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dimanche 5 juin 2011

Titre : Depardieu, cette monstruosité



Vert = PS
Marron = OBE
Bleu = RL
Heure : 5h
Technique : Autosuggestion et WBTB
Objectif : Faire apparaître quelque chose qui me fait peur (quête)


Je suis en PS. J'augmente mes acouphènes qui sont très aigues (ça permet de faciliter la sortie de corps et de contrôler la durée de la PS). J'essaie de me couler dans le lit mais ça ne marche pas. Je peux voir mes bras oniriques (c'est la première fois!) sous forme d'ombres noires entourées de lumière.
Alors je tourne sur moi même et me retrouve à quatre pattes sur le plancher. Je me retrouve un instant dans le noir onirique et aperçois des sortes d'étincelles rouges.


Puis le décor de ma chambre se forme, conforme à la réalité. Je vois un tube de vernis à ongles bleu flashi (c'est le nom de ce vernis), et là j'a une idée complètement tordue : Je me déshabille complètement et déverse la couleur bleue sur mon corps. Le bleu est très intense et la sensation sur mon corps est froide et agréable Smiley

Mais passons aux choses sérieuses : la quête.
Dos au miroir, je demande tout fort et plusieurs fois à mon rêve : MONTRE-MOI MA PLUS GRANDE PEUR. (j'ai dû penser au RL de PAT32 avec le miroir)
Je me retourne face au miroir. Tout d'abord je vois dans le reflet un jeune homme blond grand et fin avec des lunettes. Je repose ma question. Il se transforme ensuite en une petite femme africaine avec des cornrows et un chemisier couleur Isabelle. Je rere pose ma question : Elle se transforme ensuite en Gérard Depardieu Shocked
Je suis vraiment déçue Grin je pensais à quelque chose de plus horrifiant (quoique sur cette photo, il est assez terrifiant Shockedhttp://www.voici.fr/potins-people/les-potins-du-jour/gerard-depardieu-fracasse-une-voiture-en-plein-paris-333817). Gérard est très malheureux, il n'arrête pas de se plaindre en plus !

Je décide alors de traverser le miroir. Il est translucide comme de l'eau. Je me retrouve de l'autre côté du miroir et Gérard se retrouve dans ma chambre, on a fait un échange. Je suis dans une pièce vide et très sombre avec une petite fenêtre et du parquet.

mardi 10 mai 2011

Le jardin merveilleux

Noir = RN
Vert = PS
Bleu = RL (DILD)
OBE = Marron
Heure : 3h30
Position : sur le côté avec K. dans mes bras

Je suis dans un vieux train avec K. K. vient de s'acheter une boite de conserve d'épinards et il m'en parle tout le temps avec enthousiasme. Moi, je me sens très mal à l'aise et observée. On s'est fait agressé il y a quelques jours et j'ai l'impression qu'on nous poursuit (Faux souvenir...), bref grosse paranoïa.
Dans le wagon, un jeune asiatique me regarde intensément, ça ne fait qu'accroître mon malaise. Soudain il se lève et brandit une petite massue verte en plastique, avec laquelle il me bloque la main contre la vitre du train. je commence à m'énerver sérieux, K. continue de parler d'épinards comme si de rien n'était.
Je hurle à l'asiatique :
Qu'est ce que tu m'veux à la fin Huh???
Et il me dit d'une voix pleine de sagesse (comme Morpheus quand il annonce la terrible vérité sur la matrice à Neo):

Tu n'es pas dans la réalité mais dans un rêve.

Je n'en crois pas mes oreilles et pourtant je vérifie directement en faisant le TR du nez bouché : Positif.... Je suis bien dans un rêve....

C'est bien la première fois qu'un PR me l'annonce directement !

Je tombe en PS. J'essaie de me concentrer sur les hallu auditives, mais finallement ça m'ennuie, alors je roule sur le côté pour sortir de mon corps.

