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samedi 28 janvier 2012

L'envol vers la liberté


1. Je suis dans le salon de mon voisin en France. Il y a une grande baie vitrée et c'est la nuit. *prise de lucidité* Je décide de traverser la vitre et de m'envoler pour retrouver mes montagnes vertes. Je suis propulsée à travers la vitre (instant magique) à une vitesse fulgurante, j'ai même l'impression de dépasser le mur du son. C'est vraiment grisant. Je me retrouve à planer au dessus de la mer à perte de vue. Je vois, au loin, mes montagnes vertes et je suis heureuses.

2. Je me balade dans la rue et tout d'un coup, j'ai une nouvelle fois une prise de lucidité sans explication. Je me dis que je peux traverser ce mur. Effectivement, mes doigts traversent le mur sans problème. Mais je me dis que la matière est trop épaisse, et que je vais me réveiller si je tente de le traverser complètement. Je préfère continuer le rêve et perdre ma lucidité que de me réveiller.

3. Je viens de changer de coupe: j'ai les cheveux raides et violet
s avec une queue de cheval sur le côté. J'adore, ça change et c'est original. J'ai un double moi qui est assez chiante et imbus d'elle-même qui q couché avec le beau voisin, un brun ténébreux que j'essaie de conquérir depuis un moment. Bref, je suis trop jalouse et elle, elle se vante tout le temps. Je me dis qu'avec mes cheveux violets, j'aurai sûrement une chance d'attirer son attention, ce soir, lorsque l'on regardera la télévision ensemble sur le canapé.

4. Je suis de nouveau assistante de français dans un collège allemand (aaargh, ce rêve me poursuit) et organise mon heure d'enseignement. Je suis dans la meilleure classe de français du collège, ce qui est appréciable. Mais un truc me chiffonne tout de même : parmi les élèves, il y a G.B., un gars qui était dans mon ancien collège (il a dix ans de cela) et qui ne me menait pas toujours la vie facile, mais qui lui même devait avoir la vie dure. Ca me choque également qu'il soit toujours resté au collège. Là, il m'explique qu'il a totalement changé d'orientation, qu'il a recommencé l'école pour devenir quelqu'un de bien et qu'il était même le meilleur de sa classe. C'est étrange, moi qui détestait ce type dans la vraie vie, je commence à avoir un profond sentiment de respect pour lui dans le rêve. C'est un début, non?

5. J'essaie de stabiliser mon rêve lucide après une nouvelle prise de conscience en criant: LUCIDITE x1000 et en me frottant les mains, mais le paysage tangue de plus en plus dangereusement, comme si j'avais bu, et je finis par me réveiller.

lundi 23 mai 2011

Sur les pas de mon animal totem


RN = Noir
RL = Bleu (DILD)
heure : 3h30
technique : Autosuggestion
Objectifs : Chercher mon animal totem = atteint
Chercher mon guide onirique = atteint
Voler = atteint
Retrouver un endroit commun à mes RL = atteint (la crique)


Je suis dans la maison de mes parents, et j'y ai organisé une grande fête. La maison et la cour intérieure sont pleines de gens. Tekeur est là aussi Cheesy Au loin, il y a un petit homme replet habillé d'un pardessus noir avec un chapeau noir sur la tête, il nous regarde d'un air vicelard. En plus, il se rapproche de plus en plus ! Je commence à courir et je lance à Tekeur :

Cours le plus vite possible Tekeur !!!!

On court aussi vite que possible, et je sais qu'on a semé le type, on est beaucoup plus agiles que lui à la course. Mais on se retrouve dans un cul de sac... Dans une pièce pleine de PR... Le vicelard nos rattrape !!! Alors je me met debout sur le rebord de la fenêtre et regarde la fete qui bat son plein dehors.

A partir de là, je ne sais pas pourquoi, mais je sais que je rêve. Je fais le saut de l'ange à travers la fenêtre et quitte la fête par la voie des airs. Au début j'ai du mal à voler et puis je me concentre pour faire monter l'énergie en moi et m'élève au dessus des toits entre chien et loup. Je me retrouve dans ma petite crique habituelle et me laisse choir dans l'eau. C'est le matin. Je suis entourée de canards et de cygnes, c'est un endroit très paisible, l'eau est mon élément, et je me dit que ce serait parfait pour la quête de l'animal totem....
Je dis :

Je veux voir mon animal totem !

Je regarde le canard qui batifole près de moi, mais ça n'a pas l'air d'être lui... Alors au loin sur la plage, je vois un grand chien se lever, il se dirige vers moi et se couche devant moi. La connexion se fait tout de suite. C'est un berger allemand. Qui parle en plus! Il dit solennellement :

Je suis ton animal totem.


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Je le caresse. Il est très doux. j'aurais dû poursuivre une conversation avec lui .... malheureusement je passe à autre chose...

Puis je demande : et vous savez où est mon guide onirique ?

Une petite fille habillée de rose me prend la main (je suis toujours assise dans l'eau) et m'emmène voir mon guide onirique. On entre dans un magasin genre IKEA. Là il y a une bande de sable où mon guide onirique a laissé des empruntes de pas !!!! Je pose mon pied dans cette emprunte et remarque qu'on a la même pointure, mais il a 6 orteils !!! Mais ça me semble logique que mon guide onirique aie 6 orteils (perte de lucidité)
Une vendeuse PR commence à faire une crise de l'autre côté du comptoir, je perds de la lucidité et je me réveille.


