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dimanche 23 octobre 2011

rêves de famille

1 - J'habite chez mes parents et je dors dans mon ancienne chambre dans le grenier. J'ai un bébé, il dort dans son couffin. Ce soir, je veux m’enfuir de la maison et partir loin de mon père avec mon bébé et ma mère. J'ai rendez-vous tard dans la nuit avec ma mère, pour que mon père ne se rende compte de rien. Je coure avec ma mère et mon bébé dans la cambrousse et dans la nuit, nous voulons nous rendre chez ma soeur et nous y réfugier quelques temps. Mais ma mère s'arrête et part dans un buisson pour pleurer. Ses pleurs me font mal, on dirait des cris d'animaux.

2 - Je suis dans la cuisine avec ma famille. Mon père me fait des compliments, mais il rabaisse mes frères et soeurs.

3 - Je suis chez mes parents. Je garde les deux chevaux de ma soeur. Ils sont très bien dressés et très beaux. Ils se baladent dans ma maison comme des animaux de compagnie. ma soeur organise une grande fête de famille chez elle et elle veut que je vienne avec ses chevaux. Malheureusement, les chevaux ne passent pas dans la camionnette, car ils sont trop grands! Alors je vais à la fête sans eux et ma soeur ne cesse de me faire des reproches.

vendredi 6 mai 2011

Mon corps en décomposition


1) Je viens de subir une opération chirurgicale où l'on m'a coupé le corps en deux à partir du buste. Ils m'ont bien raccomodé et on en voit presque plus rien. Mais de jour en jour, ça empire.... Le premier jour, je vois les coutures réaparaître. Le deuxième jour, je sens que ça devient de moins en moins stable et j'évite les mouvements brusques. Les jours suivants, j'ai l'impression que mon buste se détache du reste de mon corps, comme une statue qu'on aurait coupé en deux. Je suis totalement paniquée et je n'arrive à joindre aucun médecin. Je pleure de douleur, mais ma mère s'en fout, elle pense que ce n'est pas grave.
Les derniers jours, je reste assise sur mon lit, je ne peux plus beaucoup bouger par peur que mon buste tombe. Peu à peu, je sens une sorte de plaie rectangulaire qui gonfle du côté de mon coeur ce qui m'empêche de respirer normalement. Je me dis : Ca y'est, ça s'est infecté.
Je décide alors de regarder enfin l'état de mon corps... La plaie est énorme et violette, au milieu il y'a une sorte de tuyau tout pourri. J'enlève mon corset (oui je porte un corset de maintien) et à la place de mon ventre, je vois des légumes tous pourris.

2) je pars en vacances avec une amie. Nous sommes en voitures et sommes sur une route de campagne. Nous sommes arrivées à destination, en pleine nature. Mon amie me raconte ses déboires amoureux. Elle est partagée entre E. un ex à moi (peu sympathique) et un avocat qui est plus veux qu'elle et qui habite as loin dans un cabanon ( tout droit sorti de la série Hellcats^^). Je suis un peu jalouse tout de même qu'elle veuille sortir avec mon ex, même si je me demande se qu'elle lui trouve...
Dialogue :
Moi : - Quoi tu veux sortir avec E. ? (visage dégouté)
Elle : - Euh oui, pourquoi ?
Moi : On va dire qu'il ne m'a pas très bien traité, en même temps (j'essaie de me ratrapper), on était jeunes, on avait 16, 17 ans à l'époque.... Mais tu devrais plutôt sortir avec l'avocat, ça à l'air d'un type bien !
Elle (faisant la moue) : Oh j'sais pas trop... Je crois que je préfère E...
Ensuite, on part sur une autre conversation sur les rêves^^. Elle me sort en allemand :
- In meinen Träumen habe ich eine Assi-Mutter (= Dans mes rêves, ma mère est vraiment asociale)
Je lui réponds que moi aussi, et je repense amèrement au premier rêve, ou ma mère m'a laissé souffrir avec mon buste coupé en deux.

3) Je suis sur un grand voilier et je plonge dans l'eau pour échapper au danger.

mardi 3 mai 2011

Radio dans la tête (paralysie du sommeil)


Noir = RN
Vert = PS
Bleu = RL
Rouge = FE

Réveil. Pose pipi. Re au lit. Je suis en PS. J'entends mes acouphènes qui se transforment en voix masculine. J'entends désormais un animateur à la radio qui parle très vite, mais très clairement. Cela semble incroyablement réel. Je n'ai pas retenu ce qu'il disait, car je crois que ça n'avait pas vraiment d'importance. J'ai voulu mettre de la musique, mais ça n'a pas réussi... Je retenterai Smiley



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Je pense au JR de Lilou, et essaie de faire comme elle quand elle est en PS : J'ouvre mes yeux oniriques. Et la vision étonnante : je vois Lao sous la forme d'un oiseau de feu géant (bref son avatar quoi)

Mais je me réveille très vite et ne remarque pas que c'est en fait un faux réveil. Je regarde l'heure : il est 3h du matin. Je me dis alors que l'autosuggestion pour le RL n'a pas très bien marché puisque je m'étais dit : 1h. Bref. Je me lève pour aller aux toilettes et en traversant la cuisine, je vois mes colocs qui rangent la vaisselle après leur petite soirée entre filles (qui s'est passé IRL il y a quelques heures). Je retourne au lit et... Je retombe en PS.
Ce n'est que ce matin que je me suis rendu-compte que ça ne s'était pas passé réellement.^^


Et deux petits RN que j'ai un peu oublié....

