samedi 26 février 2011

Le Aas

Un jeune garçon aux boucles blondes a inventé une toute nouvelle invention révolutionnaire : Le Aas. le Aas est une nouveau procédé pour ceux qui ont des troubles du sommeil, ça leur permet de s'endormir rapidement et sans effet secondaire. Le jeune garçon est entendu dans une salle d'interrogatoire aux miroirs teintés, apparemment certaines personnes du gouvernement aimeraient l'évincer pour s'attribuer la réussite de cette découverte et s'en mettre plein les poches. (en référence au film regardé hier soir : Sans identité)


Je suis chez mes grands-parents dans leur salon. Sur le coin de la table en verre du salon, il y a un cube en bois avec un côté aplati. je le prends dans mes mains et le tourne dans tous les sens. Il est lisse et parfait, je me demande bien à quoi il sert.

Je suis dans les toilettes de l'aéroport avec K. et mes parents. C'est la première fois que K. rencontre mes parents (grand moment !). Ils se rencontrent devant le lavabo pourris des toilettes et essaient de percer le mystère du cube. Il se révèle à la fin que c'est un puzzle en 3D en forme de cube avec comme dessin un ciel bleu aux nuages blancs.


*Le Aas : j'ai fait des recherches et voilà ce que j'ai trouvé :
L'AAS (qui est l'abréviation du terme acide acétylsalicylique) à faible dose est un inhibiteur plaquettaire (aussi désigné inhibiteur de l'agrégation plaquettaire). Les médecins le recommandent pour les personnes qui courent un risque accru de crise cardiaque, mais qui n'ont aucune raison de ne pas utiliser ce médicament.




jeudi 24 février 2011

Deuxième sortie de corps (Paralysie du sommeil + rêve lucide)

Nuit blanche. Impossible de dormir. Peur de perdre le contrôle. Angoisses. Pas envie de ''tourner de l'oeil''. Peur de la nuit.
Mais comme je dois aller bosser tôt le matin, je décide de baisser ma vigilance, 5 minutes seulement. J'aurais bien voulu m'endormir normalement. Mais non, déjà la paralysie du sommeil me prend dans ses bras. Le volume des acouphènes est très fort.
Je décide de faire une sortie de corps. Je tourneboule sur moi même et cette fois je (mon corps onirique) me retrouve debout. Je vois ma chambre telle qu'elle est, la seule différence c'est qu'elle est très claire et elle est rangée^^. j'ai du mal à tenir sur mes jambes. mes jambes sont très longues et elles forment un arc qui balancent d'avant en arrière. Je n'arrive pas trouver d'équilibre, soit je tombe en avant, soit je tombe en arrière.
Je ramasse une plaquette de mes pilules (contraceptives) par terre et regarde avec attention les points de couleurs que forment les pilules. Je regarde ailleurs, puis de nouveau la plaquette, certaines pilules on disparu, je répète ce geste jusqu'à que toutes les pilules aient disparu. Et c'est là que je me dit : Ce n'est pas normal, je suis dans un rêve !
Je tombe en avant et m'affale sur le parquet en bois. Une force me propulse à très grande vitesse sur toute la longueur de la pièce. Malheureusement, je n'arrive pas à décoller du sol et le parquet érafle ma joue droite méchamment. Je ressens une vive douleur, comme si c'était réel.
J'approche du mur de plus en plus vite et j'ai un peu peur de me le prendre en pleine face, alors j'essaie de décoller du sol en bougeant mes pieds.
Le mouvement de pied me sort de cet enfer. Je me réveille. Ouf !
Je déteste faire des paralysies la nuit, c'est vraiment angoissant !
Je n'ai pas pu me rendormir par la suite....

mardi 22 février 2011

7 Méthodes pour se réveiller d'un rêve

Je suis dans une salle sombre avec mes collègues de boulot. U. joue du banjo. Mais alors que ses mains n'effleurent pas le banjo, la musique, elle, continue de jouer un air mélancolique. Je ne sais pas trop comment ce miracle est possible, alors je vois que U. à un autre banjo encore dans sa housse dans sa main gauche et là je comprends enfin que ce n'est pas le premier banjo qui joue, mais le deuxième, ce qui redonne un sens à la situation (vachement logique ^^).