Dur à choper ce guide Cheesy

vendredi 6 mai 2011

Mon corps en décomposition


1) Je viens de subir une opération chirurgicale où l'on m'a coupé le corps en deux à partir du buste. Ils m'ont bien raccomodé et on en voit presque plus rien. Mais de jour en jour, ça empire.... Le premier jour, je vois les coutures réaparaître. Le deuxième jour, je sens que ça devient de moins en moins stable et j'évite les mouvements brusques. Les jours suivants, j'ai l'impression que mon buste se détache du reste de mon corps, comme une statue qu'on aurait coupé en deux. Je suis totalement paniquée et je n'arrive à joindre aucun médecin. Je pleure de douleur, mais ma mère s'en fout, elle pense que ce n'est pas grave.
Les derniers jours, je reste assise sur mon lit, je ne peux plus beaucoup bouger par peur que mon buste tombe. Peu à peu, je sens une sorte de plaie rectangulaire qui gonfle du côté de mon coeur ce qui m'empêche de respirer normalement. Je me dis : Ca y'est, ça s'est infecté.
Je décide alors de regarder enfin l'état de mon corps... La plaie est énorme et violette, au milieu il y'a une sorte de tuyau tout pourri. J'enlève mon corset (oui je porte un corset de maintien) et à la place de mon ventre, je vois des légumes tous pourris.

2) je pars en vacances avec une amie. Nous sommes en voitures et sommes sur une route de campagne. Nous sommes arrivées à destination, en pleine nature. Mon amie me raconte ses déboires amoureux. Elle est partagée entre E. un ex à moi (peu sympathique) et un avocat qui est plus veux qu'elle et qui habite as loin dans un cabanon ( tout droit sorti de la série Hellcats^^). Je suis un peu jalouse tout de même qu'elle veuille sortir avec mon ex, même si je me demande se qu'elle lui trouve...
Dialogue :
Moi : - Quoi tu veux sortir avec E. ? (visage dégouté)
Elle : - Euh oui, pourquoi ?
Moi : On va dire qu'il ne m'a pas très bien traité, en même temps (j'essaie de me ratrapper), on était jeunes, on avait 16, 17 ans à l'époque.... Mais tu devrais plutôt sortir avec l'avocat, ça à l'air d'un type bien !
Elle (faisant la moue) : Oh j'sais pas trop... Je crois que je préfère E...
Ensuite, on part sur une autre conversation sur les rêves^^. Elle me sort en allemand :
- In meinen Träumen habe ich eine Assi-Mutter (= Dans mes rêves, ma mère est vraiment asociale)
Je lui réponds que moi aussi, et je repense amèrement au premier rêve, ou ma mère m'a laissé souffrir avec mon buste coupé en deux.

3) Je suis sur un grand voilier et je plonge dans l'eau pour échapper au danger.

mardi 3 mai 2011

Radio dans la tête (paralysie du sommeil)


Noir = RN
Vert = PS
Bleu = RL
Rouge = FE

Réveil. Pose pipi. Re au lit. Je suis en PS. J'entends mes acouphènes qui se transforment en voix masculine. J'entends désormais un animateur à la radio qui parle très vite, mais très clairement. Cela semble incroyablement réel. Je n'ai pas retenu ce qu'il disait, car je crois que ça n'avait pas vraiment d'importance. J'ai voulu mettre de la musique, mais ça n'a pas réussi... Je retenterai Smiley



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Je pense au JR de Lilou, et essaie de faire comme elle quand elle est en PS : J'ouvre mes yeux oniriques. Et la vision étonnante : je vois Lao sous la forme d'un oiseau de feu géant (bref son avatar quoi)

Mais je me réveille très vite et ne remarque pas que c'est en fait un faux réveil. Je regarde l'heure : il est 3h du matin. Je me dis alors que l'autosuggestion pour le RL n'a pas très bien marché puisque je m'étais dit : 1h. Bref. Je me lève pour aller aux toilettes et en traversant la cuisine, je vois mes colocs qui rangent la vaisselle après leur petite soirée entre filles (qui s'est passé IRL il y a quelques heures). Je retourne au lit et... Je retombe en PS.
Ce n'est que ce matin que je me suis rendu-compte que ça ne s'était pas passé réellement.^^


Et deux petits RN que j'ai un peu oublié....

Ma famille et moi, on est des réfugiés de guerre et on doit se cacher dans une bicoque en bois. Ma mère me demande une clope. Je tique un peu, carIRL elle ne fume pas. Tout le monde à l'air très tendu. Nous n'avons même pas de douche et on doit se laver dans le lavabo.

Je suis avec ma famille, on se baigne dans un lac. Et soudain on prend peur, car Lord Voldemort nous poursuit ! (Voilà encore un JR d'un des membres du fofo qui m'a inspiré^^)

dimanche 1 mai 2011

Rencontre avec le maléfique Nosferatu-Vador


1) C'est (encore, à croire que je fais toujorus des rêves à répétition) l'anniversaire du grand-père de K. Nous sommes attablés avec toute sa famille dehors, dans le jardin.
En soirée, nous décidons de faire une grande virée dans toute la Bretagne en roller. Il fait déjà nuit, mais c'est génial, les paysages de campagne la nuit sont magnifiques. J'veux aller aux toilettes, et j'abandonne donc le groupe. je m'enfonce dans un tunnel bizarre ou il pleut très très fort (ouai, il ne pleut que dans le tunnel). Je me gamelle en roller à cause de l'eau et me laisse glisser jusqu'au bout du tunnel.