Cette fois : très bonne lucidité. Je suis dans mon ancienne chambre IRL chez mes parents (c'est un grand grenier en lambris, très froid l'hiver, que je croyais hanté car c'est dans cette chambre que j'ai fait le plus de PS terrifiantes). Je me dirige directement vers la fenêtre. De loin, j'y vois ma petite crique bretonne, toujours la même. Mais plus je m'approche plus j'aperçois un magnifique jardin. En regardant par la fenêtre, je la traverse, et puis je plonge dans ce jardin merveilleux. Je virevolte dans le jardin, il y a des fleurs de toutes les couleurs, l'herbe est d'un vert éblouissant et au milieu : il y a un grand arbre majestueux aux épines argentées qui virevoltent lentement, comme si le temps s'était arrêté. Au loin, j'entends les oiseaux chanter. C'est un décor idyllique.



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Je décide ensuite de m'envoler toujours plus haut et je m'imagine des petits réacteurs sous mes chaussures. Ca marche, sauf que se sont des triangles qui me propulsent assez lentement vers le haut.
Je tombe vite dans le noir onirique et me réveille.

2) Je suis en Vendée chez les grands parents. je suis séquestrée dans la chambre par des potes de mon ancien coloc Basti. Il arrachent mes vêtements et je me retrouve en petite culotte sur le lit. je veux m'échapper, mais ils me retiennent avec force. Il me font un énorme tatouage horrible sur le côté droit du bas du ventre. Le tatouage représente un tableau à deux colonnes rouge avec des chose marquées dedans. En bas du tableau, il y a une représentation disney de Mickey et ses amis.

mercredi 6 avril 2011

Naturisme sous la neige

Il est 6 heures du matin, je m'endors tout doucement en me racontant une histoire et cette histoire devient peu à peu rêve.
Je suis en train du faire du patin à roulettes dehors sur les rues pavées, il a pleins d'obstacles comme un pont, une grande montée et je dois même faire du l'escalade avec mes patins(niveau de lucidité très bas). J'arrive à un parc-musée avec K., sa mère et sa petite soeur. Sa soeur s'amuse à m'énerver, avec une pompe elle m'éclabousse d'eau et je suis toute trempée. Je sens les gouttes qui coulent de mon nez. Dégoutée, je vais mon chemin et lasse K. et sa famille en plan pour faire mon boudin. Mais au bout d'un moment je veux les retrouver et vais au cinéma. Plusieurs PR me disent que des gens me cherchent : c'est la famille de K. qui se trouve dans les premiers rangs. Je m'assois près d'eux. Je m'aperçois que je n'ai plus de pantalon (Huh?) Mais K. pose sa tête sur mes genoux et s'endort.

2 Je dors sur le dos et tombe directement en PS. De nouveau une PS toute douce Smiley (ça s'améliore!)
Je cherche à sortir de mon corps comme d'habitude, j'appelle un protecteur puis un PR puis je roule sur le côté. je dois répéter l'opération plusieurs fois pour réussir à tenir sur mes jambes, c'est bizarre j'ai du mal à me stabiliser au début.
Je suis de nouveau dans une chambre inconnue rectangulaire presque vide. Je m'imagine un miroir, ce dernier apparaît dans le coin de la pièce. Je me regarde dedans et le reflet me ressemble même s'il est un peu déformé. Quand je rapproche mon visage, il devient tout bossu et mes sourcils disparaissent. Je ne sais pas pourquoi, je commence à me déshabiller entièrement pour observer mon corps. J'ai du al à retirer mon haut, il semble que j'ai enfilé au moins 10 tops l'un sur l'autres. Voilà je suis nue. Je m'observe. En plus je suis hermaphrodite, ce qui fait que je peux changer de sexe à volonté(bon je ne vous fait pas un dessin).
Je vais à la fenêtre et regarde vers le bas : il y a une rue pavée, les bâtiments sont de style médiéval et il neige.


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Et moi, trop con: et si j'allais courir toute nue dans la rue, juste pour le fun ? Je me téléporte vite fait en bas (je ne sais plus comment). Et je cours toute nue sous la neige. Personne ne me remarque. Jusqu'à un coin de rue ou je remarque des sans-abris. Je m'approche d'un jeune sans-abri recouvert de manteaux et de couvertures (il fait très froid je précise), et il a les yeux d'un bleu ! waaaw Kiss Je suis subjuguée. Lui aussi. On s'approche l'un vers l'autre.
et là, et là...

