ne peux pas arriver en retard au lycée! Je suis coincée et j'angoisse car je ne trouve pas de solution...
De plus le chauffeur est un pervers qui commence à me faire des avances. Mais moi je pense juste: Je vais être en retard....

Scène 2
Je suis dans une salle de classe dans mon ancien collège et enseigne le français en compagnie d'une autre prof de français à mes élèves de 6ème allemands. Tout se passe à merveille, et je trouve que les enfant se débrouillent vachement bien pour des débutants.

lundi 6 septembre 2010

Soirée arrosée

Scène 1
Je possède deux beaux restaurants, dont un se trouve à Lübeck. Ce sont des restaurants traditionnels. J'ai un peu le mal de mer. Beuuuh

Scène 2
Il y a une soirée chez moi avec mes proche et des amis, dont une ancienne amie de Lycée: L. Elle est petite et menue, les cheveux châtains et raides ramenés en queue de cheval. Avec elle, j'ai fais les 400 coups. La elle se retrouve chez moi. Il y a de l'alcool, l'ambiance est sympa.
La soirée se termine au lit avec L.
Nous sommes nues toutes les deux, l'une contre l'autre dans la position de la cuillère. Elle prend mes seins entre ses deux mains. Et on s'endors comme ça. C'est assez agréable.
Tout d'un coup nous sommes réveillés par ses amis. Je suis très gênée de devoir me montrer nue, j'ai juste le drap qui me cache la moitié du corps.
On parle de la soirée de L. qui doit faire une super fête demain. Ils me demandent de venir, mais je ne sais pas comment je vais y aller car je n'ai pas de voiture et pas vraiment la motivation.
Je me lève pour aller m'habiller, le drap tombe et les garçons me regardent avec insistance. Je suis très gênée. D'autant plus que je en trouve plus LA super robe que je voulais mettre.

Scène 3
Je me rend à une fête sur la plage, en bas de chez moi. Il y a un coucher de soleil magnifique et les gens dansent, la falaise est illuminée.

dimanche 5 septembre 2010

Les romans suédois


Scène 1
Après avoir lu le premier bouquin Millenium, Les Hommes qui n'aimaient pas les Femmes du Suédois Stieg Larsson, Je m'attaque à un nouveau roman suédois: L'Hypnotiseur de Lars Kepler.
En m'endormant, j'ai cette phrase dans la tête qui résonne sour
dement en français, puis en allemand: Il faut que j'arrête de lire les romans suédois, ça me donne des psychoses.
Ich muss aufhören, schwedische Romane zu lesen, es gibt mir Psychose.
Je me dit que ça sonne bien, il faut que je l'écrive dans mon profil Facebook.

Scène 2
Je suis au lycée, dans une salle de classe.
Je présente un projet Powerpoint avec ma petite amie devant la classe. Oui, c'ette fois il semblerait que je sois lesbienne. Mon amie est grande, mince et brune avec un visage fin et déterminé. Je me sens vraiment bien à ses côtés, elle dégage quelque chose de rassurant. Une fois le projet finit, on sort de la classe. On discute
un peu avec un gars tout droit sorti de la série américaine 10 Things I Hate about You , une sorte de bogosse débraillé, le genre bad boy, cancre, jemenfoutiste, mais avec un coeur d'or.
Le soir
Je vais avec mon amie au restaurant. Soirée romantique et lumière tamisée. Malheureusement, il n'y a plus de tables de libres, alors nous devons nous assoir à une table avec d'autres gens. Notre place réservée se trouve là ou il y'a une baguette tordue en forme de banane.

samedi 4 septembre 2010

Le cartable vivant

Scène 1
Je suis en train de faire un jogging sur le sentier côtier breton. Il fait beau. Je cours tête baissée. je me retrouve sur une énorme falaise au bord du précipice. Mais ça ne me fait pas peur, je continue de courir comme le vent. J'ai l'impression d'être libre et de m'envoler. Soudain je crois une fille et un gars qui font aussi leur jogging. La fille est grande et élancée, elle a une queue de cheval et un très joli visage. le garçon est pas mal non plus, il est blond avec des mèches qui lui tombent devant les yeux. Lui ne coure pas vraiment, il s'est arrêté au bord de l'eau. Mais la fille me devance. je ne veux pas qu'elle gagne la course alors je redouble d'efforts pour la doubler, ce qui n'est pas tâche facile. Elle court élégamment comme une gazelle et j'ai soudain l'impression d'être un éléphant aux membres ankylosés et lourds.