2) Je suis dans un bus avec K. Nous parlons à un vieillard dans le bus qui fait très peur et ne parle que de choses absurdes. Il dit qu'il est ''Dark Vador'', mais en fait il ressemble à Nosferatu plutôt, même s'il respire comme Vador.On part s'assoir très loin de lui.



jeudi 28 avril 2011

L'araignée qui fait ''splash''


Je suis dans mon ancienne chambre, c'est un grand grenier tout vide, les murs sont en lambris. Je me sers un grand verre d'eau. Avant de boire, je vois une bestiole au fond du verre d'eau. C'est une araignée noire au ventre bien rebondi comme un ballon. Je la trouve vraiment dégoutante et espère qu'elle va mourir au fond du verre d'eau. Mais elle remonte lentement le verre d'eau.
Arrivée en eau elle fait un saut et se colle au plafond grâce à sa ventouse ventrale. Elle ne tient pas longtemps et finit par s'écraser par terre en faisant ''Splash'' et en laissant un dégouli jaunâtre. Dégueu... Partout au plafond, d'autres araignées commencent à tomber en faisant ''Splash'', j'essaie de les éviter, mais l'une d'entre elles tombe sur ma tête et je sens le liquide jaune dégouliner sur mon front... beeeuh

dimanche 17 avril 2011

Deux rêves lucides : WILD + DILD + Faux réveil - C'est la fête !

Noir = RN
Marron = OBE
Bleu = RL (WILD & DILD)

1) Je me réveille et reste éveillée pendant une heure en attendant le WILD (je me le permets, je suis en vacances Smiley.
Mes objectifs :
- sortir par la porte de la chambre (et non plus par la fenêtre) = atteint 100%
- Faire apparaître K. derrière la porte = atteint 50%
- Lui demander mon prénom onirique = non-atteint

Je tente la technique du pianotage qui ne marche pas. Mais je suis un conseil d'Un Rêve sur le fofo qui avait une technique pour dormir :
-Je m'allonge sur le dos, les bras derrière la tête.
- Puis je ramène mes gras le long du corps
- Et enfin je me tourne sur le côté.


Au bout d'un moment, je me sens partir, mais ma conscience reste éveillée. Je vois mes mains oniriques en train de se laver les mains sous l'eau d'un lavabo. Je remarque bien que d'un côté je me lave les mains oniriques et de l'autre mon corps physique est allongé dans mon lit. (est-ce ça qu'on appelle un WILD visu ?)
Je fais alors le TR du nez bouché : positif Smiley

Je tente alors une sortie de corps en roulant sur le côté (c'est encore ce qui marche le mieux, et cette fois pas de signe de PS Smiley Je me met debout tant bien que mal.


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La première chose que je fais, c'est me précipiter vers la porte de cette nouvelle chambre inconnue, sans vraiment en regarder le décor. Derrière la porte, K. est là ! Mais on dirait plutôt son hologramme ou son fantôme, car il est assez flou et disparait parfois, j'ai beaucoup de mal à le visualiser. Nous sommes à l'étage en face d'un escalier en bois, le sol est en parquet, comme toujours dans mes rêves de maison. Il fait sombre.
J'essaie d'embrasser K., mais je n'ai aucune sensation, j'ai l'impression d'embrasser un fantôme. Lassée je finis par crier comme une excitée du bocal à K. et à mon rêve :

MON NOM, C'EST QUOI ? MON NOM, C'EST QUOI ?

Personne ne répond.
Le rêve s'efface. je me réveille.

2) Je suis en boîte et je peins des chaises en blanc. Dans cette discothèque aux lumières lazer de toutes les couleurs, il y a tous les gens que je déteste et qui m'ont mené la vie dure autrefois.
Je ne sais pas pourquoi, mais je remarque que je suis dans un rêve (mais le niveau de lucidité est très très bas). Je décide alors de me venger de ces gens en contrôlant mentalement le système des portes de la discothèque pour qu'elles ne s'ouvrent plus pour qu'ils restent coincés dans la discothèque à vie. Soudain, je vois Katrin, une copine à moi que je j'adore, elle voudrait sortir alors je n'ouvre les portes que pour elle, parce qu'elle je l'aime bien.

3) Je fais un faux-réveil ou je perds ma lucidité. Je suis toujours dans une soirée, aux bords du lac de Constance. Je suis allongée sur une serviette avec un carnet spirale et un crayon. Je veux y écrire mes rêves précédents pour ne pas les oublier. Mais très vite, je me perds dans le rêve et le journal des rêves devient un journal intime où j'écris mes déboires amoureux avec un certain Stiffler (le gars le plus populaire de la fac, le nom me fait penser aux films style American Pie), le genre bronzé, musclé, les cheveux courts et la chaîne en or (pas du tout mon style IRL), malheureusement il a déjà une copine qui est canon. Mais mon coeur est aussi partagé avec ce garçon mystérieux nommé Tobby (de la série Pretty Little Liars), il est un peu inaccessible.
J'arrive à la fin de mon cahier spirale. Je feuillette longuement ce qu'il contient. Des dessins et autocollants sans aucun sens. Parfois les pages sont blanches, parfois noires, parfois il y a des écrits. Ce cahier représente toute ma vie.

mercredi 6 avril 2011

Naturisme sous la neige

Il est 6 heures du matin, je m'endors tout doucement en me racontant une histoire et cette histoire devient peu à peu rêve.
Je suis en train du faire du patin à roulettes dehors sur les rues pavées, il a pleins d'obstacles comme un pont, une grande montée et je dois même faire du l'escalade avec mes patins(niveau de lucidité très bas). J'arrive à un parc-musée avec K., sa mère et sa petite soeur. Sa soeur s'amuse à m'énerver, avec une pompe elle m'éclabousse d'eau et je suis toute trempée. Je sens les gouttes qui coulent de mon nez. Dégoutée, je vais mon chemin et lasse K. et sa famille en plan pour faire mon boudin. Mais au bout d'un moment je veux les retrouver et vais au cinéma. Plusieurs PR me disent que des gens me cherchent : c'est la famille de K. qui se trouve dans les premiers rangs. Je m'assois près d'eux. Je m'aperçois que je n'ai plus de pantalon (Huh?) Mais K. pose sa tête sur mes genoux et s'endort.

