samedi 25 septembre 2010

Les chaussons roses

Scène 1
Coucher de soleil sur la plage. Je mange au restaurant sur la terrasse d'un hôtel en face de la plage. J'y retrouve de vielles connaissances, que je n'ai pas forcément appréciées auparavant. On discute.
Quelque chose clignote dans mon sac à moins. C'est mon portable qui m'indique qu'il est l'heure de partir, si je veux pouvoir choper le bus pour rentrer chez moi. Il fait déjà nuit dehors. Une course effrénée commence alors sur la plage. La plage est bondée de jeunes gens venus faire la fête sûrement, dans la pénombre, je ne vois que leur silhouettes. Ce décor donne un peu à la plage une dimension fantastique et énigmatique. Je continue de courir, un peu embêtée tout de même, car je m'aperçois que j'ai aux pieds des gros chaussons roses en forme de lapin, ce qui m'empêche d'aller vite, surtout qu'ils me font trébucher une fois sur deux.
Je suis de nouveaux en ville, à Konstanz cette fois-ci. Je coure toujours et maintenant j'ai des tongs aux pieds, ce qui me permet de courir plus vite. Et puis c'est le black out total. Le trou noir. Je ne sais plus où je suis ni où j'habite ni quel bus prendre pour rentrer. Alors je continue de courir et d'errer dans les rues sans vraiment savoir où aller.

Scène 2
C'est l'après-midi. Il fait très beau. Je pars en vélo pour la plage habillée d'une robe en coton légère et courte. La plage est bondée, beaucoup de gens se baignent. Je m'installe dans un coin de la plage en me disant que je vais bosser mon mémoire. Mais la mer est trop tentante, j'ai trop trop envie de me baigner. Je veux enlever ma robe, mais je m'aperçois que j'ai oublié mon bikini. Je ne porte pas non-plus de culotte. Gênée je remets ma robe en place. Je n'ai même pas amené de serviette pour pouvoir m'étendre sur la plage. Alors je me pose sur un rocher pour pouvoir étudier. Celui-ci est mouillé.

Scène 3
Je suis toujours à la plage, mais dans cette version là, j'ai mes affaires avec moi. Je vais pour me déshabiller dans un vestiaire. Mais je m'aperçois vite que je suis dans les vestiaires hommes, et qu'à chaque fois qu'un homme ouvre la porte et me vois, il s'enfuit en courant.


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