Scène 2
Je suis de nouveau au collège. La gazelle et le blond sont de nouveau là. Ils sont dans ma classe. le blond s'est rasé les cheveux, c'est dommage ça ne lui va pas très bien. Il me fait penser a un ancien colocataire à Konstanz. Nous sommes assis dans la classe.
La professeur arrive, nous devons être silencieux. Et c'est là que mon cartable ce met à faire un bruit épouvantable, comme un bruit de moteur. Il commence à bouger sur place, et de la fumée en sort. Je n'arrive pas à le calmer ni à l'ouvrir. Les autres commencent à être exedés et ils veulent que je fasse taire mon cartable, car sinon ils ne peuvent pas travailler.

vendredi 3 septembre 2010

Retour dans le passé

Ca commence en l'an 1900. C'est le jour de mon anniversaire, le 15 mai. Ma mère et ma meilleure amie Camille (elle est maquillée bizarrement) sont là aussi. Nous somme dans l'allée de notre maison.
Quelques année plus tard, je fais un bon dans le futur avec ma mère. C'est de nouveau le jour de mon anniversaire. Et c'est exactement la même situation qui se créé qu'en 1900.
Comme le film Un jour sans fin, à chaque réveil, c'est le jour de mon anniversaire qui se reproduit, mais sur plusieurs années différentes. Ca tourne en boucle.
1933 - Hitler arrive au pouvoir en Allemagne.
C'est la dernière fois que la scène de mon anniversaire se reproduit. Après on reviendra en 2010. Mon père interloqué nous demande à ma mère et moi: Mais comment ça se fait que depuis 1900 vous n'ayez pas vieilli?
Et oui, avec tous ces sauts dans le temps, nous n'avons pas pris une ride.

jeudi 2 septembre 2010

Transparente

Scène 1
Je suis à Kiel et en même temps dans la cour intérieure de mon ancien lycée à Morlaix.
Il y'a un poste de télévision et des bancs pour les spectateurs. Il n'y a plus de places de libre et tout le monde se serre sur les bancs.
Aparemment c'est du foot que l'on regarde.
Je suis assise tout en bas avec trois copines avec qui je rigole.
Trois rangs plus haut, il y a mon copain K. avec son colocataire Christophe. Ils ont aussi l'air de s'amuser. Plus à droite ma mère est là aussi, seule.
Je rigole bien, mais en vérité, j'essaie de me faire remarquer par K. C'est comme si il ne remarquait pas ma présence et ça m'énerve beaucoup. Je me sens transparente et vulnérable. J'essaie de rire et de prendre part à la conversation avec mes copines, mais en vrai je n'arrive pas vraiment à suivre le fil, j'ai l'esprit ailleurs. K. devient une obsession, il faut à tout pris qu'il me remarque. Mais il semble plutôt plongé dans de grandes conversations avec Christophe. Je sers les dents de jalousie. Je grimpe quelques étages pour rejoindre ma mère et me rapprocher par la même occasion de K. Mais c'est peine perdu. Et lorsque je veux me rapprocher de lui, il part avec son coloc. Je le cherche partout des yeux sans le voir. Je suis désespérée.

Scène 2
J'habite avec Sophie (mon ancienne colocataire à Konstanz) dans une petite partie de la maison de mes grands-parents en Vendée. On se partage la chambre.
Ce soir il y a une grande fête dans la piscine. Une grande piscine qui se trouve dans le salon de mes grands-parents. Par contre c'est une soirée costumée, tout le monde a des supers costumes sauf moi. J'essaie ma robe noire gothique, mais est-qu'elle va supporter le chlore de la piscine? Je ne retrouve plus ma super perruque rouge du carnaval, et ne trouve rien d'un peu original. Bref je passe mon temps à me chercher un costume. Et je me dis qu'à ce rythme là, je ne serais jamais prête à temps. Il faut encore se maquiller... mais avec quoi?
J'observe la piscine, c'est la nuit, elle est éclairée par une lumière tamisé, et des tas de gens déguisés s'amuse dedans. C'est joli à voir toute cette farandole de couleurs criardes dans le bleu clair de l'eau.