Le TELEPHONE SONNE ! grrrr

mercredi 23 mars 2011

Solitude

1 Je suis chez K, dans son salon. Le sol est recouvert de couvertures et de coussins blancs. Il y a deux grosses télés à même le sol. Je prépare le dîner pour quand K. reviendra de ses cours. Je suis accompagnée de deux bestioles de dessins-animés qui se lancent des vannes toutes les 5 secondes.
Après quelques minutes, les coloc de K. arrivent dans la pièce et s'assoient. Comme à leur habitude (et en IRL aussi), ils m'ignorent complètement et parlent entre eux en allemand dans des termes techniques que je ne comprends pas. Je me recroqueville toute seule dans un coin de la pièce jusqu'à que K. arrive.
Dès qu'il arrive, je me jette dans ses bras soulagée et je lui raconte ma journée avec émotions.

2 je me balade dans la rue en tee-shirt et en culotte grise avec un démon et un coeur sur le derrière :/ Mais ça n'a pas l'air de me perturber, car dans le rêve, j'ai une plastique parfaite et je veux que les gens me remarquent.

mercredi 2 mars 2011

La procession silencieuse devant le cimetière

1 C'est le matin et je dois partir pour le boulot. Je marche jusqu'à l'abri-bus. Il fait encore nuit noire. Jusqu'à l'angle de la rue, les lampadaires éclairent la rue. Mais ensuite, la route qui mène jusqu'à l'arrêt de bus n'est pas éclairée, elle est noire et impalpable. J'hésite à continuer car j'ai peur du noir.
De l'autre côté de la rue, devant le cimetière, il y a une marche silencieuse. Je ne vois que la silhouette sombre de ces gens, ils sont au pas de marche tels des soldats et j'ai pensé : ''Hum c'est sûrement le carnaval..."
Bref ça ne me rassure pas davantage, je préfère rebrousser chemin pour rentrer chez moi.


2 Je suis dans un cours de gym en justaucorps avec d'autres filles. Aujourd'hui c'est le jour de la compétition, je dois remplacer une fille qui n'est pas là. En fait, il s'agit d'une course à quatre pattes où il faut aller le plus vite possible, aller et retour. Pour cela il y a des techniques bien précises pour aller plus vite : placer sa main le plus loin devant par exemple.

3 Je suis un homme et je suis cameraman. Je suis invité dans une grande villa. Un couple m'a demandé de venir pour filmer leurs ébats la nuit.
Je suis assis sur un fauteuil devant une grande baie vitré
e, je me croirais dans un château aux étoffes anciennes. Quand je vois la jolie jeune femme, je me dis : je préférerais faire l'amour avec elle plutôt que de les filmer, elle et son mari....
Puis j'aperçois une petite fille de 4/5 ans en salopette assise sur le sol, d'origine africaine avec les cheveux très longs et frisés et des yeux très noirs. Elle joue du saxophone extraordinairement bien. L'instrument semble immense par rapport à ses petites mains. Je suis très impressionné. Je lui demande si je peux la filmer pendant qu'elle joue. Elle me regarde alors, l'air boudeur et fronce ses sourcils noirs, sont regard noir me transperce de part en part.

4 Je suis dans la galerie marchande du Sophienhof, je me tiens de nouveau devant le salon de coiffure où ils proposent des tubes de couleurs (pour cheveux) allant du bleu anthracite au rose bonbon.
Voilà, je me suis teint les cheveux en bleu turquoise, un rêve de réalisé et ça me va plutôt bien :) Malheureusement, le bleu déteint très vite et la couleur vire au blanc, je crois que je me suis fait arnaquer....

5 Je suis en train de faire mes courses dans un supermarché et je m'aperçois tout à coup, lorsque je passe devant le rayon frais, que je suis nue et en culotte à petites fleurs! Trop la honte !

mercredi 16 février 2011

Concours de maillots mouillés

Je suis à Brest et je joue dans les égouts avec mon amie L. Je porte un deux pièces sublime à fleurs qui m'avantage vraiment beaucoup. Dans ce rêve, j'ai vraiment un corps de rêve et une poitrine hors norme^^ Je m'éclate avec L., nous sommes très proches, la manière dont nous nous touchons indique que nous sommes sûrement plus que des amies.