2 Je dors sur le dos et tombe directement en PS. De nouveau une PS toute douce Smiley (ça s'améliore!)
Je cherche à sortir de mon corps comme d'habitude, j'appelle un protecteur puis un PR puis je roule sur le côté. je dois répéter l'opération plusieurs fois pour réussir à tenir sur mes jambes, c'est bizarre j'ai du mal à me stabiliser au début.
Je suis de nouveau dans une chambre inconnue rectangulaire presque vide. Je m'imagine un miroir, ce dernier apparaît dans le coin de la pièce. Je me regarde dedans et le reflet me ressemble même s'il est un peu déformé. Quand je rapproche mon visage, il devient tout bossu et mes sourcils disparaissent. Je ne sais pas pourquoi, je commence à me déshabiller entièrement pour observer mon corps. J'ai du al à retirer mon haut, il semble que j'ai enfilé au moins 10 tops l'un sur l'autres. Voilà je suis nue. Je m'observe. En plus je suis hermaphrodite, ce qui fait que je peux changer de sexe à volonté(bon je ne vous fait pas un dessin).
Je vais à la fenêtre et regarde vers le bas : il y a une rue pavée, les bâtiments sont de style médiéval et il neige.


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Et moi, trop con: et si j'allais courir toute nue dans la rue, juste pour le fun ? Je me téléporte vite fait en bas (je ne sais plus comment). Et je cours toute nue sous la neige. Personne ne me remarque. Jusqu'à un coin de rue ou je remarque des sans-abris. Je m'approche d'un jeune sans-abri recouvert de manteaux et de couvertures (il fait très froid je précise), et il a les yeux d'un bleu ! waaaw Kiss Je suis subjuguée. Lui aussi. On s'approche l'un vers l'autre.
et là, et là...

Le TELEPHONE SONNE ! grrrr

mardi 5 avril 2011

Découverte de mon univers onirique

Je suis couchée sur le dos et je me crois dans mon ancienne chambre. Je suis en PS, mais elle n'est pas violente. J'essaie de sortir de mon corps onirique, au début, mes membres sont très lourds et je n'arrive pas vraiment à les bouger. Puis je commence à tournebouler sur moi même pour me retrouver sur le côté du lit. Je dois tout de même m'y reprendre à plusieurs fois avant de pouvoir vraiment m'éloigner du lit.
Une fois sur pied, je cours dans la chambre toute joyeuse en sautillant comme une petite fille, car j'ai réussi ma sortie de corps Grin Par contre, je retombe très souvent dans le noir onirique et j'ai beaucoup de mal à visualiser ma chambre (c'est sûrement dû au fait que je viens de déménager et que je n'ai pas encore mes repères dans ma nouvelle chambre.) J'essaie de m'imaginer mon ancienne chambre mais ça ne marche pas très bien. Je demande que K., mon copain soit là, mais il ne vient pas.
De nouveau, je retombe dans mon corps, mas je remarque que je peux encore bouger mes bras oniriques alors je retente la sortie de corps, et ça marche. Je décide alors d'appeler un Protecteur : Je demande un protecteur !
Je sens une main qui m'entraîne vers le haut. Je vais très très vite. Arrivée à une certaine hauteur, je stoppe et regarde le paysage, c'est magnifique ! En bas, il y a la mer bleue nuit qui scintille et un énorme bateau égyptien en or. Dans le ciel, il y a le chien Falkor de l'Histoire sans fin, mais son pelage est rouge (c'est ptet son jumeau^^)


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Je vais encore plus haut, je fais un looping autour d'une planète (t'en qu'à faire) et puis je me retrouve dans le noir onirique. J'essaie de voir mon protecteur, mais je ne vois qu'une forme noire et toute petite^^.

Je me retrouve une nouvelle fois dans ma chambre.je suis toujours à moitié dans le noir onirique. Je me frotte les mains pour stabiliser le rêve. C'est bizarre, je n'arrive pas à me frotter les mains très vite et elles commencent rapidement à chauffer. Je me touche le visage, les yeux, les cheveux. C'est très réaliste. Je fais 4 fois le TR du nez bouché et je trouve ça très amusant de pouvoir respirer Cheesy (Je n'avais jamais fait de TR avant dans mes rêves!). Je tire sur le bout de mon nez comme si je voulais arracher ma peau et enlève une fine pellicule de peau. Je me re-frotte les mains. Je décide alors de sauter en l'air et de traverser le plancher pour me retrouver dans l'appart d'en dessous. Ca marche très bien et je me retrouve pile dans un canapé pour rendre le thé avec mon amie T.

Je me réveille tout doucement et en forme Smiley

dimanche 20 mars 2011

Observation de ma chambre onirique



Je suis poursuivi avec des réfugiés par un conducteur fou. Pour le semer, nous avons pris un sentier côtier en parallèle de la route. Nous nous retrouvons dans une petite crique avec une petite plage sous les pins. Il fait beau, alors on se baigne.
Réveil de 10 secondes. Je reste dans la même position (sur le ventre), sans bouger. Je ferme les yeux.