Ma famille et moi, on est des réfugiés de guerre et on doit se cacher dans une bicoque en bois. Ma mère me demande une clope. Je tique un peu, carIRL elle ne fume pas. Tout le monde à l'air très tendu. Nous n'avons même pas de douche et on doit se laver dans le lavabo.

Je suis avec ma famille, on se baigne dans un lac. Et soudain on prend peur, car Lord Voldemort nous poursuit ! (Voilà encore un JR d'un des membres du fofo qui m'a inspiré^^)

dimanche 1 mai 2011

Rencontre avec le maléfique Nosferatu-Vador


1) C'est (encore, à croire que je fais toujorus des rêves à répétition) l'anniversaire du grand-père de K. Nous sommes attablés avec toute sa famille dehors, dans le jardin.
En soirée, nous décidons de faire une grande virée dans toute la Bretagne en roller. Il fait déjà nuit, mais c'est génial, les paysages de campagne la nuit sont magnifiques. J'veux aller aux toilettes, et j'abandonne donc le groupe. je m'enfonce dans un tunnel bizarre ou il pleut très très fort (ouai, il ne pleut que dans le tunnel). Je me gamelle en roller à cause de l'eau et me laisse glisser jusqu'au bout du tunnel.

2) Je suis dans un bus avec K. Nous parlons à un vieillard dans le bus qui fait très peur et ne parle que de choses absurdes. Il dit qu'il est ''Dark Vador'', mais en fait il ressemble à Nosferatu plutôt, même s'il respire comme Vador.On part s'assoir très loin de lui.



jeudi 7 avril 2011

Le secret de famille

Je suis à Douai, dans le Nord de la France avec ma famille dans la maison de mon arrière-grand-mère décédée. Il y a une grosse fête familiale. En fait les membres présents ne pense qu'à une chose, telles des bête assoiffées, il veulent trouver le secret de famille, le trésor enfouit ici quelque part que personne n'a jamais trouvé.
Ma grand-tante (elle aussi décédé IRL et que j'adorais) m'a commandité pour trouver ce trésor, mais il faut que je reste très discrète.

La légende dit que le trésor contient des mouchoirs en tissus blancs comme neige d'un autre temps ainsi que de l'or et des bijoux. Je cherche partout, mais en vain...

Alors, je regarde un film à la télé en étant persuadée d'y trouver un indice. Effectivement la vérité m'apparaît dans le film : un homme ouvre une table en quatre en actionnant des déclencheurs. Je me dis : C'est ça !

Comme je suis seule dans le salon, je me précipite vers la petite table antique aux formes ésotérique avec les motifs d'un jeu d'échec. Il y a deux triangles et à chaque extrémité des billes en bois en relief (les déclencheurs!) J'appuie sur ces bille et la table s'ouvre en 4parties. Pour l'ouvrir complètement, il me faut un nom de code. Je tape sans réfléchir : [b]Erros[/b]

La table s'ouvre encore plus, je vais enfin découvrir ce secret si bien gardé! Malheureusement ma soeur arrive dans la pièce, alors je referme vite-fait la table qui se transforme en super-nintendo pendant que ma soeur s'affaire à chercher le trésor comme une furie. Elle me regarde d'un air très suspicieux.

Je suis désormais dans une grande salle claires avec toute la famille. Je m'approche de ma grand-tante et lui murmure à l'oreille :
[i]''Je crois que j'ai trouvé le secret de famille.''
[/i]

mercredi 6 avril 2011

Naturisme sous la neige

Il est 6 heures du matin, je m'endors tout doucement en me racontant une histoire et cette histoire devient peu à peu rêve.
Je suis en train du faire du patin à roulettes dehors sur les rues pavées, il a pleins d'obstacles comme un pont, une grande montée et je dois même faire du l'escalade avec mes patins(niveau de lucidité très bas). J'arrive à un parc-musée avec K., sa mère et sa petite soeur. Sa soeur s'amuse à m'énerver, avec une pompe elle m'éclabousse d'eau et je suis toute trempée. Je sens les gouttes qui coulent de mon nez. Dégoutée, je vais mon chemin et lasse K. et sa famille en plan pour faire mon boudin. Mais au bout d'un moment je veux les retrouver et vais au cinéma. Plusieurs PR me disent que des gens me cherchent : c'est la famille de K. qui se trouve dans les premiers rangs. Je m'assois près d'eux. Je m'aperçois que je n'ai plus de pantalon (Huh?) Mais K. pose sa tête sur mes genoux et s'endort.

2 Je dors sur le dos et tombe directement en PS. De nouveau une PS toute douce Smiley (ça s'améliore!)
Je cherche à sortir de mon corps comme d'habitude, j'appelle un protecteur puis un PR puis je roule sur le côté. je dois répéter l'opération plusieurs fois pour réussir à tenir sur mes jambes, c'est bizarre j'ai du mal à me stabiliser au début.
Je suis de nouveau dans une chambre inconnue rectangulaire presque vide. Je m'imagine un miroir, ce dernier apparaît dans le coin de la pièce. Je me regarde dedans et le reflet me ressemble même s'il est un peu déformé. Quand je rapproche mon visage, il devient tout bossu et mes sourcils disparaissent. Je ne sais pas pourquoi, je commence à me déshabiller entièrement pour observer mon corps. J'ai du al à retirer mon haut, il semble que j'ai enfilé au moins 10 tops l'un sur l'autres. Voilà je suis nue. Je m'observe. En plus je suis hermaphrodite, ce qui fait que je peux changer de sexe à volonté(bon je ne vous fait pas un dessin).
Je vais à la fenêtre et regarde vers le bas : il y a une rue pavée, les bâtiments sont de style médiéval et il neige.


