Blessée, je lui hurle des injures horribles en allemand, en descendant les escaliers, mais il semble m'ignorer.
Alors je rencontre A., l'autre coloc de K. sur le chemin pour le self et l'accompagne. Nous mangeons ensemble.
Après le repas, obsédée de savoir ce que fait K., je revais à la chambre d'amis. elle est entrouverte et laisse passer un petit filet de lumière. Je glisse mon oeil dans la fente de la porte. K. n'est plus là. Mais N. y est toujours avec un garçon chauve qui a des petites lunettes rondelette avec un air à la L. Ils se regardent face à face sur le lit, les yeux dans le yeux. je me dis que ce doit être le nouveau copain de N.
Je les laisse tranquille et continue de rechercher un K. introuvable
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