Je réfléchis à toutes les méthodes possibles pour chercher à me réveiller d'un rêve (ce n'est pas un rêve lucide, mais un rêve bien normal). J'en trouve 7.
1ère méthode :
-Faire un cauchemar pour se réveiller en sursaut.
2ème méthode :
- Mettre un réveil sur son portable pour se lever tôt pour aller au boulot.
Je n'ai pas eu le temps de passer en revue les 5 autres méthodes car mon réveil a sonné car il était temps de se mettre en route pour le travail.

Je suis dans un avion avec mon collègue stagiaire. Il n'y a que des rêveurs dans cet avions (c'est à dire, des gens en train de rêver qui se retrouvent en rêve dans cet avion), je veux leur enseigner le français.

dimanche 20 février 2011

Dialogue avec un cauchemar

Rêve datant de 2005/2006

Avez-vous déjà essayer de discuter avec quelqu'un lorsqu'il rêvait ? Moi oui, et je ne le referai plus car le rêveur à eu vraiment peur ^^

Je suis donc réveillée dans mon lit, et O., à mes côtés dors, il marmonne quelque chose.
Je lui demande :
Tu es où ?
O : Sur une falaise
Moi : Et tu vois quoi?
O : Un tourbillon. La peur.

O. se réveille subitement.
O terrorisé et bien réveillé : Ne refait plus jamais ça !

Glandouille au Glandasse


Je suis avec ma mère dans la Drôme pour les vacances, plus exactement à côté du volcan appelé ''Le Glandasse''. Nous nous baladons dans les viols (ruelles) au charme pittoresque. Tout est verdoyant et le soleil brille. Je prends les fontaines en photo.

Je suis dans ma chambre. J'ai deux matelas dont les têtes se touchent et je me dit que, c'est bon, j'ai deux lits, donc MK peut venir me rendre visite quand il veut.

Il y'a un homme avec une valise sur le chemin sortant du bois. Son visage est figé et sa bouche forme un méchant rictus.

Je suis chez K. dans sa famille. C'est le soir, K. est sorti avec des amis et je suis au lit. Soudain, je vois les phares d'une voiture qui éclairent la pièce, j'entends des pas (des talons hauts) et je me dit que ça doit être K. qui rentre avec ses soeurs.
Je suis trop déçue, car ce n'est pas eux.
J'envoie un message à K. pour lui dire que je croyait que c'était eux qui rentraient en taxi, et tout d'un coup je me suis demandé si je n'avais pas rêvé entre temps. K me réponds que ce n'était pas eux qui étaient rentrés mais qu'ils venaient de commander un taxi.
20 minutes plus tard, ils arrivent, la scène se reproduit : les phares de la voiture dans la chambre et le bruit des talons hauts.

jeudi 17 février 2011

Arschloch !

Je suis invitée aux anniversaires du père et du grand-père de K., mon copain. (Ce qui est vrai, puisque j'y suis invitée ce week-end, mais espérons que ce rêve n'était pas une prémonition ^^).

La soirée:
Je suis à Northeim en Allemagne dans une sorte de salle de classe avec un projecteur qui retrace la vie du père de K., comme des élèves, nous sommes assis sagement sur les chaises en plastique. Je commence à m'intéresser à une petite fille toute mimi et je joue avec elle. Elle rit aux éclat. Mais sa mère intervient brusquement, la met dans la poussette et me dit avant de partir : ''Je ne veux plus que tu revois ma fille!''. Je n'ai pas le temps de dire grand chose, mais je garde en tête ma dernière image de la petite : un grand sourire qui illumine son visage de bébé. Cette image devient fixe, comme une photo en noir et blanc un peu racornie par le temps (un effet que l'on retrouve dans la série Dresden).

Fin de la soirée:
On m'a attribué une chambre avec deux hommes dans une auberge de jeunesse. le premier homme est vraiment sympa. Et quand le deuxième apparait, mon corps se glace d'effroi, impression de déjà-vu... J'ai déjà passé des nuits en auberge de jeunesse avec ce type et je sais qu'il est complètement barje et violent. Il est châtain, anguleux, il a une petite barbichette, des lunettes rondes et des bobos sur le visage. Déjà, il commence à sauter sur mon lit car il veut absolument une place en hauteur ( il s'agit de lits superposés). J'ai peur de lui et l'autre homme (le sympa) commence à prendre ma défense. Le deux hommes commencent à se taper dessus, j'en profite pour m'échapper de la chambre.