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Et moi, trop con: et si j'allais courir toute nue dans la rue, juste pour le fun ? Je me téléporte vite fait en bas (je ne sais plus comment). Et je cours toute nue sous la neige. Personne ne me remarque. Jusqu'à un coin de rue ou je remarque des sans-abris. Je m'approche d'un jeune sans-abri recouvert de manteaux et de couvertures (il fait très froid je précise), et il a les yeux d'un bleu ! waaaw Kiss Je suis subjuguée. Lui aussi. On s'approche l'un vers l'autre.
et là, et là...

Le TELEPHONE SONNE ! grrrr

mercredi 30 mars 2011

La cuillère plantée entre les deux yeux



Je suis dans une salle des fête avec pleins d'autres gens. Nous sommes séquestrés dans cette salle. Dès que le gong retentit, nous devons nous entretuer. Je suis bouffée par la peur. J'arrive à survivre à la première attaque et je crains la deuxième qui va bientôt arriver. Mon grand-père est là aussi, il tente de me rassurer par tous les moyens.
Puis je décide de m'enfuir, la pression est trop for
te, je sors de la salle, traverse un long couloir, ouvre la porte de sortie et m'enfuis dans la nuit. Jenna (le personnage aveugle de la série : Pretty Little Liars), l'organisatrice de cette tuerie m'a vue et me poursuit.
Je me retourne vers elle et lui enfonce une grande cuillère entre les deux yeux.
Je cours pour arriver à la maison. Je me précipite dans les toilettes en me disant que de là, je pourrais me téléporter facilement (suis-je un peu
lucide là?). Là, je me concentre très fort pour me téléporter dans un bar avec plein de monde (pour passer inaperçu), mais à la place d'un bar, je me retrouve dans un hôpital.
Je vois passer Jenna qui va aux urgences parce qu'elle a reçu une cuillère entre les deux yeux... Je prends un peu peur puis je vois Tobby (aussi personnage de Pretty Little Liars que je trouve vraiment vraiment attirant^^) qui va lui aussi aux
urgences pour avoir reçu une une cuillère entre les deux yeux...

Je suis sur le porche de ma maison et je tiens un bébé (fille) dans mes bras. Tobby est mon copain (wahouuu!).
Il me sert dans ses bras et on s'embrasse. On nage dans le bonheur, le seul point noir, c'est que nos parents respectifs ne veulent pas nous voir ensemble.

vendredi 25 mars 2011

Nina passt mit Super, Ninchen aber...

premier rêve :

C'est Noël, je suis chez mes parents en Bretagne. Cette année, je passe le réveillon seule avec mon grand-père maternel. C'est un peu triste, mais on passe tout de même une très bonne soirée en tête à tête. Le salon est illuminé de guirlandes lumineuses, de lampions et de bougies. Je me sens bien.
Après le repas, je vais me coucher dans mon grenier. Mais je ne trouve pas le sommeil et je me retrouve dans le noir. Je préfère redescendre dans l'atmosphère chaleureuse des bougies tenir compagnie à mon grand-père pour ne pas le laisser seul.
Je m'installe dans le canapé. mes parents reviennent de leur réveillon de très bonne humeur. Mon père tient mon petit chien Arthur dans ses bras et s'approche de moi jusqu'à que le bout de sa truffe touche mon nez. Je ris. Trop mimi !
Puis mon père discute avec mon grand-père, je n'entends que des bribes de conversations :

Mon père dit à mon grand-père maternel avec provocation : (...) avant je fréquentais les bordels régulierement (...)

Plus tard il ajoute encore plus provoquant : (...) Tu te souviens de l'année 1984 ?

Mon grand-père blêmit et baisse la tête humilié. Je ne sais pas pourquoi mon père cherche à humilier mon grand-père maternel.

Deuxième rêve :

Je suis dans la rue à Mx près du Viaduc en compagnie de l'acteur français Richard Bohringer. Il y a trois autres types. l'un des type commence à insulter Richard :

- T'façon, t'es qu'un pôv' type au chômage, un vendeur de journeaux !

Richard baisse la tête. A l'intérieur de moi, ça bouillonne, je ne peux pas le laisser se faire insulter sans rien faire ! Je prends mon courage à deux mains (moi qui suis tellement timide !) et m'avance vers le type. Je le pousse avec force et hurle :

- Toi, t'insultes pas mon pote ! Il vaut bien mieux qu'toi connard !

Je m'impressionne moi-même, car ma voix est forte et pleine d'assurance. Le type est surpris et ne réagit pas sur le moment, il à l'air un peu sonné.





troisième rêve :

Je travaille à la crim', Richard aussi. On bosse à 6 autour d'une table sur l'histoire du meurtre d'une petite fille.
J'observe longuement un jouet à roulettes Kindersurprise ayant appartenu à cette petite fille. Et soudain illumination ! Je répète comme une litanie en allemand :

- Nina passt mit Super, Ninchen aber.... (Nina rime avec super - en allemand il se prononce zoupa ^^ -, mais Ninchen...)