Je suis directement en PS, je suis paralysée et je n'ai presque pas d'hallu. Comme d'habitude, je cherche à sortir de mon corps et c'est difficile, je sens juste ma tête onirique qui part vers le haut. Cette fois-ci, je ne demande pas un protecteur (après les essais foireux de ces derniers temps), mais je m'imagine une corde imaginaire. Je monte à cette corde et arrive finalement à m'extirper tranquillement de mon corps.

Je me retrouve tout d'abord dans le noir, il faut le temps que le décore onirique se dessine.
Je suis dans une chambre inconnue rectangulaire (en IRL, je me trouve aussi dans une chambre où je n'ai jamais dormi). K. dors dans le lit dans le coin gauche de la chambre. Je décide alors de fouiller la chambre, elle est sombre et presque vide. Le sol est recouvert de parquet. Il n'y a pas grand chose : juste deux grandes fenêtres et ma commode entre les deux.

Je regarde tout d'abord par le fenêtre. Je vois le petit port de T. en Bretagne avec sa crêperie, sa petite plage et son petit port de pêche. Le ciel est bleu/gris sombre, c'est la nuit. La mer bleue nuit scintille. Il y a des gros nuages dans le ciel et l'un des nuages est vert en forme de coeur.

Je continue ma visite avec : la commode. J'ouvre le premier tiroir et j'y trouve un haut marron avec un col en V plié, je le prend puis le repose à sa place. Sur la commode, il y a un livre rouge (la couverture me rappelle la couverture rouge du livre que je lis en ce moment : La p..... respectueuse de Sartre). Le titre de ce livre s'intitule : Les poissons et la pêche.Je prends une page au hasard et essaie de lire. Dès que je cligne des yeux, le texte change, c'est à en devenir fou ! je referme le livre et même le titre à changé.

Entre temps, j'ai une pensée délirante : Et si K. se réveille, là, maintenant, va-t-il croire qu'il y a un fantôme dans la pièce qui bouge les objet ?

Je reporte mon attention sur mon appareil photo rouge numérique posé à côté du livre et entreprends de regarder les photos qui y sont en mémoire. Je fais défiler 2 photos. Elles représentent une petite crique (celle de mon premier RN, comme si c'était un souvenir) avec une plage et à l'arrière plan, un coucher de soleil, elles ont un air de vacances.. L'eau turquoise est très claire. Sur l'une des photos, il y a K. dans l'eau jusqu'à la poitrine, le sourire aux lèvres et le regard fixé vers l'objectif. Sur la deuxième photo, il y a mes cousins de dos qui se tiennent par la main et regardent le coucher de soleil.

Pour finir, je me dirige vers la dernière fenêtre et je décide de me défenestrer, car j'ai bien envie de survoler la mer. Je saute à travers la fenêtre. J'ai été bien trop téméraire.... car je me retrouve dans le noir complet, puis de nouveau dans ma chambre onirique (5 secondes)
et je me réveille.

mercredi 16 mars 2011

(...)

1 ) Je suis dans mon appartement. Je suis en train de prendre une douche avec deux potes de mon coloc. Il n'y a rien de sexuel, peut-être qu'on veut juste faire des économies d'eau chaude ?

2) Je suis chez K. dans son lit avec lui. On commence à s'enlacer et à s'embrasser, les sensations sont très fortes. Malheureusement, on en est à peine aux préliminaires que quelqu'un sonne à la porte et me réveille sur le coup.
Grrrrrr.... Put..... de vendeur de journeaux !

lundi 14 mars 2011

Déménagement

Je vais enfin déménager avec K. Enfin on va pouvoir vivre ensemble ! Nous visitons notre nouvelle ''maison''. En fait c'est plus un mobilhome qu'une maison. Il se situe sur le bord d'un chemin en Vendée près d'une rivièr en pleine nature. A l'intérieur c'est tout petit et très étroit avec une atmosphère un peu vieillote et jaunâtre. Mais je suis tout à fait enchantée et je le fais savoir à la jeune femme de l'agence immobilière.
Je me retrouve dans ma chambre actuelle. Mon coloc M entre et me demande si je suis prête à aller vivre avec lui. Le rêve merveilleux de vivre ensemble avec K; se transforme tout à coup en un rêve répugnant dans le lequel je vais devoir passer le reste de mes jours avec M. dans un mobilhome étriqué.

dimanche 20 février 2011

Glandouille au Glandasse


Je suis avec ma mère dans la Drôme pour les vacances, plus exactement à côté du volcan appelé ''Le Glandasse''. Nous nous baladons dans les viols (ruelles) au charme pittoresque. Tout est verdoyant et le soleil brille. Je prends les fontaines en photo.

Je suis dans ma chambre. J'ai deux matelas dont les têtes se touchent et je me dit que, c'est bon, j'ai deux lits, donc MK peut venir me rendre visite quand il veut.

Il y'a un homme avec une valise sur le chemin sortant du bois. Son visage est figé et sa bouche forme un méchant rictus.

Je suis chez K. dans sa famille. C'est le soir, K. est sorti avec des amis et je suis au lit. Soudain, je vois les phares d'une voiture qui éclairent la pièce, j'entends des pas (des talons hauts) et je me dit que ça doit être K. qui rentre avec ses soeurs.
Je suis trop déçue, car ce n'est pas eux.
J'envoie un message à K. pour lui dire que je croyait que c'était eux qui rentraient en taxi, et tout d'un coup je me suis demandé si je n'avais pas rêvé entre temps. K me réponds que ce n'était pas eux qui étaient rentrés mais qu'ils venaient de commander un taxi.
20 minutes plus tard, ils arrivent, la scène se reproduit : les phares de la voiture dans la chambre et le bruit des talons hauts.

mercredi 16 février 2011

Concours de maillots mouillés

Je suis à Brest et je joue dans les égouts avec mon amie L. Je porte un deux pièces sublime à fleurs qui m'avantage vraiment beaucoup. Dans ce rêve, j'ai vraiment un corps de rêve et une poitrine hors norme^^ Je m'éclate avec L., nous sommes très proches, la manière dont nous nous touchons indique que nous sommes sûrement plus que des amies.