vendredi 20 août 2010

Possession

Je suis dans ma chambre dans mon lit. Je suis couchée sur le dos.
Mon corps se fige. Quelque chose monte les escaliers et approche très rapidement. Avant que je ne puisse faire un geste, glacée de terreur, la "chose" que je ne vois pas, s'empare de mon corps. Ca se traduit tout d'abord par des cris de douleur humaines horribles qui hurlent dans ma tête. Puis les cris s'estompent. Cette fois je veux aller jusqu'au bout de l'expérience, je ne veux pas lutter pour me réveiller et retrouver possession de mon corps. Je veux voir ce qu'il va se passer. Je ne veux pas laisser l'angoisse prendre le dessus. Mon corps est toujours figé. Mais sans que je le commande ma tête tourne sur le côté et ma bouche se tort en un étrange rictus. Je suis consciente, j'ai juste l'impression d'être observatrice de mon corps que je ne contrôle plus. Peut-être suis-je en train de sortir de mon corps?
Puis tout s'arrête, les cris reprennent dans ma tête, ce qui annonce la reprise de contrôle de mon corps. Partout je suis parcourue de frisson. Je ne peux pas encore bouger. Les cris s'arrêtent. Je suis de nouveau dans la réalité.

mercredi 18 août 2010

Baby Blues

Scène 1
Je suis en Vendée dans la maison de mes grand-parents.
Je suis en vacances avec K. là-bas et nous logeons dans la caravane dans le parc.
K. repart, je reste encore un peu en Vendée.
Nous sommes toutes la familles à table(une grande table en bois toute en longueur), il y a une bonne ambiance familiale. Je me rend compte que je suis enceinte malgré mon ventre plat. Je vais bientôt, là, accoucher. Les première contractions se font sentir. je me dit que j'ai besoin qu'on m'emmène d'urgence à l'hôpital. Mais c'est déjà trop tard, c'est là, sur la table que j'accouche. En fait, je ne ressent aucune douleur, tout va très vite et je vois ma mère tenir le petit bout d'homme dans sa main. Il n'est pas plus gros qu'une pomme et son cordon ombilical est aussi gros que lui. C'est un petit garçon... J'en suis fière, je suis vraiment heureuse.
Je pars en vacances avec ma mère et le bébé. Nous sommes logés dans une auberge de jeunesse. Le bébé a sa pièce à lui tout seul dans le hall d'un supermarché, il passe ses nuits et ses jours dans cette pièce toujours noir. Il m'est trop précieux, tellement précieux que je n'ose le toucher, ni le porter. Je me dis que je n'ai vraiment pas l'instinct maternel, je ne sais vraiment pas comment m'en occuper, de plus il doit mourir de faim, car je ne lui ai encore jamais donné le sein. Mais le petit est sage, il ne hurle jamais. C'est une petite merveille. Autre dilemme.... Le bébé déjà quelques jours et je ne lui ai pas encore donné de prénom. le premier prénom qui me vient à l'esprit, c'est Richard, mais je trouve ce prénom beaucoup trop ringard. Je me dis qu'il faut d'abord que je joigne l'heureux papa (pas encore au courant) K. pour se mettre d'accord sur le prénom.
Le soir, je veux me coucher, mais dans l'auberge de jeunesse, il n'y a plus de lit de libre pour moi.

Scène 2
Je passe un examen en histoire des Idées avec Mr G. à la fac de lettres de Brest. Erwan, un ancien pote de LEA est là aussi. J'essaie de me concentrer sur l'examen, mais je n'arrive pas à aller plus loin que la première question. Et plus je bloque, plus je panique. J'ai écrit deux lignes et les mots ne viennent plus. Le temps passe et j'en suis toujours au même point. De plus, Erwan me pose sans cesse des questions qui me déconcentrent et me font totalement perdre mes repères, si bien que je deviens agressive avec lui.
Le soir, j' ai de nouveau pas de lit de disponible dans l'auberge de jeunesse, alors je vais faire la fête dans le gymnase. Là-bas, j'y retrouve Erwan. Je suis de nouveau enceinte, car je sens me sens un peu nauséeuse, mais ça me rend heureuse.