C'est logique la petite fille s'appelle donc Nina !!!!! (ouai vachement logique ! )

Je me réveille, enfin... je fais un faux réveil. Mais comme je me crois vraiment réveillé, je me dis que je dois absolument écrire mon rêve si je ne veut pas l'oublier. Ma chambre est claire et j'ai des morceaux de papier quadrillé déchiré à disposition pour écrire.
Je me retrouve sur un banc à côté de la Tour Eiffel et commence à rédiger mon premier rêve avec mon grand-père. C'est étonnant, j'ai une très belle écriture sur le papier. Mais je n'ai presque pas de place pour écrire car les feuilles sont déchirées et trouées.

lundi 21 mars 2011

Histoires de maisons


Remarque : toutes mes maisons se situent dans mon quartier breton, là où j'ai grandi. Le style de ces maisons est flensburgeois (Flensburg en Allemagne du Nord, j'y est passé le Week-end :) voir photos ci-dessous)
1ère maison :
Je me retrouve dans la même maison en boucle. je ne sais pas ce que j'y fait, mais la maison me hante l'esprit pendant une bonne partie de la nuit. Elle se révèle être la maison d'un membre du forum d'Attrappe-Songe.

2ème maison :
J'y donne des cours particuliers à une petite fille blonde aux cheveux lisses. Pour cela je dois prendre un métro futuriste et high tech. Je m'entends très bien avec la jeune collégienne.
Les cours se passent bien jusqu'au jour où je dis quelque chose de travers et la mère de la gamine m'entend. La mère commence à m'insulter et me demander des comptes. J'aurais voulu que la petite fille me défende et qu'elle dise que je suis une bonne prof, qu'elle aime ma compagnie, mais la fille suit la pensée de la mère : ''je n'apprends rien avec elle, elle est vraiment nulle !'', dit-elle sournoisement. Sur le petit muret qui sépare le salon de la cuisine, je marque IQO avec de la craie. La mère me demande : C'est quoi ça ? Je lui réponds : c'est un lien vers mon blog, peut-être ça vous intéresse. Et là la mère pète un câble : Qu'est ce que tu veux que ça m'fasse ? Et en plus tu veux montrer des mauvaises choses à ma fille ? (etc + insultes la clé)
Je proteste un peu. Mais finalement, je me dis que ça ne sert à rien de protester et de pleurnicher, ça ne ferait qu'envenimer la situation. Je décide de repartir la tête haute, et avant de franchir le seuil, je lance un ''De toute façon, je ne reviendrai pas'' plein d'assurance. Je suis très fière d'en être sorti sans humiliation et d'avoir eu le courage de leur dire ce que je pensais.

3ème maison:
Mon voisin Lolo me donne sa maison. Comme ça. Cadeau. wow!

4ème maison
Un gars du quartier, oncle ou cousin très éloigné est mort et il me lègue sa maison en héritage. Maintenant j'ai deux maisons. La maison est très grande et chaleureuse, j'y invite mes parents pour le dîner. Bon le seul problème, c'est le petit fils de cet homme qui rentre bientôt de voyage et qui va me demander des comptes pour la maison et il va sûrement vouloir me la prendre.

dimanche 20 mars 2011

Observation de ma chambre onirique



Je suis poursuivi avec des réfugiés par un conducteur fou. Pour le semer, nous avons pris un sentier côtier en parallèle de la route. Nous nous retrouvons dans une petite crique avec une petite plage sous les pins. Il fait beau, alors on se baigne.
Réveil de 10 secondes. Je reste dans la même position (sur le ventre), sans bouger. Je ferme les yeux.

Je suis directement en PS, je suis paralysée et je n'ai presque pas d'hallu. Comme d'habitude, je cherche à sortir de mon corps et c'est difficile, je sens juste ma tête onirique qui part vers le haut. Cette fois-ci, je ne demande pas un protecteur (après les essais foireux de ces derniers temps), mais je m'imagine une corde imaginaire. Je monte à cette corde et arrive finalement à m'extirper tranquillement de mon corps.

Je me retrouve tout d'abord dans le noir, il faut le temps que le décore onirique se dessine.
Je suis dans une chambre inconnue rectangulaire (en IRL, je me trouve aussi dans une chambre où je n'ai jamais dormi). K. dors dans le lit dans le coin gauche de la chambre. Je décide alors de fouiller la chambre, elle est sombre et presque vide. Le sol est recouvert de parquet. Il n'y a pas grand chose : juste deux grandes fenêtres et ma commode entre les deux.

Je regarde tout d'abord par le fenêtre. Je vois le petit port de T. en Bretagne avec sa crêperie, sa petite plage et son petit port de pêche. Le ciel est bleu/gris sombre, c'est la nuit. La mer bleue nuit scintille. Il y a des gros nuages dans le ciel et l'un des nuages est vert en forme de coeur.