Après avoir bien ''batifolé'' dans les égouts, je décide de rentrer chez moi, dans ma chambre de cité U. Bon évidemment, je ne retrouve pas mes vêtements et doit me rendre à la cité U en bikini avec une serviette jaune poussin à la taille. En plus, je suis encore toute trempée.
J'arrive à la cité U. Elle est énorme, je ne sais même plus ou est la porte d'entrée et dois faire plusieurs fois le tour du bâtiment immense, tout blanc et vitré à l'architecture moderne.
Enfin, je crois reconnaitre l'entrée. Je monte quelques étages et me retrouve devant ma chambre. La porte est ouverte. Je remonte les stores, ce qui éclaire toute la chambre blanche immaculée. C'est bizarre, dans me souvenirs, j'avais l'impression que ma chambre de 9 m² était beaucoup moins grande, beaucoup moins claire et beaucoup moins blanche. C'est alors que je découvre des bijoux disséminés un peu partout dans la pièce qui ne m'appartiennent pas. Et là je panique car je découvre que je me suis trompée de chambre. D'ailleurs la propriétaire de la chambre se tient juste devant la porte en colère, c'est une quadragénaire mince, fardée, maquillée et bruschingué.
Elle me demande ce que je fais dans sa chambre, je prends peur et balbutie des paroles incompréhensibles.

vendredi 11 février 2011

Deuxième essai de rêve lucide DILD (Dreamed Induced Lucid Dream), réussi :)


Je suis chez mes grands-parents en Vendée et occupe la caravane dans le parc de la propriété. Mon grand-père organise une méga fiesta high-tech. C'est le soir, il y a beaucoup de gens, je ne sais pas pourquoi, mais beaucoup de gens se disputent et se tapent dessus. Le long de l'allée, il y a 3 énormes télés écran plat en marche... quelle ambiance ! Je voudrais me changer dans la caravane, mais mes vêtements ont disparu. Alors je cherche ailleurs. Puis je ne retrouve plus la caravane. C'est très frustrant.
Puis il se met à pleuvoir. Le ciel bleu nuit devient gris. Je me dit que les Télés vont cramer sous la pluie, mais non elles fonctionnent toujours. Il pleut tellement que ça se transforme en innondation. Il faut absolument qu'on sorte d
u parc sinon on va finir tous noyés, car l'innondation est devenu un fleuve en furie. Pour cela, il n'y a qu'un seul moyen : le trou dans la haie au fond du jardin.
Je fais partie des très rares personnes qui ont réussies à s'enfuir du parc par le trou de jardin.
Maintenant je cours dans les rues sombres (c'est la nuit) de Venise et m'arrête devant un immeuble. J'y entre et monte quelques étages et je m'arrête devant un des appartements. Il est vieux, tout en bois et complètement décrépit
. Il semble inhabité.

Et là... Je vois la fenêtre qui renvoie un faible reflet. Et là ça fait tilt : je suis dans un rêve. Je m'approche du reflet pour vérifier si je suis bel et bien dans un rêve. Le reflet me renvoie l'image d'un jeune garçon très joufflu aux grands yeux et aux cheveux châtains clairs bouclés. Mon rêve me dit que c'est normal. Mais comme je ve
ux toujours me persuader que je suis dans un rêve, je décide de plonger à travers la fenêtre. Ca marche, je fais un vol plané et me retrouve en train de voler au dessus du fleuve, c'est vraiment magique =) Comme je n'ai pas vraiment de technique pour voler, je fais les gestes de la grenouille^^ et de la sirène, comme si je nageais dans l'eau.
C'est le jour désormais, je suis toujours lucide. Je vole au dessus de la ville et m'approche de montagnes vertes, d'un vert magnifique. J'ai l'impression d'être libre ! Derrière les montagne, il y a la mer, exactement comme je me l'était imaginée. Un paysage breton, avec une petite crique et des petits bateaux de pêche.
je me pose sur la cale, là où les pêcheurs déversent leurs poissons. Devant moi, il y a un jeune garçon qui marche vite et que j'ai peine à rattraper, je décide d'entamer la conversation avec lui. Je lui demande la seule question qui me vient à l'esprit : Et tu fais quoi dans la vie ?
Je ne m'attents pas à ce qu'il me réponde, car c'est trop bizarre d'être lucide et de parler à quelqu'un d'autre du rêve qui n'est pas soit-même. mais il répond simplement et à mon grand étonnement : - Je travaille comme ''Bérénice Tendié'' ici, avec les pêcheurs.
Moi -Oh et c'est comment ?
Lui - Je travaille tout le temps, je n' ai pas de temps libre et je ne gagne presque rien...
Pour lui remonter le moral, je lui dit : Mais tu sais ce n'est pas grave, ce n'est qu'un rêve !
Il ne me répond pas, déjà, il embarque sur un bateau. J'essaie de le suivre en volant aux côtés du bateau. L'océan, c'est vraiment magnifique...Puis je stagne, je n'arrive plus à avancer.

Je me réveil. Ou plutôt non, je fais un faux réveil. Et je me retrouve dans mon lit chez mes parents. Je vais à la vitre et tente d'y faire traverser mes doigts. Ca ne marche pas, mes doigts cognent contre la vitre, alors je me dis, je suis bien dans la réalité (Trompée par un test de réalité !). J'ai de nouveau perdu ma lucidité. Je descends dans la cuisine, là il y a ma mère, mon frère et et un de ses potes. Mon frère est très grand et il a une coupe à la punk vraiment trop bizarre.