Lit mortuaire

Il fait nuit noire dans ma chambre.
Je suis dans mon lit couchée.
Autour de moi il y a de plus en plus de gens qui viennent autour de moi et ne bougent pas. J'aperçois leur silhouette et les vêtements qu'ils portent, mais pas leur tête. Ils se tiennent là sans bouger. J'ai l'impression d'être sur mon lit de mort, et que des gens viennent me veiller. Soudain j'entends un truc rebondir dans les escaliers et se rapprocher à une allure fulgurante. Je ne la voie pas mais je sais que c'est la tête d'une jeune femme qui roule et rebondi sur le sol jusque ma chambre. Plus elle se rapproche, plus je panique, le son du rebondissement et imaginer cette tête sans corps me glace le sang. Quand elle arrive dans la chambre en rebondissant, je m'assois sur mon lit et hurle d'effroi.

lundi 16 août 2010

En voie de disparition


Nous sommes à une soirée chez des amis. Il y'a K., T. et Christine (de l'amour est dans le pré). Nous sommes tous attablés dehors, c'est le soir, il fait beau. Il y'a la mer pas loin. Il y a une bonne ambiance.
Parfois je confond K. avec T. alors qu'ils ne se ressemblent pas du tout. J'ai du mal à savoir lequel des deux est mon ami. Mais je me dit que K. est quand même beaucoup plus attirant.
On veut aller en boite, mais comme à mon habitude, j'ai oublié mes papiers chez moi. Christine veut bien me conduire, elle embarque aussi K. et un homme corpulent, brun et barbu.
Il fait nuit.
Dans la voiture, Christine nous explique que sa passion c'est de sucer la tête des gobies. Il y'a une réserve naturelle de gobies pas très loin, et elle y va souvent pour sucer les gobies. Je lis dans les pensées du barbu qui songe avec un sourire pervers: "Aimerait-elle autant sucer ma nouille que la tête des gobies?"
Je suis devant mon appartement, c'est bon j'ai mes papiers.
Lendemain
Christine m'emmene dans sa réserve naturelle de gobies. Je plonge sous l'eau. C'est sale. c'est vert et lugubre. Je ne vois pas de gobies à sucer. Mais j'aperçois un ange blond, un jeune garçon à l'air apaisé, il émane de lui quelque chose d'appaisant, de tranquille. Je me demande comment il fait pour rester sous l'eau tant de temps sans respirer.
Je remonte à la surface (manque d'air)
Je dis à Christine que je n'ai pas vu de poissons. Elle me répond: "les hommes ont pourri la planètes et les poissons sont en voie de disparition. Nous payons l'addition."

dimanche 15 août 2010

Des araignées au plafond

Je suis dans ma chambre, dans l'ancien grenier de la maison.
Dans mon lit, je me cache sous ma couette. La pièce est remplie de toiles d'araignées et d'araignées en tout genre. Des petites, des grosses, des de toutes les couleurs et de toutes les formes. Au centre de chaque toile, des énormes cocons en forme d'araignées. J'ai peur qu'elles me tombent toutes dessus et je n'ose pas bouger. L'une des toiles vient de se détacher et de tomber sur mon visage, avec des araignées et un gros cocon. J'avale par inadvertance une petite araignée verte qui vient de se faufiler entre mes lèvres. Je panique.

Balade dans les champs

Je fais un tour de paté de maison dans mon quartier.
Il fait déjà un peu sombre, c'est le soir. Le ciel est d'un joli bleu sombre.
Je ne suis pas loin des champs.
Au coin d'une maison, j'aperçois une pièce de monnaie qui brille. Je me baisse pour la prendre: 10 centimes. Et puis à côté, je trouve pleins d'autres pièces enfouies dans la terre, surtout des pièce de 1 euro. Je me dis que j'ai vraiment de la chance. Les pièces brillent de mille feu, elles sont neuves car elles sont encore dans leur emballage (qui ressemble à une plaquette de timbres). Et je me dit que cet argent, j'en ai vraiment besoin en ce moment.
Le butin en poche, je continue dans le chemin qui s'assombri. J'aperçois un magnifique étalon blanc, il avance à mes côtés fier et majestueux. Sa blancheur immaculée brille presque dans l'obscurité. J'ai sauvé la vie ce cheval il y a plusieurs années et depuis, il m'est resté reconnaissant.