Dans la nuit :
Je me retrouve dans une pièce sombre. Il y a juste une table éclairée avec des gens en costar qui ont l'air de mafiosos. Le grand-père de K en fait parti. Je suis très en colère qu'on m'ait attribué une chambre avec des hommes. Quelques secondes avant minuit je hurle au grand-père de K. : ARSCHLOCH ! (Trou du cul !). Tout le monde me regarde avec surprise. Puis le gong de minuit retentit et tout le monde chante : Zum Geburtstag viel Glück ! (Joyeux anniversaire).
La honte m'envahit totalement.

La fête d'anniversaire s'est très bien déroulée en fin de compte ^^ Mais j'ai eu l'impression de voir l'enfant de mon rêve et le mot ''arschloch'' (trou du cul) est tout de même sorti de la bouche d'une autre petite fille allemande qui avait appris le mot en français et qui me l'a murmuré à l'oreille.


mercredi 16 février 2011

Concours de maillots mouillés

Je suis à Brest et je joue dans les égouts avec mon amie L. Je porte un deux pièces sublime à fleurs qui m'avantage vraiment beaucoup. Dans ce rêve, j'ai vraiment un corps de rêve et une poitrine hors norme^^ Je m'éclate avec L., nous sommes très proches, la manière dont nous nous touchons indique que nous sommes sûrement plus que des amies.

Après avoir bien ''batifolé'' dans les égouts, je décide de rentrer chez moi, dans ma chambre de cité U. Bon évidemment, je ne retrouve pas mes vêtements et doit me rendre à la cité U en bikini avec une serviette jaune poussin à la taille. En plus, je suis encore toute trempée.
J'arrive à la cité U. Elle est énorme, je ne sais même plus ou est la porte d'entrée et dois faire plusieurs fois le tour du bâtiment immense, tout blanc et vitré à l'architecture moderne.
Enfin, je crois reconnaitre l'entrée. Je monte quelques étages et me retrouve devant ma chambre. La porte est ouverte. Je remonte les stores, ce qui éclaire toute la chambre blanche immaculée. C'est bizarre, dans me souvenirs, j'avais l'impression que ma chambre de 9 m² était beaucoup moins grande, beaucoup moins claire et beaucoup moins blanche. C'est alors que je découvre des bijoux disséminés un peu partout dans la pièce qui ne m'appartiennent pas. Et là je panique car je découvre que je me suis trompée de chambre. D'ailleurs la propriétaire de la chambre se tient juste devant la porte en colère, c'est une quadragénaire mince, fardée, maquillée et bruschingué.
Elle me demande ce que je fais dans sa chambre, je prends peur et balbutie des paroles incompréhensibles.

mardi 15 février 2011

Paralysie du sommeil et sortie de corps


Tout d'abord, j'ai eu une phase de sommeil avec des rêves que j'ai directement oublié. Puis je me suis réveillée et je suis restée dans la même position. C'est là que la paralysie m'a prise au dépourvue, d'une façon très bizarre d'ailleurs : mon corps est donc paralysé, mais je sens ma tête se tourner vers le plafond, mes lèvres ont esquissé un sourire (d'habitude c'est plutôt un affreux rictus !) et il m'a semblé que j'ai ri, un joli petit rire cristallin.
J'entends mes acouphènes, elles sont à plein régime. Je suis donc parfaitement consciente et me dit que la paralysie du sommeil est un des seuls moments ou je peux essayer la sortie de corps. ET surtout : ne PAS avoir peur, car avant je faisais souvent des PS très angoissantes.
C'est extraordinaire car ça marche vraiment. Je sens ma tête qui sort de mon corps lourd et mes jambes aussi bougent (alors qu'en fait le corps est immobilisé par la paralysie), j'essaie alors de tournebouler sur moi même, j'y arrive à peu près, mais je n'arrive pas à quitter le corps totalement et à m'en éloigner (je suis une néophyte^^), mais ça reste quand même une sacrée expérience.
Un autre truc que je ne sais pas : Faut-il ouvrir les yeux ? Car c'est le seul ''membre'' que l'on peut bouger pendant la paralysie, mais à chaque fois que j'ai ouvert les yeux, je me suis retrouvée de nouveau dans mon corps.