Je me réveille, cette fois dans la réalité^^

lundi 17 janvier 2011

Count down

Je suis dans la salle de bains avec K. Je suis enceinte. C'est la que le compte à rebours commence. Dans une heure, je vais mourir. Les chiffres défilent devant mes yeux. Une heure. Je suis complètement abbatue et désespérée, j'aimerais arrêter le compte à rebours, mais c'est impossible. Je pleure et supplie K. à genoux de trouver une solution. Mais il ne semble pas vraiment être affecté, il semble être ailleurs.
Après le dénie, l'acceptation. Je dis à K. que je l'aime pour la première fois et la dernière fois puisque je vais mourir. je suis à terre dans la salle de bains. Il ne me répond pas, ne réagit pas.
Nous sommes dans un garage souterrain avec des tueurs armés jusqu'aux dents, c'est une vraie tuerie là-dedans. Je me dit que ce n'est pas grave puisque je vais mourir de toute façon. Mon heure est bientôt écoulée. Je suis à terre, repliée sur moi-même cachée derrière une voiture.
Bizarrement je me sors indemne de la tuerie, il y a beaucoup de corps.
Je ne me sens pas très bien, ma fin est proche. Je commence à avoir des vertiges et des maux de tête violents.

Je tue une femme au tee-shirt rouge allongée sur le sol avec une arme blanche.

2011, c'est l'apocalypse.
Je suis dans un centre culturel pour femmes. Je vais sur internet et là, il y a un message de K. sur Studivz. Il me demande si je suis bien en sécurité à la maison, il veut savoir ou je suis et me demande de ne surtout pas sortir dans la rue, car c'est beaucoup trop dangereux. Il y a pleins de gens qui rentrent dans le centre pour se protéger, une foule même. Je n'écoute pas les conseils de K. et sors pour rentrer chez moi.
Dehors, c'est un véritable chantier, c'est la guérilla urbaine, tout le monde se tire dessus. J'évite les balles comme je peux (ça me réussi), rentre dans le métro et suis un petit groupe de résistants. Je me retrouve à la piscine, je suis une pro de la nage synchronisée. Pour échapper au Mal je doit plonger sur le côté avec mon beau maillot à paillettes. Mes copines en font de même.

lundi 27 décembre 2010

Le journal d'une vampirette

Je suis un vampire. Et comme le raconte les histoires de Stephanie Meyer, je doit être super belle et parfaite, je me dis que je dois plaire aux garçons.
Je m'installe dans ma salle de classe. Il y'a un autre vampire dans la classe : Une blonde qui a un second rôle dans la série The Vampire Diary, on lui donne le surnom de Blondie ou Barbie. Mais je sens aussi l'odeur d'un loup garou et je sens mes crocs qui veulent sortir. Le loup garou est aussi un second rôle de The Vampire Diary. Je me dis que je ne dois pas m'approcher de lui si je ne veux pas avoir d'altercation.

Je suis dans la maison de mon arrière-grand-mère dans le Nord à Douai. Désormais, c'est K., mon copain, et ses colocs qui y habitent. Je suis chez lui. Mais il n'est déjà plus là, il est parti. J'essaie de le joindre, pas moyen. Je vais en ville pour me changer les idées, pas moyen, je ne pense qu'à lui. Je reviens à la maison, il n'est toujours pas là et ne me donne pas de nouvelles. Le soir, je mange avec ses colocs et demande : aber wo ist K.? Ils me répondent : Keine Ahnung ! Eux-même en on aucune idée. C'est frustrant. Puis je monte à l'étage dans sa chambre et m'endors dans son lit.
Le lendemain matin, il est là, près de moi. Je suis soulagée et très en colère à la fois. Je lui demande ou il était. Il me dit qu'il était chez son grand-père. Je me mets vraiment en colère et entre dans une hystérie pas possible. Lui reste calme. Je lui crie : Pourquoi tu ne m'a pas prévenue avant ? J'étais morte 'inquiétude ! Pourquoi tu ne m'a pas donné de nouvelles? Il ne réponds pas et reste stoïque comme s'il ne m'entendais pas.
Je m'enfuis dans la rue en courant.

C'est l'anniversaire de mon père. Nous voulons le fêter dans la cour de mon ancienne école primaire.

Je suis danseuse aquatique. Pour échapper au Mal avec mes copine, nous devons sauter dans la piscine sur le côté.


dimanche 26 septembre 2010

Dragon rouge

Scène 1
Je chat avec la cam sur le net avec un tatoueur. Ce que je veux? Un dragon rouge avec une épée sur l'avant bras. Ce tatouage en jette vraiment!
Une fois fait, le tatouage rend rend vraiment trop bien.
Mais il disparaît, où alors je ne sais plus très bien si en fait je l'ai fait. J'essaie de trouver un motif moins voyant, peut-être un tribal ou une inscription en chinois, peut-être un prénom où une date de naissance (les trucs bateau quoi)