Je continue ma visite avec : la commode. J'ouvre le premier tiroir et j'y trouve un haut marron avec un col en V plié, je le prend puis le repose à sa place. Sur la commode, il y a un livre rouge (la couverture me rappelle la couverture rouge du livre que je lis en ce moment : La p..... respectueuse de Sartre). Le titre de ce livre s'intitule : Les poissons et la pêche.Je prends une page au hasard et essaie de lire. Dès que je cligne des yeux, le texte change, c'est à en devenir fou ! je referme le livre et même le titre à changé.

Entre temps, j'ai une pensée délirante : Et si K. se réveille, là, maintenant, va-t-il croire qu'il y a un fantôme dans la pièce qui bouge les objet ?

Je reporte mon attention sur mon appareil photo rouge numérique posé à côté du livre et entreprends de regarder les photos qui y sont en mémoire. Je fais défiler 2 photos. Elles représentent une petite crique (celle de mon premier RN, comme si c'était un souvenir) avec une plage et à l'arrière plan, un coucher de soleil, elles ont un air de vacances.. L'eau turquoise est très claire. Sur l'une des photos, il y a K. dans l'eau jusqu'à la poitrine, le sourire aux lèvres et le regard fixé vers l'objectif. Sur la deuxième photo, il y a mes cousins de dos qui se tiennent par la main et regardent le coucher de soleil.

Pour finir, je me dirige vers la dernière fenêtre et je décide de me défenestrer, car j'ai bien envie de survoler la mer. Je saute à travers la fenêtre. J'ai été bien trop téméraire.... car je me retrouve dans le noir complet, puis de nouveau dans ma chambre onirique (5 secondes)
et je me réveille.

vendredi 18 mars 2011

Fragment de rêve

En ce moment, j'ai des problèmes avec ma remémoration onirique... Il ne me reste que des mini-fragments au matin... mais bon j'ai une excuse : j'ai été réveillée par un marteau-piqueur ce matin, ce qui m'a bien énervé et du coup j'ai (presque) tout oublié.

Je suis chez mes grands-parents sur un fauteuil. Mon pote Ludo est assis dans le fauteuil d'à côté. On discute et la seule chose dont je me souviens est ce mini-dialogue:
Moi : -Et alors tu es toujours avec Anne-So ?
Ludo : Non elle m'a quitté
Et là il se met presque à pleurer et moi je m'en veux terriblement d'avoir posé cette question et ne sais pas quoi faire pour lui remonter le morale.
je mets toujours LES PIEDS DANS LE PLAT....

samedi 26 février 2011

Le Aas

Un jeune garçon aux boucles blondes a inventé une toute nouvelle invention révolutionnaire : Le Aas. le Aas est une nouveau procédé pour ceux qui ont des troubles du sommeil, ça leur permet de s'endormir rapidement et sans effet secondaire. Le jeune garçon est entendu dans une salle d'interrogatoire aux miroirs teintés, apparemment certaines personnes du gouvernement aimeraient l'évincer pour s'attribuer la réussite de cette découverte et s'en mettre plein les poches. (en référence au film regardé hier soir : Sans identité)


Je suis chez mes grands-parents dans leur salon. Sur le coin de la table en verre du salon, il y a un cube en bois avec un côté aplati. je le prends dans mes mains et le tourne dans tous les sens. Il est lisse et parfait, je me demande bien à quoi il sert.

Je suis dans les toilettes de l'aéroport avec K. et mes parents. C'est la première fois que K. rencontre mes parents (grand moment !). Ils se rencontrent devant le lavabo pourris des toilettes et essaient de percer le mystère du cube. Il se révèle à la fin que c'est un puzzle en 3D en forme de cube avec comme dessin un ciel bleu aux nuages blancs.


*Le Aas : j'ai fait des recherches et voilà ce que j'ai trouvé :
L'AAS (qui est l'abréviation du terme acide acétylsalicylique) à faible dose est un inhibiteur plaquettaire (aussi désigné inhibiteur de l'agrégation plaquettaire). Les médecins le recommandent pour les personnes qui courent un risque accru de crise cardiaque, mais qui n'ont aucune raison de ne pas utiliser ce médicament.




dimanche 20 février 2011

Glandouille au Glandasse


Je suis avec ma mère dans la Drôme pour les vacances, plus exactement à côté du volcan appelé ''Le Glandasse''. Nous nous baladons dans les viols (ruelles) au charme pittoresque. Tout est verdoyant et le soleil brille. Je prends les fontaines en photo.

Je suis dans ma chambre. J'ai deux matelas dont les têtes se touchent et je me dit que, c'est bon, j'ai deux lits, donc MK peut venir me rendre visite quand il veut.

Il y'a un homme avec une valise sur le chemin sortant du bois. Son visage est figé et sa bouche forme un méchant rictus.

Je suis chez K. dans sa famille. C'est le soir, K. est sorti avec des amis et je suis au lit. Soudain, je vois les phares d'une voiture qui éclairent la pièce, j'entends des pas (des talons hauts) et je me dit que ça doit être K. qui rentre avec ses soeurs.
Je suis trop déçue, car ce n'est pas eux.
J'envoie un message à K. pour lui dire que je croyait que c'était eux qui rentraient en taxi, et tout d'un coup je me suis demandé si je n'avais pas rêvé entre temps. K me réponds que ce n'était pas eux qui étaient rentrés mais qu'ils venaient de commander un taxi.
20 minutes plus tard, ils arrivent, la scène se reproduit : les phares de la voiture dans la chambre et le bruit des talons hauts.

jeudi 17 février 2011

Arschloch !