En retard (comme toujours)

Je suis en visite chez mes grands-parents en Vendée (tiens donc je rêve souvent de cet endroit ces derniers temps). Demain matin, j'ai école, mais je me dis qu'il y a des tas de bus de toute façon qui y vont.
Le lendemain matin
Je me rends soudain compte que mon lieu de travail/mon école est beaucoup trop loin pour pouvoir y aller en bus. Ben oui, suis-je bête, puisqu'elle est à Kiel dans le Nord de l'Allemagne. Bref, je me dis qu'il est déjà trop tard de toute façon et que je n'arriverai jamais à temps. De la Vendée à mon école y'a bien 16 h de voiture.
Je suis complètement décomposée, mais d'un autre côté, je me dis que c'est pas plus mal, je vais avoir une journée de repos comme ça. Je me sens néanmoins très coupable.

dimanche 13 février 2011

Possession (2)


Rêve du 10/11/2009

Moitié réveillée.
Moitié endormie
Je suis consciente mais mon corps ne fonctionne pas, comme si mon corps et mon esprit étaient dissociés. J'entends un bourdonnement insupportable dans mes oreilles. J'ai peur.
Je veux me lever pour allumer la lumière, mais mon corps ne réagit pas, je ne peux pas crier non plus.
Pourtant, après des efforts surhumains, mon corps se lève du lit et retombe aussitôt comme un pantin désarticulé par terre. Une ''chose''/''force" invisible me soulève à quelques centimètres du sol et me fait tourner dans ma chambre, elle joue avec moi comme si je n'étais qu'un vulgaire jouet. Mon esprit est enfermé dans mon corps, je suis prisonnière et totalement impuissante contre cette chose.

Je me réveille dans mon lit en sueur, j'ai des frissons dans tout le corps et le coeur qui bat à 100 à l'heure. Mais le cauchemar n'est pas terminé, car c'est un faux réveil. Je m'enfonce peu à peu dans le matelas et les draps se resserrent, je suis complètement angoissée et effrayée, mon corps est toujours paralysé, je ne veux pas mourir étouffée .... La peur est partout, surtout dans ce noir compact nocturne.

vendredi 11 février 2011

Deuxième essai de rêve lucide DILD (Dreamed Induced Lucid Dream), réussi :)


Je suis chez mes grands-parents en Vendée et occupe la caravane dans le parc de la propriété. Mon grand-père organise une méga fiesta high-tech. C'est le soir, il y a beaucoup de gens, je ne sais pas pourquoi, mais beaucoup de gens se disputent et se tapent dessus. Le long de l'allée, il y a 3 énormes télés écran plat en marche... quelle ambiance ! Je voudrais me changer dans la caravane, mais mes vêtements ont disparu. Alors je cherche ailleurs. Puis je ne retrouve plus la caravane. C'est très frustrant.
Puis il se met à pleuvoir. Le ciel bleu nuit devient gris. Je me dit que les Télés vont cramer sous la pluie, mais non elles fonctionnent toujours. Il pleut tellement que ça se transforme en innondation. Il faut absolument qu'on sorte d
u parc sinon on va finir tous noyés, car l'innondation est devenu un fleuve en furie. Pour cela, il n'y a qu'un seul moyen : le trou dans la haie au fond du jardin.
Je fais partie des très rares personnes qui ont réussies à s'enfuir du parc par le trou de jardin.
Maintenant je cours dans les rues sombres (c'est la nuit) de Venise et m'arrête devant un immeuble. J'y entre et monte quelques étages et je m'arrête devant un des appartements. Il est vieux, tout en bois et complètement décrépit
. Il semble inhabité.