Après avoir bien ''batifolé'' dans les égouts, je décide de rentrer chez moi, dans ma chambre de cité U. Bon évidemment, je ne retrouve pas mes vêtements et doit me rendre à la cité U en bikini avec une serviette jaune poussin à la taille. En plus, je suis encore toute trempée.
J'arrive à la cité U. Elle est énorme, je ne sais même plus ou est la porte d'entrée et dois faire plusieurs fois le tour du bâtiment immense, tout blanc et vitré à l'architecture moderne.
Enfin, je crois reconnaitre l'entrée. Je monte quelques étages et me retrouve devant ma chambre. La porte est ouverte. Je remonte les stores, ce qui éclaire toute la chambre blanche immaculée. C'est bizarre, dans me souvenirs, j'avais l'impression que ma chambre de 9 m² était beaucoup moins grande, beaucoup moins claire et beaucoup moins blanche. C'est alors que je découvre des bijoux disséminés un peu partout dans la pièce qui ne m'appartiennent pas. Et là je panique car je découvre que je me suis trompée de chambre. D'ailleurs la propriétaire de la chambre se tient juste devant la porte en colère, c'est une quadragénaire mince, fardée, maquillée et bruschingué.
Elle me demande ce que je fais dans sa chambre, je prends peur et balbutie des paroles incompréhensibles.

samedi 25 décembre 2010

Lemon Tree

Je suis devant une classe de sixième en Allemagne. C'est le début de la journée. Le truc c'est que je n'ai rien préparé du tout avant et je ne sais pas quoi leur dire. Ma collègue Madame G, professeur de français m'accompagne aussi, mais elle ne m'est pas beaucoup d'utilité, elle fait acte de figuration. Les enfants commencent à chahuter, ils sont plus de 40 dans la classe. j'ai besoin d'air. Soudain illumination, je trouve un CD de musique à exploiter. Je met le cd dans le lecteur. Nous écoutons trois chansons l'une après l'autre. Pas de chance, j'enseigne le français et les chansons sont en anglais. Je ne reconnais pas la 1ère et la 3ème chanson, par contre la deuxième est connue : Lemon Tree de Fools Garden


Je suis contente d'en connaître au moins une dans le lot. Je pose une question quelquonque sur la chanson à une blondinette nommée Svea. Elle répond juste. Je suis de nouveau à court de mots, heureusement, ça sonne et c'est la pause. Ouf ! Svea arrive vers moi, elle est au téléphone et elle pleure, des larmes perlent sur ses joues et elle me demande si elle peut partir plus tôt de l'école.

C'est la pause, j'en profite pour aller à la salle de sport et je m'assois sur le sol à l'entrée pour regarder le volley. Et là, je m'aperçois que je n'ai pas de pantalon, j'ai mon T-shirt Bart Simpson et une culotte rouge. J'espère que personne ne le remarquera, en plus, je ne suis pas rasée des jambes. Il y a un garçon qui s'assoit à côté de moi, un grand blond pas mal du tout. Il me regarde avec insistance , je cache mes jambes, j'ai trop honte. Et là il s'approche vers moi pour m'embrasser vers la joue et son baiser dérape sur le coin de ma bouche. Le moment est électrique, j'ai très envie de continuer, mais je jette un coup d'oeil derrière lui, nous avons deux spectateurs, deux jeunes garçons. Et là je me rend compte de ma bêtise, et s'ils connaissaient K. ? S'ils racontaient à K. que j'embrassais un autre garçon? Les remords reviennent me hanter. Mais au moins, ce n'était pas un vrai baiser, il ne s'est vraiment rien passé. Je repars vite fait, sans un regard à l'autre garçon, dans les vestiaires du gymnase. je cherche en vain mon pantalon sous la pile de jeans des autres filles. Et je ne le trouve pas. Il est nulle-part. Mais la pause est courte et je dois bientôt retourner en classe, mais je ne peux pas faire cours en culotte! Alors je m'dis tant-pis, je prends le pantalon d'une autre, j'ai un peu mauvaise conscience, mais je me dis : personne ne le saura que c'est moi, tous les jeans se ressemblent. Celui que j'ai choisi est un peu large et il est troué à quelques endroits.
Je vais tout de même voir dans un autre vestiaire où je ne trouve rien. Je me rends dans un autre gymnase et la je vois du Football américain. La salle et les joueurs sont bien mieux équipés que dans le première salle . Et je me dit : Ca c'est bien américain !
Je retourne dans les premiers vestiaires qui ont changés de formes entre temps, c'est devenu un vrai labyrinthe.
Ca sonne, la pause est finie.