Je suis invitée aux anniversaires du père et du grand-père de K., mon copain. (Ce qui est vrai, puisque j'y suis invitée ce week-end, mais espérons que ce rêve n'était pas une prémonition ^^).

La soirée:
Je suis à Northeim en Allemagne dans une sorte de salle de classe avec un projecteur qui retrace la vie du père de K., comme des élèves, nous sommes assis sagement sur les chaises en plastique. Je commence à m'intéresser à une petite fille toute mimi et je joue avec elle. Elle rit aux éclat. Mais sa mère intervient brusquement, la met dans la poussette et me dit avant de partir : ''Je ne veux plus que tu revois ma fille!''. Je n'ai pas le temps de dire grand chose, mais je garde en tête ma dernière image de la petite : un grand sourire qui illumine son visage de bébé. Cette image devient fixe, comme une photo en noir et blanc un peu racornie par le temps (un effet que l'on retrouve dans la série Dresden).

Fin de la soirée:
On m'a attribué une chambre avec deux hommes dans une auberge de jeunesse. le premier homme est vraiment sympa. Et quand le deuxième apparait, mon corps se glace d'effroi, impression de déjà-vu... J'ai déjà passé des nuits en auberge de jeunesse avec ce type et je sais qu'il est complètement barje et violent. Il est châtain, anguleux, il a une petite barbichette, des lunettes rondes et des bobos sur le visage. Déjà, il commence à sauter sur mon lit car il veut absolument une place en hauteur ( il s'agit de lits superposés). J'ai peur de lui et l'autre homme (le sympa) commence à prendre ma défense. Le deux hommes commencent à se taper dessus, j'en profite pour m'échapper de la chambre.

Dans la nuit :
Je me retrouve dans une pièce sombre. Il y a juste une table éclairée avec des gens en costar qui ont l'air de mafiosos. Le grand-père de K en fait parti. Je suis très en colère qu'on m'ait attribué une chambre avec des hommes. Quelques secondes avant minuit je hurle au grand-père de K. : ARSCHLOCH ! (Trou du cul !). Tout le monde me regarde avec surprise. Puis le gong de minuit retentit et tout le monde chante : Zum Geburtstag viel Glück ! (Joyeux anniversaire).
La honte m'envahit totalement.

La fête d'anniversaire s'est très bien déroulée en fin de compte ^^ Mais j'ai eu l'impression de voir l'enfant de mon rêve et le mot ''arschloch'' (trou du cul) est tout de même sorti de la bouche d'une autre petite fille allemande qui avait appris le mot en français et qui me l'a murmuré à l'oreille.


mardi 15 février 2011

En retard (comme toujours)

Je suis en visite chez mes grands-parents en Vendée (tiens donc je rêve souvent de cet endroit ces derniers temps). Demain matin, j'ai école, mais je me dis qu'il y a des tas de bus de toute façon qui y vont.
Le lendemain matin
Je me rends soudain compte que mon lieu de travail/mon école est beaucoup trop loin pour pouvoir y aller en bus. Ben oui, suis-je bête, puisqu'elle est à Kiel dans le Nord de l'Allemagne. Bref, je me dis qu'il est déjà trop tard de toute façon et que je n'arriverai jamais à temps. De la Vendée à mon école y'a bien 16 h de voiture.
Je suis complètement décomposée, mais d'un autre côté, je me dis que c'est pas plus mal, je vais avoir une journée de repos comme ça. Je me sens néanmoins très coupable.

vendredi 11 février 2011

Deuxième essai de rêve lucide DILD (Dreamed Induced Lucid Dream), réussi :)


Je suis chez mes grands-parents en Vendée et occupe la caravane dans le parc de la propriété. Mon grand-père organise une méga fiesta high-tech. C'est le soir, il y a beaucoup de gens, je ne sais pas pourquoi, mais beaucoup de gens se disputent et se tapent dessus. Le long de l'allée, il y a 3 énormes télés écran plat en marche... quelle ambiance ! Je voudrais me changer dans la caravane, mais mes vêtements ont disparu. Alors je cherche ailleurs. Puis je ne retrouve plus la caravane. C'est très frustrant.
Puis il se met à pleuvoir. Le ciel bleu nuit devient gris. Je me dit que les Télés vont cramer sous la pluie, mais non elles fonctionnent toujours. Il pleut tellement que ça se transforme en innondation. Il faut absolument qu'on sorte d
u parc sinon on va finir tous noyés, car l'innondation est devenu un fleuve en furie. Pour cela, il n'y a qu'un seul moyen : le trou dans la haie au fond du jardin.
Je fais partie des très rares personnes qui ont réussies à s'enfuir du parc par le trou de jardin.
Maintenant je cours dans les rues sombres (c'est la nuit) de Venise et m'arrête devant un immeuble. J'y entre et monte quelques étages et je m'arrête devant un des appartements. Il est vieux, tout en bois et complètement décrépit
. Il semble inhabité.