Et là... Je vois la fenêtre qui renvoie un faible reflet. Et là ça fait tilt : je suis dans un rêve. Je m'approche du reflet pour vérifier si je suis bel et bien dans un rêve. Le reflet me renvoie l'image d'un jeune garçon très joufflu aux grands yeux et aux cheveux châtains clairs bouclés. Mon rêve me dit que c'est normal. Mais comme je ve
ux toujours me persuader que je suis dans un rêve, je décide de plonger à travers la fenêtre. Ca marche, je fais un vol plané et me retrouve en train de voler au dessus du fleuve, c'est vraiment magique =) Comme je n'ai pas vraiment de technique pour voler, je fais les gestes de la grenouille^^ et de la sirène, comme si je nageais dans l'eau.
C'est le jour désormais, je suis toujours lucide. Je vole au dessus de la ville et m'approche de montagnes vertes, d'un vert magnifique. J'ai l'impression d'être libre ! Derrière les montagne, il y a la mer, exactement comme je me l'était imaginée. Un paysage breton, avec une petite crique et des petits bateaux de pêche.
je me pose sur la cale, là où les pêcheurs déversent leurs poissons. Devant moi, il y a un jeune garçon qui marche vite et que j'ai peine à rattraper, je décide d'entamer la conversation avec lui. Je lui demande la seule question qui me vient à l'esprit : Et tu fais quoi dans la vie ?
Je ne m'attents pas à ce qu'il me réponde, car c'est trop bizarre d'être lucide et de parler à quelqu'un d'autre du rêve qui n'est pas soit-même. mais il répond simplement et à mon grand étonnement : - Je travaille comme ''Bérénice Tendié'' ici, avec les pêcheurs.
Moi -Oh et c'est comment ?
Lui - Je travaille tout le temps, je n' ai pas de temps libre et je ne gagne presque rien...
Pour lui remonter le moral, je lui dit : Mais tu sais ce n'est pas grave, ce n'est qu'un rêve !
Il ne me répond pas, déjà, il embarque sur un bateau. J'essaie de le suivre en volant aux côtés du bateau. L'océan, c'est vraiment magnifique...Puis je stagne, je n'arrive plus à avancer.

Je me réveil. Ou plutôt non, je fais un faux réveil. Et je me retrouve dans mon lit chez mes parents. Je vais à la vitre et tente d'y faire traverser mes doigts. Ca ne marche pas, mes doigts cognent contre la vitre, alors je me dis, je suis bien dans la réalité (Trompée par un test de réalité !). J'ai de nouveau perdu ma lucidité. Je descends dans la cuisine, là il y a ma mère, mon frère et et un de ses potes. Mon frère est très grand et il a une coupe à la punk vraiment trop bizarre.

Je me réveille, cette fois dans la réalité^^

mercredi 9 février 2011

Titi le travesti

Je suis dans la salle à manger de la maison de mes parents. Là je fait la connaissance d'un homme d'un certain âge habillé et maquillé en femme. Il fait une tarte aux pommes. Il veut absolument voir K. car c'est un vieil ami à lui. J'appelle K. qui est dans ma chambre.
K descend et dès qu'il voit le travesti, il le prend dans ses bras en disant : Ma Titi, c'est bien toi ? Les effusions n'arrêtent plus, quand Titi parle avec K., il ponctue toutes ses phrases par : mon chéri, mon beau, ma beauté, mon mignon. Moi je deviens transparente. La jalousie me monte à la tête et me triture le cerveau, même si je sais d'imaginer une relation entre K. et un vieux travesti est totalement absurde.. Je finis par jeter les assiettes comme une folle furieuse sur la table et monte en courant dans ma chambre.
K. me rejoint et me console 5 minutes en me disant que ce n'est pas la peine de me mettre dans cet état là, car il ne se passera rien puis il dit (comme souvent d'ailleurs) : bon j'dois te laisser, faut que je m'occupe de mon invité.
Je suis toujours terrassée par la jalousie.
Je les suis jusque dans une grotte sombre et m'attends au pire.

dimanche 6 février 2011

Miroir déformant

Je suis dans mon village Breton. C'est la nuit. Nous sommes à table avec ma famille (c'est très rustique). Mon petit frère m'a invité à une soirée qu'il organise à Paris. Je l'annonce toute fière à mon père : Y. m'a invité à une super fête à Paris mardi soir. Mon frère me regarde d'un air de reproche, j'aurais dû me taire. Mon père répond : Pourquoi tu veux aller là-bas ? Tu ne pourras pas rivaliser avec les filles qui y sont, elles sont beaucoup trop canon et ont toutes des énormes poitrines ! Tu ne devrais pas y aller ! Ce à quoi je rétorque : Pfff ça m'est égal, je veux juste m'amuser.

Ca y'est je suis arrivée à Paris et je suis à la fête. Il fait encore nuit. la soirée se passe en plein air sur les toits de Paris, c'est magnifique, la nuit est d'un bleu magnifique, les gens ont fait des feux de camps. Ma soeur est là aussi, je lui demande si elle a des clopes. Elle me dit que oui, et de chercher dans son sac à main blanc à fleurs roses. C'est un vrai bordel là-dedans : maquillage, mouchoirs, porte-clefs, argent... Il y a aussi plusieurs paquets de cigarettes. Dans un des paquets, les cigarettes n'ont pas de filtre, dans d'autre elles sont tordues et cassées. Bref je ne trouve pas mon bonheur là dedans.