Et voilà, je me retrouve de nouveau dans une classe, la 9A, avec le pantalon d'une autre. Et je ne sais toujours pas quoi enseigner. trou noir total. Madame G. me fourre alors un livre sur les légendes de la Bretagne entre les mains et me demande d'en faire la lecture.

samedi 25 septembre 2010

Les chaussons roses

Scène 1
Coucher de soleil sur la plage. Je mange au restaurant sur la terrasse d'un hôtel en face de la plage. J'y retrouve de vielles connaissances, que je n'ai pas forcément appréciées auparavant. On discute.
Quelque chose clignote dans mon sac à moins. C'est mon portable qui m'indique qu'il est l'heure de partir, si je veux pouvoir choper le bus pour rentrer chez moi. Il fait déjà nuit dehors. Une course effrénée commence alors sur la plage. La plage est bondée de jeunes gens venus faire la fête sûrement, dans la pénombre, je ne vois que leur silhouettes. Ce décor donne un peu à la plage une dimension fantastique et énigmatique. Je continue de courir, un peu embêtée tout de même, car je m'aperçois que j'ai aux pieds des gros chaussons roses en forme de lapin, ce qui m'empêche d'aller vite, surtout qu'ils me font trébucher une fois sur deux.
Je suis de nouveaux en ville, à Konstanz cette fois-ci. Je coure toujours et maintenant j'ai des tongs aux pieds, ce qui me permet de courir plus vite. Et puis c'est le black out total. Le trou noir. Je ne sais plus où je suis ni où j'habite ni quel bus prendre pour rentrer. Alors je continue de courir et d'errer dans les rues sans vraiment savoir où aller.

Scène 2
C'est l'après-midi. Il fait très beau. Je pars en vélo pour la plage habillée d'une robe en coton légère et courte. La plage est bondée, beaucoup de gens se baignent. Je m'installe dans un coin de la plage en me disant que je vais bosser mon mémoire. Mais la mer est trop tentante, j'ai trop trop envie de me baigner. Je veux enlever ma robe, mais je m'aperçois que j'ai oublié mon bikini. Je ne porte pas non-plus de culotte. Gênée je remets ma robe en place. Je n'ai même pas amené de serviette pour pouvoir m'étendre sur la plage. Alors je me pose sur un rocher pour pouvoir étudier. Celui-ci est mouillé.

Scène 3
Je suis toujours à la plage, mais dans cette version là, j'ai mes affaires avec moi. Je vais pour me déshabiller dans un vestiaire. Mais je m'aperçois vite que je suis dans les vestiaires hommes, et qu'à chaque fois qu'un homme ouvre la porte et me vois, il s'enfuit en courant.


jeudi 23 septembre 2010

C'est (encore) la rentrée!

Je me réveille aux côtés de K. Il est 14h. Quoi déjà 14h? Merde merde merde je suis super en retard pour la rentrée dans mon nouveau Gymnasium (collège-lycée en Allemagne). Je regarde plusieurs fois le réveil pour me dire qu'il n'est pas 14h. Un moment je souffle soulagée car je vois 11h sur le réveil. Mais ma vision était floutée, il est bien 14h. De quoi je vais avoir l'air? C'est pas vraiment professionnel tout ça...
Je m'habille en vitesse.
Je suis à l'école.
Personne ne m'accueille, je ne connais personne. La secrétaire m'ignore totalement quand je lui demande des renseignements pour savoir qui sont les profs de français et quelles sont mes futures classes. Je lui demande alors où sont les toilettes: Wo sind die Toiletten?
Elle m'indique du doigt une tour derrière moi qui donne sur la cour de l'école. J'ouvre la porte et monte les escaliers en colimaçon. J'arrive au sommet de la tour qui surplombe toute la cour et les élèves qui sont en récréation. Là, il y a bien des toilettes à la turque, du moins ça y ressemble. Je m'accroupis le pantalon baissé, mais je n'arrive pas à faire pipi du fait que je suis en plein air, en plein milieu de la cour et que tout le monde peu me voir du haut de ma tour. J'ai vraiment honte. Alors j'observe la récréation et je me dis qu'ils ont dû me mettre la exprès pour faire la surveillante de récréations.
quand je redescends de la tour, je m'étale de tout mon long par terre et un professeur me marche dessus.
(en fait à mon réveil, je m'aperçois que c'est mon chien qui me marche sur le ventre)