Et là... Je vois la fenêtre qui renvoie un faible reflet. Et là ça fait tilt : je suis dans un rêve. Je m'approche du reflet pour vérifier si je suis bel et bien dans un rêve. Le reflet me renvoie l'image d'un jeune garçon très joufflu aux grands yeux et aux cheveux châtains clairs bouclés. Mon rêve me dit que c'est normal. Mais comme je ve
ux toujours me persuader que je suis dans un rêve, je décide de plonger à travers la fenêtre. Ca marche, je fais un vol plané et me retrouve en train de voler au dessus du fleuve, c'est vraiment magique =) Comme je n'ai pas vraiment de technique pour voler, je fais les gestes de la grenouille^^ et de la sirène, comme si je nageais dans l'eau.
C'est le jour désormais, je suis toujours lucide. Je vole au dessus de la ville et m'approche de montagnes vertes, d'un vert magnifique. J'ai l'impression d'être libre ! Derrière les montagne, il y a la mer, exactement comme je me l'était imaginée. Un paysage breton, avec une petite crique et des petits bateaux de pêche.
je me pose sur la cale, là où les pêcheurs déversent leurs poissons. Devant moi, il y a un jeune garçon qui marche vite et que j'ai peine à rattraper, je décide d'entamer la conversation avec lui. Je lui demande la seule question qui me vient à l'esprit : Et tu fais quoi dans la vie ?
Je ne m'attents pas à ce qu'il me réponde, car c'est trop bizarre d'être lucide et de parler à quelqu'un d'autre du rêve qui n'est pas soit-même. mais il répond simplement et à mon grand étonnement : - Je travaille comme ''Bérénice Tendié'' ici, avec les pêcheurs.
Moi -Oh et c'est comment ?
Lui - Je travaille tout le temps, je n' ai pas de temps libre et je ne gagne presque rien...
Pour lui remonter le moral, je lui dit : Mais tu sais ce n'est pas grave, ce n'est qu'un rêve !
Il ne me répond pas, déjà, il embarque sur un bateau. J'essaie de le suivre en volant aux côtés du bateau. L'océan, c'est vraiment magnifique...Puis je stagne, je n'arrive plus à avancer.

Je me réveil. Ou plutôt non, je fais un faux réveil. Et je me retrouve dans mon lit chez mes parents. Je vais à la vitre et tente d'y faire traverser mes doigts. Ca ne marche pas, mes doigts cognent contre la vitre, alors je me dis, je suis bien dans la réalité (Trompée par un test de réalité !). J'ai de nouveau perdu ma lucidité. Je descends dans la cuisine, là il y a ma mère, mon frère et et un de ses potes. Mon frère est très grand et il a une coupe à la punk vraiment trop bizarre.

Je me réveille, cette fois dans la réalité^^

dimanche 6 février 2011

Miroir déformant

Je suis dans mon village Breton. C'est la nuit. Nous sommes à table avec ma famille (c'est très rustique). Mon petit frère m'a invité à une soirée qu'il organise à Paris. Je l'annonce toute fière à mon père : Y. m'a invité à une super fête à Paris mardi soir. Mon frère me regarde d'un air de reproche, j'aurais dû me taire. Mon père répond : Pourquoi tu veux aller là-bas ? Tu ne pourras pas rivaliser avec les filles qui y sont, elles sont beaucoup trop canon et ont toutes des énormes poitrines ! Tu ne devrais pas y aller ! Ce à quoi je rétorque : Pfff ça m'est égal, je veux juste m'amuser.

Ca y'est je suis arrivée à Paris et je suis à la fête. Il fait encore nuit. la soirée se passe en plein air sur les toits de Paris, c'est magnifique, la nuit est d'un bleu magnifique, les gens ont fait des feux de camps. Ma soeur est là aussi, je lui demande si elle a des clopes. Elle me dit que oui, et de chercher dans son sac à main blanc à fleurs roses. C'est un vrai bordel là-dedans : maquillage, mouchoirs, porte-clefs, argent... Il y a aussi plusieurs paquets de cigarettes. Dans un des paquets, les cigarettes n'ont pas de filtre, dans d'autre elles sont tordues et cassées. Bref je ne trouve pas mon bonheur là dedans.

Je m'enfuis de la fête et ouvre une porte qui donne sur une gigantesque allée, tout est clair et brille de mille feux, on se croirait dans un palais d'or et d'argent. Tout est calme, il n'y a que moi, infiniment petite dans cet endroit immensément grand. Tout d'un coup je deviens lucide et me dit : Je suis dans un rêve. Cool, je vais pouvoir observer mon rêve et peut-être même le diriger. Tout mon corps est parcouru d'un étrange frisson. De l'autre côté de l'allée, j'aperçois une vitre miroir, il faut que j'aille voir à quoi je ressemble. Je commence à courir, plus je me rapproche du miroir, plus mon reflet m’apparaît nettement. Tout d'abord mon reflet me renvoie l'image d'un rabbi (tout droit sorti du film : Lucky Number Slevin), mais peut à peu le reflet change. Maintenant le miroir me renvoie le reflet d'un beau jeune homme aux boucles brunes et au visage lisse, son expression est figée. Et puis ses yeux commencent à rouler dans leurs orbites et à loucher affreusement. Ses yeux sortent presque de leurs orbites. Je veux changer d'image, mais je n'y arrive pas. On dit que les miroirs sont aussi des passages vers d'autres mondes oniriques, Alors je décide de traverser le miroir, car ce monde là ne me plait plus.
La traversée s'effectue très vite et sans douleur.
Je me retrouve dans le noir.
Je dicte à mon rêve de construire une gigantesque bibliothèque et je l'imagine un instant toute dorée avec des millions de livres empoussiérés.
Mais ça ne marche pas.
Je reste dans le noir.
Je me réveille.