Je m'enfuis de la fête et ouvre une porte qui donne sur une gigantesque allée, tout est clair et brille de mille feux, on se croirait dans un palais d'or et d'argent. Tout est calme, il n'y a que moi, infiniment petite dans cet endroit immensément grand. Tout d'un coup je deviens lucide et me dit : Je suis dans un rêve. Cool, je vais pouvoir observer mon rêve et peut-être même le diriger. Tout mon corps est parcouru d'un étrange frisson. De l'autre côté de l'allée, j'aperçois une vitre miroir, il faut que j'aille voir à quoi je ressemble. Je commence à courir, plus je me rapproche du miroir, plus mon reflet m’apparaît nettement. Tout d'abord mon reflet me renvoie l'image d'un rabbi (tout droit sorti du film : Lucky Number Slevin), mais peut à peu le reflet change. Maintenant le miroir me renvoie le reflet d'un beau jeune homme aux boucles brunes et au visage lisse, son expression est figée. Et puis ses yeux commencent à rouler dans leurs orbites et à loucher affreusement. Ses yeux sortent presque de leurs orbites. Je veux changer d'image, mais je n'y arrive pas. On dit que les miroirs sont aussi des passages vers d'autres mondes oniriques, Alors je décide de traverser le miroir, car ce monde là ne me plait plus.
La traversée s'effectue très vite et sans douleur.
Je me retrouve dans le noir.
Je dicte à mon rêve de construire une gigantesque bibliothèque et je l'imagine un instant toute dorée avec des millions de livres empoussiérés.
Mais ça ne marche pas.
Je reste dans le noir.
Je me réveille.

Je mange autour d'une table avec la famille de K. à côté d'une grande fenêtre claire. J'ai du mal à suivre leurs conversations, donc je reste un peu en retrait en bout de table plongée dans mes pensées. Soudain, les parents de K. me donnent 20 euros, ils avaient une dette envers moi. Puis je pense qu'ils peuvent garder leur argent puisque moi j'ai une dette de 200 euro envers eux et je ne sais pas du tout comment je vais la rembourser.

Je reviens dans mon appart et mon coloc a mangé presque toute ma tarte au thon et aux aubergines. Je suis en colère.

Je suis devant 4 écrans d'ordinateur et je peux déplacer la souris comme je veux sur les 4 écrans.

samedi 5 février 2011

Train fantôme

Je suis dans un vieux train dans le Far West. L'athmosphère est d'une couleur sépia, un peu comme une vieille photo. Il y a un homme en face de moi. Il porte un long pardessus et un chapeau de cow-boy dans les tons marron. Je l'observe, il ne bouge pas et semble figé. Dehors, le paysage désertique et jaunâtre défile devant mes yeux.
Je reporte mon attention sur l'homme, peu à peu il disparaît pour ne être qu'une forme blanche très allongée.
Peu à peu il disparaît.
Je me réveille.

jeudi 3 février 2011

Premier essai de rêve lucide (WILD, wake-initiated lucid dreams)

Je compte jusqu'à 100. Entre chaque nombre je me répète : Je suis dans un rêve. Je compte de nouveau jusqu'à 100, puis une troisième fois. Les chiffres commencent à s'entremêler. Mon corps devient lourd, je n'entends plus que mon souffle et des acouphènes dans mes oreilles. Je ressens l'atonie musculaire, je n'arrive plus vraiment à bouger. J'ouvre les yeux, le plafond prend une couleur bleutée et des tâches de couleurs s'envolent, tout se confond. J'aimerais matérialiser des choses ou des personnes mais je n'y arrive pas. Je ferme les yeux. Je sens mes yeux sous mes paupières qui bougent très vite, je suis bien dans ma phase de rêves. Pas de visions ni de véritable rêve, juste des ombres et des tâches de couleurs.

mercredi 2 février 2011

Cours dans une grotte

Je suis dans une grotte humide et claire avec de la végétation avec mes élèves de 13ème. Je veux leur faire étudier un article de journal sur les jeunes filles lolitas d'aujourd'hui qui veulent toutes ressembler à Paris Hilton.
Mais les filles ne semblent pas vouloir travailler, elle préfèrent se laisser aller et discuter entre elles de leurs vies respectives (shopping et maquillage).Lorsque nous voulons sortir de la grotte, le gardien de la grotte (un romain tout droit sorti d'Astérix), nous empêche de sortir.