Scène 2
Je suis sur les bords du lac de Constance à Hörnley avec des amis. Dans le groupe, je reconnais Bianca, une amie namibienne et B., mon ancien coloc. Il fait très beau et chaud. Nous prenons le soleil, lorsque tout d'un coup l'eau vient me chatouiller les pieds. Nous n'avons pas vu la marée montante (et oui dans les lacs, il y a aussi des marées), et nous devons nous décaler de quelque mètres en arrière. B. se fait prendre par la marée avec deux superbes jeunes filles qu'il enlace et embrasse.
Nous sommes de nouveau à l'appartement (mon ancien appart), et c'est Bianca désormais qui occupe la chambre de Soph. Bianca et B. forment un couple libéré, mais elle digère encore mal le fait que B est embrassé devant elle d'autres filles. Et puis je trouve ça malsain de former un couple dans une coloc.
On va sur le balcon au soleil. Bianca me dit qu'elle apprend le français en faisant du théâtre. Elle me montre d'ailleurs la pièce de théâtre qu'ils jouent en ce moment. Ca parle d'un gars qui s'appelle Monsieur ça va et le dialogue commence ainsi:
-Ca va dit: Ca va?
- Ca va répond: Ca va.
J'apprend à Bianca comment prononcer le "Ca va" parce qu'elle le prononce mal: Cha vichi?
Ensuite vient une phrase super complexe mais qu'elle prononce super bien et sans accent.

Scène 3
Je suis dans un bus à Konstanz. Je tiens dans mes bras ma petite fille âgée d'un an, elle me procure une sensation de bien-être. C'est ma petite fille, ma petite merveille. A côté, sur d'autres sièges, je remarque Ram un ami israëlien, qui lui aussi est avec son fils. Je fais tout pour qu'il ne me remarque pas, mais ma fille gigote, se libère de mes bras et se dirige vers lui.

samedi 25 septembre 2010

Les chaussons roses

Scène 1
Coucher de soleil sur la plage. Je mange au restaurant sur la terrasse d'un hôtel en face de la plage. J'y retrouve de vielles connaissances, que je n'ai pas forcément appréciées auparavant. On discute.
Quelque chose clignote dans mon sac à moins. C'est mon portable qui m'indique qu'il est l'heure de partir, si je veux pouvoir choper le bus pour rentrer chez moi. Il fait déjà nuit dehors. Une course effrénée commence alors sur la plage. La plage est bondée de jeunes gens venus faire la fête sûrement, dans la pénombre, je ne vois que leur silhouettes. Ce décor donne un peu à la plage une dimension fantastique et énigmatique. Je continue de courir, un peu embêtée tout de même, car je m'aperçois que j'ai aux pieds des gros chaussons roses en forme de lapin, ce qui m'empêche d'aller vite, surtout qu'ils me font trébucher une fois sur deux.
Je suis de nouveaux en ville, à Konstanz cette fois-ci. Je coure toujours et maintenant j'ai des tongs aux pieds, ce qui me permet de courir plus vite. Et puis c'est le black out total. Le trou noir. Je ne sais plus où je suis ni où j'habite ni quel bus prendre pour rentrer. Alors je continue de courir et d'errer dans les rues sans vraiment savoir où aller.

Scène 2
C'est l'après-midi. Il fait très beau. Je pars en vélo pour la plage habillée d'une robe en coton légère et courte. La plage est bondée, beaucoup de gens se baignent. Je m'installe dans un coin de la plage en me disant que je vais bosser mon mémoire. Mais la mer est trop tentante, j'ai trop trop envie de me baigner. Je veux enlever ma robe, mais je m'aperçois que j'ai oublié mon bikini. Je ne porte pas non-plus de culotte. Gênée je remets ma robe en place. Je n'ai même pas amené de serviette pour pouvoir m'étendre sur la plage. Alors je me pose sur un rocher pour pouvoir étudier. Celui-ci est mouillé.

Scène 3
Je suis toujours à la plage, mais dans cette version là, j'ai mes affaires avec moi. Je vais pour me déshabiller dans un vestiaire. Mais je m'aperçois vite que je suis dans les vestiaires hommes, et qu'à chaque fois qu'un homme ouvre la porte et me vois, il s'enfuit en courant.


jeudi 16 septembre 2010

La maladie des plis-plis

Scène1
Aujourd'hui c'est la rentrée à la fac. Quand j'arrive dans la coure, je m'aperçois je je ne connais plus personne.
Mon premier cours est un cours de maths en amphithéâtre. Je suis un peu nulle en maths. Mais là, nous avons deux professeurs: un père et son fils qui nous font étudier les mathématiques avec beaucoup d'humour à travers une véritable pièce de théâtre. L'heure passe très vite, on ne s'ennuie vraiment pas.
Fin de l'heure
Je vais m'étaler dans un fauteuil à la Bibliothèque universitaire. A côté de moi, dans un autre fauteuil, il y a une blonde bâtie comme un bûcheron qui gueule comme un putois: Hé toi, on s'connais, non?
Ce n'est pas à moi qu'elle parle mais à un gars. De mon côté, j'essaie de comprendre mon emploi du temps. J'aimerais aller à un cours de littérature allemande sur Goethe, mais je n'arrive pas à trouver l'heure, le jour et la salle. Ce qui est marqué est un peu flou.
Tout d'un coup deux infirmière me font sursauter. Elles me prennent à part et me disent que j'ai la maladie des plis-plis sur mon bras droit et ma main et que c'est très contagieux. Je regarde mon avant-bras et ne vois rien de particulier. Mais par précaution, je les laisse faire. Elles me recouvrent la main et l'avant-bras de terre, puis renversent un bocal de vers de terres (beeeeuh) dessus. Les vers s'enfoncent dans la terres et commencent à me sucer le sang comme des sangsues. Ca ne me fait pas mal, mais ça me dégoûte. Puis les femmes mettent un bandage autour de ma mains recouverte de terre et de vers. "C'est la seule solution pour soigner les plis-plis" me rétorque une des infirmières d'un ton bourru.

Scène 2
Vue aérienne
New York est noyé sous les inondations.