vendredi 10 septembre 2010

Le "Tube de l'été" (par Brad Pitt)

Scène 1
Je suis assise sur un banc en pleine cambrousse, il fait nuit. Je balance les jambes d'avant en arrière et je pense à mon mémoire de master sur le livre "Die Klavierspielerin" (La Pianiste) de l'écrivain autrichienne Elfriede Jelinek et à ma directrice de thèse injoignable qui ne m'a toujours pas donné de date de soutenance, alors que je dois la passer ce mois ci. (Et ça ce n'est pas qu'en rêve, c'est aussi la réalité).
Je repars à pieds et traverse Plouezo'ch. Là, il y a un magasin illuminé et en deventure, il y a deux posters:
L'un est le "tube de l'été" chanté par Brad Pitt
et l'autre image représente la manière de faire pour rouler un pet.

Un clochard qui sent un mélange de transpiration et d'alcool me bouscule. je m'en vais et j'allonge le pas. j'ai peur qu'il me suive. Il ne me suit pas mais me crie: "SALOOOPE!" Putain la salope, tu verras quand jt'aurai!
Je m'enfonce toujours plus vite dans la nuit noire et impalpable.

Scène 2
Je vais me marier. Le gars est très gentil. D'origine indienne, il ressemble au personnage principal du film Slumdog Millionaire. On est assis par terre, à côté de mon lit, main dans la main. On s'embrasse chastement. Et oui l'abstinence a
vant le mariage, c'est important.

Scène 3
Je suis à Konstanz, à l'école. Ce matin c'est la rentré. J'ai une nouvelle classe de 6ème qui m'a l'air vraiment très sympa. Mais quand j'entre dans la classe pour me présenter, je m'aperçois que je ne porte qu'un débardeur blanc sans soutif. En plus on voit à travers. Je leur dit de m'attendre 5 minutes, le temps que je me trouve un soutif. Entre temps je réfléchi à ce que je vais bien pouvoir leur enseigner...

Scène4
Je pars en voyage pour l'Australie!


jeudi 9 septembre 2010

Renaissance manga



Je suis avec mes copines dans les rues de Brest. Soudain je regarde l'heure et j'angoisse: dans une minute, pas une de plus, mon bus arrivera en haut de la côte. C'est le seul de la journée et le seul qui me ramènera chez moi, à 80 km d'ici. Je cours, mais c'est manifestement trop tard, car il me passe sous le nez.
Une amie me propose alors une solution a
lternative: d'aller dormir dans sa chambre étudiante à la cité u de Kergoat. Dépitée, j'accepte.
Nous sommes à 5 dans la petite chambre de 9m².
Les fille me disent au revoir et me laissent seule.
Il faut que je me change pour mettre quelque chose de mieux sur le dos. Je trouve (après un temps considérable) un top orange de soirée très près du corps (cadeau d'un ex) et un boléro blanc qui a une tâche de chocolat sur la manche droite. Mai
s je me dit que personne ne le verra. Et j'espère que je n'aurai pas trop froid avec que ça sur le dos. Lorsque je me change, il y a (évidemment) des voyeurs qui me scrutent par la fenêtre.
Soudain je me rend compte que j'ai une voiture, et que je peux bouger finalement! Je prends donc la voiture pour aller à un endroit encore
inconnu. Je m'aperçois que j'ai du mal à conduire. Parfois ma vision devient floue (notamment quand je rentre dans un rond-point) et je me mélange les pédales, ce qui fait que je fait des sacrés embardées sur la route. Mais je me dis: Tant que je ne cause pas d'accident....
J'arrive finalement à mon but. Je suis devant un grand immeuble gris. Quand je rentre à l'intérieur, il y a une foule incroyable. Beaucoup de gens font la queue. Il y a des escaliers et des escalators immenses remplis de monde. J'essaie de me faufiler entre les gens, je n'ai pas vraiment l'intention de faire la queue moi.
Puis j'arrive dans une grande salle lumineuse avec des casiers de toutes les couleurs. Il n'a presque personne. Je remarque une petite fille qui joue avec un mini-chien en ballon de baudruche.
Elle est asiatique, elle a de bonnes joue et des cheveux noirs en baguettes qui lui tombent sur les yeux,elle ressemble à Chihiro. C'est la que ma vision se met en vision dessin animés. La petite fille devient un manga. Elle s'en va. je la suis pas à pas. Elle me mène jusqu'à une salle d'opération. Sa mère, une très belle jeune femme, est étendue sur un lit d'opération, elle est endormie. La petite fille veut retourner dans le ventre de sa maman. Alors elle se met à la hauteur du visage de sa mère et disparait en elle. On a l'impression qu'elle se fait scanner. Le transfert est assez flou. Mais l'opération ne marche apparemment pas puisque la tête de la petite fille ressort triste de l'autre côté, entre les jambes de la maman.