Je mange autour d'une table avec la famille de K. à côté d'une grande fenêtre claire. J'ai du mal à suivre leurs conversations, donc je reste un peu en retrait en bout de table plongée dans mes pensées. Soudain, les parents de K. me donnent 20 euros, ils avaient une dette envers moi. Puis je pense qu'ils peuvent garder leur argent puisque moi j'ai une dette de 200 euro envers eux et je ne sais pas du tout comment je vais la rembourser.

Je reviens dans mon appart et mon coloc a mangé presque toute ma tarte au thon et aux aubergines. Je suis en colère.

Je suis devant 4 écrans d'ordinateur et je peux déplacer la souris comme je veux sur les 4 écrans.

dimanche 30 janvier 2011

Lidl Tanz


Je suis avec A. Il ne va pas très bien car sa copine vient de le quitter. Alors ce soir on fait une fête avec ses amis, des gens que je ne connais pas. On rigole beaucoup. On est devant le supermarché discount Lidl., il fait nuit et les enseignes sont illuminée
A. retrouve même le sourire. Et la, on s'embrasse et on s'enlace. Les jambes enlacées et lèvres contre lèvres, nous marchons (ou titubons) jusqu'aux caddies pour en prendre un. Je me dégage de l'étreinte et je suis de nouveau pleine de remord parce que je pense que K. n'apprécierai pas s'il savait.

Je suis dans un avion avec ma famille et K.

vendredi 26 novembre 2010

(Més)Alliance avec la famille Sarkosy


Je suis chez K dans sa chambre. Nous sommes 5 dans le lit de K. De droite à gauche: Sarkosy,Carla, ma mère, mon père et moi au bout. Je suis plus petite que les autres. Nous sommes serrés en rangs d'oignons dans le lit sous la couette aux couleurs chaudes et nous regardont la télé. Mes parents semblent très proches de la famille Sarkosy et échangent des blagues que je ne comprends pas.

mardi 9 novembre 2010

Je suis psychopathe et inculte

Je suis chez mes parents, aujourd'hui il y a un repas familial avec les voisins. K. est là aussi, mais il prend une douche. Il y a mes parents dehors et les parents du petit Gingi (un petit que j'ai gardé il y a deux ans en Allemagne), sa mère est brune et costaude, son père est café au lait avec une barbichette au menton. Ils sont assis à la table de jardin sous le soleil. Moi, je suis dans le salon, assis à table avec Gingi. Il doit avoir 8 ans environs, il a des grands yeux noirs, la peau mate et les cheveux noirs qui tombent grosses boucles. Nous conversons tous les deux, je ne sais plus de quoi. Tout ce que je sais, c'est qu'il s'avère super intelligent et moi super débile. Il a toujours le dernier mot, il a les bon arguments et moi je me ramasse, idiote et inculte que je suis. Ca me met en rage, une telle rage que je me mets à l'insulter. Il retourne voir ses parents, mais avant il me dit : J'vais l'dire à ma maman !
Honteuse et en colère, je refuse d'aller dehors avec les autres, ma mère essaye de me persuader, mais c'est pas la peine. Je préfère fuir la maison et prendre le bus.

Dans le bus je me retrouve à Kiel. Je suis assise à côté de la porte automatique du bus. Un grand et beau black, le crâne rasé, s'assoit à côté de moi. J'ai une cigarette au filtre blanc (ouai c'est plus classe^^) entre les doigts. Il me demande : T' aurais pas une cigarette? Je lui répond : Oh, c'est ma dernière, en lui montrant ma cigarette, mais on peut partager si tu veux ?
Il hoche la tête.
On descend tous les deux devant la gare. On entre dans un immeuble et on monte au deuxième étage. C'est sale et lugubre dans les escaliers et le couloir. Une vieille dame sort de son appartement en chemise de nuit et déambulateur. Elle m'agresse violemment, mon ami ne sait pas quoi faire pour l'empêcher de me faire du mal. Il faut que je réagisse, mais elle semble plus forte que moi et surtout elle me fait très peur. Par terre, je trouve alors un gros cable électrique qui bouge et fait des étincelles. Je prends le câble, je me précipite sur la vieille dames et je lui enfonce le câble sous sa robe de chambre dans les parties génitales. Elle hurle, tombe et se débat puis ne dit plus rien. je l'ai anéantie et je me sens super puissante. Mais aussitôt, le voisin, un jeune homme, sort de son appartement et commence à m'agresser lui-aussi. On se croirait en plein jeux vidéos. je me sers aussi du câble pour me défendre, mais chez lui, ça fait moins d'effets, on dirait qu'il ne ressent pas la douleur. je m'enfuis alors avec mon pote.
Soudain le tonnerre éclate, les éclairs menaçants zèbrent le ciel de toute part. je me retrouve en plein air sur un chemin apeurée et je me jette par terre pour essayer de ne pas provoquer la foudre. Ma copine me dit : Viens, ne restons pas là, allons nous réfugier sous les arbres! Et je lui réponds : J'ai peur de l'orage ! Non pas sous les arbres, ça attire la foudre ! Je rampe par terre, sale, trempée et apeurée.