samedi 14 août 2010

Fleurs et papillons

Je suis sur l'île de Mainau, l'île des fleurs, sur le lac de Constance.
Il fait très beau et chaud.
K. arrive tout juste par le train. Il arrive enfin, je le revois enfin après une attente interminable car nous avons une relation à distance. Il est toujours aussi beau et attirant, il est vêtu d'un simple jean et d'un tee-shirt.
Je me jette dans ces bras et nous nous embrassons. Nous passons l'après-midi sur la pelouse verdoyante de l'île à nous dorer la pilule au soleil. Je suis bien avec lui, je suis juste heureuse.

L'amour est dans le pré - Pascal et Lucie (en boucle)

Je suis observatrice et ne joue aucun rôle dans cette scène.
Pascal et Lucie (de l'émission "L'amour est dans le pré"), se parlent dans le restaurant. Ils rejouent la scène de la veille à la télé. Pascal veut emmener Lucie à Verdun. Et Lucie s'exclame : On va voir les plages du débarquement à Verdun? Pascal ("brut de décoffrage") sourit malicieusement l'oeil amusé: " Euh les plages du débarquement, c'est en Normandie...."
Les spectateurs rient. Je rie moi-même à gorge déployée.
Et puis la même scène recommence. Exactement la même. Encore et encore. Si bien que ça prend une tournure inquiétante... Je n'arrive plus à chasser ces images de ma tête, elles en deviennent lancinantes et me font peur.


jeudi 5 août 2010

Mon royaume pour une cigarette!

Scène 1
Je suis à Konstanz, chez mon ancienne famille d'accueil, là où j'étais Au-Pair.
Désormais c'est ma Fraktion qui est Au-Pair et c'est notre professeur de linguistique, Madame M. qui y habite. Je rends visite à ma Fraktion, elle plie le linge.
Je veux me fumer une clope avec elle, mais tous mes essais sont vains. Pas moyen d'allumer la cigarette. Soit elle tombe par terre, soit elle se casse en deux, soit le briquet ne marche pas. Ca m'énerve.

Scène 2
Retour chez moi. J'ai invité quelques amis. On a élu domicile dans l'ancien grenier qui me servait de chambre avant. C'est assez grand pour y loger tout le monde. Et la je me dis, je suis en bonne companie, il me faut une CLOPE. De ma poche je retire un paquet de cigarettes doré (tout droit tiré du film Paycheck),

je sors une clope, loin de la cuisine car mon père pourrait me voir.
D'ailleurs il hurle des choses que je ne comprends pas à la fenêtre. Je glisse la cigarette entre mes lèvres et en propose une à mon meilleur ami, un garçon aux cheveux courts bruns, court sur pattes et trapu (encore d'origine italienne). Il me dit: "Nan, j'en veux pas!!! Elles sont périmées de plusieurs années tes clopes, elles vont te rendre malade!"
Mais j'ai trop envie de fumer, alors je me fout qu'elles soient périmées ou pas. Je cherche un briquet... pas de briquet. Pour couronner le tout, la cigarette se casse en deux.

mercredi 4 août 2010

Rencontre avec Jacob Black

Scène 1
Je suis à Konstanz à l'école.
Je donne un cours de français dans la classe de Joachim, une petite classe
On regarde Mr Batignol
Je mets la cassette et m'asseye parmi les élèves qui me posent
pleins de question enthousiastes. Joachim leur pose des q
uestions pertinentes sur le film.
Fin du cours
je sors dans les couloirs et m'appuie sur une vitre en plastique posée sur le sol, de là, je peux voir l'étage du dessous. Il y'a deux personnes: Annette, une collègue, qui parle à un élève d'origine indienne. Cet élève n'est pas n'importe qui, c'est Jacob Black (oui oui celui qui joue dans Twilight, le loup garou). Mais il est en fauteuil roulant depuis que
cette vitre en plastique lui soit tombé dessus une fois. Et comme je suis en ce moment appuyée dessus, je la sens de nouveau céder, mais je la retient à temps, Annette me regarde d'un regard noir. Après quelques efforts j'arrive à réemboiter la vitre. Jacob arrive en fauteuil roulant à ma hauteur. Il est torse nu. Il m'entoure de ses grands bras musclés et je me laisse faire. Contre son torse je me sens bien, son corps diffuse une chaleur appaisante.
Scène 2