lundi 6 septembre 2010

Soirée arrosée

Scène 1
Je possède deux beaux restaurants, dont un se trouve à Lübeck. Ce sont des restaurants traditionnels. J'ai un peu le mal de mer. Beuuuh

Scène 2
Il y a une soirée chez moi avec mes proche et des amis, dont une ancienne amie de Lycée: L. Elle est petite et menue, les cheveux châtains et raides ramenés en queue de cheval. Avec elle, j'ai fais les 400 coups. La elle se retrouve chez moi. Il y a de l'alcool, l'ambiance est sympa.
La soirée se termine au lit avec L.
Nous sommes nues toutes les deux, l'une contre l'autre dans la position de la cuillère. Elle prend mes seins entre ses deux mains. Et on s'endors comme ça. C'est assez agréable.
Tout d'un coup nous sommes réveillés par ses amis. Je suis très gênée de devoir me montrer nue, j'ai juste le drap qui me cache la moitié du corps.
On parle de la soirée de L. qui doit faire une super fête demain. Ils me demandent de venir, mais je ne sais pas comment je vais y aller car je n'ai pas de voiture et pas vraiment la motivation.
Je me lève pour aller m'habiller, le drap tombe et les garçons me regardent avec insistance. Je suis très gênée. D'autant plus que je en trouve plus LA super robe que je voulais mettre.

Scène 3
Je me rend à une fête sur la plage, en bas de chez moi. Il y a un coucher de soleil magnifique et les gens dansent, la falaise est illuminée.

samedi 31 juillet 2010

Hystérie

Je me rend chez mon copain K.
Tout est normal.
Il fait beau.
Nous sommes à Ploug., dans mon village.
J'ouvre la porte de son appart et tombe nez à nez avec une fille. Elle n'est pas vraiment belle, mais pas vraiment moche non plus, elle est fade, sans aucun intéret, un peu passe-partout. Mon copain surgit derrière elle et prend cette fille par la taille. Il me dit: "Ich mache jetz Schluss mit dir, ich habe keine lust mehr auf dich. Ausserdem habe ich 'ne neue Freundin"
A partir de là je perds pied, je perds le contrôle de tout, mes jambes se dérobent sous moi. Je devient rouge comme une tomate, je pleure comme une madeleine, hurle crie comme une hystérique. Il ne peux pas me faire ça à moi. Je le poursuis, je le supplie de revenir sur sa décision. Mais il ne m'entend pas, il reste calme tout sourire. J'ai beau hurler, me démener, c'est comme si il ne me voyait plus. Par contre sa nouvelle copine, elle, me voit et m'entend, elle a peur de moi et mes cris, elle pense que je suis atteinte mentalement. Je la hais. Elle n'est même pas jolie.
Mais hurlements s'accentuent, je vais au milieu de la rue en rage et je déchirent mes vêtements jusqu'à que je sois nue, là, en plein milieu du village, pour qu'il daigne enfin me remarquer et arrêter de m' ignorer.