Dans la salle de bains
Je me pomponne avec ma soeur, ce soir on est de sortie dans la campagne vendéène avec son copain et notre frère. Je mets un bonnet de père Noël et une veste à pois multicolore.
Sur le canapé
Finallement je ne veux plus y aller, là bas il fait très sombre près de la rivière, et je ne veux pas rentrer seule, parce qu'une fois un homme m'a déjà poursuivi.

Scène 3
Un pantin désarticulé au visage de clown et aux couleur criarde.
Il me poursuit.

dimanche 1 août 2010

Ange et Démon

Je suis à Kiel, à la Mensa (restau U)
Il fait beau
Dans le hall d'entrée j'aperçois un visage connu... Olivier... Mon premier grand amour, et mon premier chagrin d'amour, celui que j'ai aimé plus que tout, celui qui m'a brisé le coeur en mille morceaux... Ca fait des années que je ne l'ai pas vu. Je n'ai plus de rancune contre lui, je suis même heureuse de le voir là. Il a toujours son beau visage et ses yeux si bleus qu'ils faisaient craquer toutes les filles. Il a un peu changé, il s'est beaucoup émacié. Il me prend dans ses bras et me fait tourner en l'air comme une petite fille. Je suis tellement heureuse.
On sort de la Mensa pour aller au soleil et discuter.
Je rerentre dans le hall.
Cette fois je ne suis plus accompagnée d'Olivier, mais de Jan. Jan m'aime depuis des années, ça en devient une obsession et a le fait disjoncter que je ne ressente pas la même chose pour lui. Je garde une distance corporelle avec lui, en fait il me fait peur, parce qu'il a deux personnalités. C'est Docteur Jekyll et Mister Hyde. Il a un côté enfant au coeur d'or et un côté sombre, déjanté et violent. Il ressemble alors au Joker dans Batman. Je me dis que je ne vais pas rester très longtemps à ses côtés, il me fait peur.

Nouveau Job

Jeudi
J'ai obtenu un bon travail qui paye bien dans une entreprise dont je ne connais pas le nom. Je suis habillée d'un joli tailleur bleu marine avec un chemisier blanc... C'est finit la vie d'étudiante. Mon patron, un petit homme dégarni et rondelet me montre mon bureau avec mon ordinateur. "C'est là que vous travaillerez"
Un truc me chiffone tout de même: je ne sais pas du tout ce qu'on attend de moi ici. Quel genre de boulot est-ce?
Mon patron me dit: "C'est bon vous pouvez rentrer à la maison, demain est votre jour de congé, mais samedi, je veux vous voir au taquet, je veux que vous alliez travailler chez un de nos clients."
En mon fort intérieur je me dis: ah oui? Et pour quoi faire?
Vendredi
Je me réveille la tête dans le brouillard. Je n'aurai mon véritable appart que demain, alors une ancienne collègue de l'école, Ursula, m'héberge. Elle a une fille d'à peu près mon âge. Il n'y en a que pour elle. Moi, on ne me voit pas, je ne compte pas. Je suis un peu jalouse.
Samedi
Me voilà chez mon client. Il est petit, rondelet et brun, il a un genre Italien C'est un homme important, il est très riche. Sa maison est claire et spacieuse. En fait je suis un peu une sorte de coach qui l'aide dans sa vie. J'ai plusieurs client comme celui là, des hommes et des femmes. Et là, je me dis que je m'épanouis vraiment dans mon travail, ça me convient parfaitement.

samedi 31 juillet 2010

Trompe l'oeil

Je suis dans un camps de vacances avec K. et un de ses meilleurs amis T. K. est placé dans une chambre avec d'autres étudiants, tandis que je dois partager la mienne avec T.
C'est le soir, nous nous couchons. T. et moi avons une irrépressible envie de faire l'amour, c'est instinctif. Le jeu à commencé...
Eclair de lucidité.
"Aber du bist nicht K.! Ich kann's nicht! Nein "
J'arrête tout. Je suis scandalisée d'avoir fait ça, je culpabilise à mort d'avoir eu l'envie de tromper K. avec son meilleur ami.
Je m'endors
Lendemain matin
Je vois K. à sa sortie du lit. Je le trouve toujours aussi attirant. Il est grand. Il a la classe. Je l'aime. Les yeux baissés, je lui implore le pardon: "Es tut mir sooo Leid, ich verspreche dir, ich habe nicht mit ihm geschlafen!" :'(
Il me prend dans ses bras et me dit: "Ich weiss es schon, es ist nicht schlimm."
Je me sens rassurée et en sécurité dans ses bras contre son torse.

Hystérie

Je me rend chez mon copain K.
Tout est normal.
Il fait beau.
Nous sommes à Ploug., dans mon village.
J'ouvre la porte de son appart et tombe nez à nez avec une fille. Elle n'est pas vraiment belle, mais pas vraiment moche non plus, elle est fade, sans aucun intéret, un peu passe-partout. Mon copain surgit derrière elle et prend cette fille par la taille. Il me dit: "Ich mache jetz Schluss mit dir, ich habe keine lust mehr auf dich. Ausserdem habe ich 'ne neue Freundin"
A partir de là je perds pied, je perds le contrôle de tout, mes jambes se dérobent sous moi. Je devient rouge comme une tomate, je pleure comme une madeleine, hurle crie comme une hystérique. Il ne peux pas me faire ça à moi. Je le poursuis, je le supplie de revenir sur sa décision. Mais il ne m'entend pas, il reste calme tout sourire. J'ai beau hurler, me démener, c'est comme si il ne me voyait plus. Par contre sa nouvelle copine, elle, me voit et m'entend, elle a peur de moi et mes cris, elle pense que je suis atteinte mentalement. Je la hais. Elle n'est même pas jolie.
Mais hurlements s'accentuent, je vais au milieu de la rue en rage et je déchirent mes vêtements jusqu'à que je sois nue, là, en plein milieu du village, pour qu'il daigne enfin me remarquer et arrêter de m' ignorer.

Rencontre avec Franck Dubosc

Je suis observatrice.
Ma mère.
Ce soir elle a rendez-vous avec Franck Dubosc, mais elle ne le sait pas encore. Elle le rencontre dans une boite en carton, dehors dans la nuit noire sous une pluie grise. Il la supplie. Il a l'air d'un pauvre garçon un peu pommé, un peu comme comme dans ses rôles à la télévision. Elle se souvient qu'elle a un mari qu'elle aime, et elle repousse les avances de Franck.
Lendemain matin.
Je suis de nouveau actrice de la scène.
Ma mère m'a dit qu'elle a rencontré Franck Dubosc en personne. Je ne la croit pas. Alors elle m'emmène à Intersport ou il fait en ce moment sa p
romo. J'ai le coeur qui bat. Il est entouré de gens et de photographes, il donne des autographes. Lorsque nos regards se croisent, c'est le coup de foudre. Avec un regard enjôleur, il me dit: "En fait... c'est toi que j'attendais." Et il me prend dans ses bras.

samedi 24 juillet 2010

Mademoiselle Professeur

Je suis dans mon ancien collège. Je n'y suis plus élève mais assistante de français pour une classe de 10 ème allemande (ce qui correspond à la seconde en France). J'ai de la chance, car j'obtiens la classe de ma collègue Sissi, une classe où les élèves sont impossibles. En sortant dans les vieux couloirs de mon enfance, je décide d'aller manger avec ma collègue Sissi. "Lust mal was mit mir zu essen?"

vendredi 23 juillet 2010

Mort par étouffement

Je dors sur le ventre dans mon lits aux couleurs criardes, c'est un après midi aux couleurs jaunes-orangées. Arthur, mon petit chien King Charles aux couleurs flamboyantes se balade sur moi et se pose sur mon dos pour s'endormir. Mais il devient de plus en plus lourd. J'ouvre les yeux et je vois deux bras masculins musclés qui m'encerclent et me plaquent contre le matelas. Je sens le souffle rauque de l'homme contre mon visage, mais je ne vois que ses bras et je sens sa force. Je ne peux plus bouger ni crier. Peu à peu, je m'enfonce dans le matelas. Je ne peux plus respirer. J'étouffe.